Forteresse naturelle s’étirant dans un méandre du Tage ,Tolède est une des villes espagnoles les plus visitée.
Elle a accueilli toutes les civilisations qui ont traversé la péninsule : Romains, Wisigoths, Juifs, Musulmans, Chrétiens…
Les trois principales influences – émigrants juifs, occupants maures et reconquérants chrétiens - se retrouvent dans l’architecture et la manière de vivre, synthèse des cultures orientales et occidentales.
La ville se découvre à pied, hors week-end si possible, en suivant une route le long du Tage. De nombreux points de vue panoramiques permettent d’avoir un premier aperçu sur les principaux monuments.
Impossible de tous les voir, il y en a plus de cent.
Mais on ne peut pas louper le Castillo de San Servandoni (jadis protecteur du pont romain), l’Alcazar (reconstruit après la guerre civile en 1937), l’imposante cathédrale gothique, le musée de Santa Cruz avec ses toiles du XVIe et XIIe (dont 18 tableaux de Greco)
Elle a accueilli toutes les civilisations qui ont traversé la péninsule : Romains, Wisigoths, Juifs, Musulmans, Chrétiens…
Les trois principales influences – émigrants juifs, occupants maures et reconquérants chrétiens - se retrouvent dans l’architecture et la manière de vivre, synthèse des cultures orientales et occidentales.
La ville se découvre à pied, hors week-end si possible, en suivant une route le long du Tage. De nombreux points de vue panoramiques permettent d’avoir un premier aperçu sur les principaux monuments.
Impossible de tous les voir, il y en a plus de cent.
Mais on ne peut pas louper le Castillo de San Servandoni (jadis protecteur du pont romain), l’Alcazar (reconstruit après la guerre civile en 1937), l’imposante cathédrale gothique, le musée de Santa Cruz avec ses toiles du XVIe et XIIe (dont 18 tableaux de Greco)
Autres articles
On peut revenir sur ses pas pour approfondir la visite en particulier à la cathédrale qui abrite des trésors. A ne pas manquer : la sacristie, le retable du maître hôtel et le chœur.
Enfin il faut déambuler, autrement dit se perdre, dans les ruelles et la vieille ville et ne pas hésiter à pousser les portes cochères ,entrer dans les chapelles et églises.
Et inévitablement on trouvera les toiles du plus célèbre des tolédans - né en Crète en 1541 - Domenikos Theotokopoulos, alias El Greco.
De la cathédrale à l’hôpital de Tavera, du Musée du Gréco au couvent de Santo Domingo el Antiguo il y a partout trace de son œuvre.
La toile majeure se trouve en l’église de San Tomé. L’enterrement du Comte d’Orgaz, gigantesque chef d’œuvre (4,80mx 3,60m) resté en place et intact depuis le XIVème. C’est la peinture la plus admirée de Tolède, c’est un peu leur Joconde, mais elle se mérite, la file d’attente est longue.
L’œuvre représente l’apparition miraculeuse de Saint-Etienne et Saint -Augustin aux funérailles du Comte, mécène de la construction du sanctuaire. Dans le ciel un ange emporte l’âme du défunt, à droite Greco s’est peint, on le remarque levant les yeux vers la voûte céleste.
Enfin il faut déambuler, autrement dit se perdre, dans les ruelles et la vieille ville et ne pas hésiter à pousser les portes cochères ,entrer dans les chapelles et églises.
Et inévitablement on trouvera les toiles du plus célèbre des tolédans - né en Crète en 1541 - Domenikos Theotokopoulos, alias El Greco.
De la cathédrale à l’hôpital de Tavera, du Musée du Gréco au couvent de Santo Domingo el Antiguo il y a partout trace de son œuvre.
La toile majeure se trouve en l’église de San Tomé. L’enterrement du Comte d’Orgaz, gigantesque chef d’œuvre (4,80mx 3,60m) resté en place et intact depuis le XIVème. C’est la peinture la plus admirée de Tolède, c’est un peu leur Joconde, mais elle se mérite, la file d’attente est longue.
