Le 8 juillet, le Syndicat national des agents des voyages a réuni ses adhérents pour faire le point sur les négociations en cours avec Air France concernant la mise en place d’un nouveau mode de rémunération.
Pour TourCom "Air France n’a pour l'heure rien cédé. R. Vainopoulos, souligne dans un communiqué que "le 8 juillet, les négociateurs du SNAV ont essayé de cacher la faiblesse de leur bilan en invoquant de fausses victoires.
Quand César Balderacchi se félicite d’avoir obtenu d’Air France un délai de trois mois supplémentaires pour la disparition des commissions, on est partagé entre la consternation et la révolte. Tout le monde sait que la date a été reculée parce que les GDS ne sont pas prêts et que cela arrange Air France dont l’année fiscale se termine traditionnellement le 31 mars.
250 Mie sur le dos des agences
Quand les négociateurs du SNAV se félicitent d’avoir obtenu d’Air France une rémunération qui ressort de la mendicité, les agences en restent bouche bée ! Comment justifier une rémunération de 0,1% à 0,6% alors que, soit disant, il n’était pas possible d’accepter 1% sous prétexte qu’il s’agissait d’une commission ? "
Pour le président du réseau il s'égit d'une "Une campagne de publicité pour mieux faire passer la pilule !"
Il poursuit dans ce même communiqué publié vendredi : "Quand C. Balderacchi se réjouit qu’Air France finance une campagne de communication pour accompagner la mise en place du nouveau mode de rémunération, on se dit que c’est quand même la moindre des choses de la part d’une compagnie qui espère gagner au minimum 250 millions sur le dos des agences !
On pourrait multiplier les exemples de cette fausse combativité syndicale, qui tentent de faire oublier qu’Air France n’a pour l’instant cédé sur rien." R. Vainopoulos conclut : " l’importance des enjeux actuels suppose plus de fermeté : il faut que le SNAV arrête de se considérer comme un simple relais d’information. Le SNAV n’a pas vocation à faire passer la pilule, mais à défendre l’intérêt de la profession et à faire des contre-propositions. "
Pour TourCom "Air France n’a pour l'heure rien cédé. R. Vainopoulos, souligne dans un communiqué que "le 8 juillet, les négociateurs du SNAV ont essayé de cacher la faiblesse de leur bilan en invoquant de fausses victoires.
Quand César Balderacchi se félicite d’avoir obtenu d’Air France un délai de trois mois supplémentaires pour la disparition des commissions, on est partagé entre la consternation et la révolte. Tout le monde sait que la date a été reculée parce que les GDS ne sont pas prêts et que cela arrange Air France dont l’année fiscale se termine traditionnellement le 31 mars.
250 Mie sur le dos des agences
Quand les négociateurs du SNAV se félicitent d’avoir obtenu d’Air France une rémunération qui ressort de la mendicité, les agences en restent bouche bée ! Comment justifier une rémunération de 0,1% à 0,6% alors que, soit disant, il n’était pas possible d’accepter 1% sous prétexte qu’il s’agissait d’une commission ? "
Pour le président du réseau il s'égit d'une "Une campagne de publicité pour mieux faire passer la pilule !"
Il poursuit dans ce même communiqué publié vendredi : "Quand C. Balderacchi se réjouit qu’Air France finance une campagne de communication pour accompagner la mise en place du nouveau mode de rémunération, on se dit que c’est quand même la moindre des choses de la part d’une compagnie qui espère gagner au minimum 250 millions sur le dos des agences !
On pourrait multiplier les exemples de cette fausse combativité syndicale, qui tentent de faire oublier qu’Air France n’a pour l’instant cédé sur rien." R. Vainopoulos conclut : " l’importance des enjeux actuels suppose plus de fermeté : il faut que le SNAV arrête de se considérer comme un simple relais d’information. Le SNAV n’a pas vocation à faire passer la pilule, mais à défendre l’intérêt de la profession et à faire des contre-propositions. "