L’œuvre représente l’apparition miraculeuse de Saint-Etienne et Saint -Augustin aux funérailles du Comte, mécène de la construction du sanctuaire. Dans le ciel un ange emporte l’âme du défunt, à droite Greco s’est peint, on le remarque levant les yeux vers la voûte céleste.
En repartant il ne faut surtout pas oublier de faire un détour par la Pasteleria Santo Tomé, la pâtisserie la plus réputé de la ville pour ses massepains, la spécialité de Tolède.
Cuenca : la ville des musées
Singulière, Cuenca est bâtie sur un promontoire aux confluences de deux gorges. La ville est connue pour ses maisons suspendues (casas colgantes) accrochées aux rochers.
En passant sur le pont, suspendu à soixante dix mètres au-dessus de la rivière, on a la meilleure vue sur ces constructions.
Ces surprenantes bâtisses dont les balcons penchent sur la rivière sont un véritable défi aux règles de l’architecture et aux lois de la gravité.
En passant sur le pont, suspendu à soixante dix mètres au-dessus de la rivière, on a la meilleure vue sur ces constructions.
Ces surprenantes bâtisses dont les balcons penchent sur la rivière sont un véritable défi aux règles de l’architecture et aux lois de la gravité.
Eglises, couvents, palais
En traversant l’arcade baroque de l’hôtel de ville on accède à la plaza Mayor, aux façades multicolores. C’est sur cette place, qu’à partir du XIIème siècle, a été édifiée la cathédrale de Nuestra Senora de Gracia, édifice de transition entre l’architecture romane et gothique à forte influence normande.
Etalée sur plusieurs siècles la construction et l’embellissement se poursuivent encore de nos jours. On peut ainsi remarquer des vitraux contemporains réalisés par Rueda ou Torner.
Dans la ville, ça et là, on trouve des édifices religieux de grande valeur comme les églises de San Martin, San Pedro, San Miguel, San Nicolas, des couvents à l’instar de las Angelicas, de la Concepción Franciscana ou de Las Blancas.
Mais on découvre aussi d’anciens palais, des pans de remparts, dominés par la tour Magana, vestige d’une tour de gué qui, à son sommet, offre le meilleur des panoramas sur la cité.
Des musées occupent de belles bâtisses tel le palais Episcopal qui accueille les trésors du musée de la cathédrale : orfèvrerie, tapisseries, sculptures, toiles de maitres comme celles de Juan de Borgno, Martin Gomez et même El Greco.
Dans la Casa Du Curât de San Martin c’est l’histoire de Cuenca qui est raconté tandis que le musée Provincial conserve des pièces archéologiques du paléolithique jusqu’au moyen âge.
Sur la Plazza de le Merced le musée des Sciences invite à l’évasion spatiale dans le monde de l’astrologie tandis que Pepito, le dinosaure millénaire, bossu et cornu, tient la vedette au musée de paléontologie.
Mais le plus important des musées, celui des arts abstraits, trouve place dans une des « maisons suspendues » construite au XIVème siècle en surplomb au dessus du ravin du Huécar.
Il réunit, depuis cinquante ans, des œuvres d’artistes espagnols comme Chillida, Tapies, Sempere, Rueda, Serrano autour des créations des fondateurs Gustavo Torner et Fernando Zobel.
Et des musées, il en a beaucoup d’autres à Cuenca, à vous de les trouver, sinon il vous restera la ville qui, à elle seule en est un.
Etalée sur plusieurs siècles la construction et l’embellissement se poursuivent encore de nos jours. On peut ainsi remarquer des vitraux contemporains réalisés par Rueda ou Torner.
Dans la ville, ça et là, on trouve des édifices religieux de grande valeur comme les églises de San Martin, San Pedro, San Miguel, San Nicolas, des couvents à l’instar de las Angelicas, de la Concepción Franciscana ou de Las Blancas.
Mais on découvre aussi d’anciens palais, des pans de remparts, dominés par la tour Magana, vestige d’une tour de gué qui, à son sommet, offre le meilleur des panoramas sur la cité.
Des musées occupent de belles bâtisses tel le palais Episcopal qui accueille les trésors du musée de la cathédrale : orfèvrerie, tapisseries, sculptures, toiles de maitres comme celles de Juan de Borgno, Martin Gomez et même El Greco.
Dans la Casa Du Curât de San Martin c’est l’histoire de Cuenca qui est raconté tandis que le musée Provincial conserve des pièces archéologiques du paléolithique jusqu’au moyen âge.
Sur la Plazza de le Merced le musée des Sciences invite à l’évasion spatiale dans le monde de l’astrologie tandis que Pepito, le dinosaure millénaire, bossu et cornu, tient la vedette au musée de paléontologie.
Mais le plus important des musées, celui des arts abstraits, trouve place dans une des « maisons suspendues » construite au XIVème siècle en surplomb au dessus du ravin du Huécar.
Il réunit, depuis cinquante ans, des œuvres d’artistes espagnols comme Chillida, Tapies, Sempere, Rueda, Serrano autour des créations des fondateurs Gustavo Torner et Fernando Zobel.
Et des musées, il en a beaucoup d’autres à Cuenca, à vous de les trouver, sinon il vous restera la ville qui, à elle seule en est un.
Le Puy du Fou à Tolède en 2019
Inspiré du Puy du Fou en France, le projet artistique de Tolède , prévu pour 2019, sera intégralement dédié à l’Histoire de l’Espagne.
Ce parc sera un voyage à travers les siècles. Il sera implanté sur un terrain de 140 hectares situé sur le territoire du Municipio de Tolede, à 8 minutes du Casco Historico : la Finca Zurraquin.
Les visiteurs entreront dans leur propre Histoire, en même temps qu’ils découvriront un environnement naturel préservé et arboré (oliviers, encinas, amandiers …), ponctué de jardins en terrasse, de fontaines et de zones ombragées.
Chaque décor, chaque village, chaque spectacle met en scène une époque marquante de l’Histoire de l’Espagne, depuis les Celtibères jusqu’au XIXe siècle.
A partir de 2019, chaque soir, une superproduction d’1h15 retracera les plus riches heures de l’Histoire d’Espagne, des Carpetans jusqu’au XIXème siècle ; présentée par plus de 300 comédiens, cavaliers et techniciens, cette fresque rythmée et grandiose sera jouée devant 4000 spectateurs avec toutes les technologies les plus récentes sur les 10 hectares de scène.
L’année suivante, en 2020, le Puy du Fou ouvrira la 1ère phase de son parc de jour, pour voyager dans le temps, de l’Antiquité au Siècle d’Or
Ce parc sera un voyage à travers les siècles. Il sera implanté sur un terrain de 140 hectares situé sur le territoire du Municipio de Tolede, à 8 minutes du Casco Historico : la Finca Zurraquin.
Les visiteurs entreront dans leur propre Histoire, en même temps qu’ils découvriront un environnement naturel préservé et arboré (oliviers, encinas, amandiers …), ponctué de jardins en terrasse, de fontaines et de zones ombragées.
Chaque décor, chaque village, chaque spectacle met en scène une époque marquante de l’Histoire de l’Espagne, depuis les Celtibères jusqu’au XIXe siècle.
A partir de 2019, chaque soir, une superproduction d’1h15 retracera les plus riches heures de l’Histoire d’Espagne, des Carpetans jusqu’au XIXème siècle ; présentée par plus de 300 comédiens, cavaliers et techniciens, cette fresque rythmée et grandiose sera jouée devant 4000 spectateurs avec toutes les technologies les plus récentes sur les 10 hectares de scène.
L’année suivante, en 2020, le Puy du Fou ouvrira la 1ère phase de son parc de jour, pour voyager dans le temps, de l’Antiquité au Siècle d’Or
Renseignements
Office Espagnol du tourisme
Tel 01 45 03 82 50
www.spain.info/fr
www.turismocastillalamancha.org
Y aller
Plusieurs vols quotidiens Air France au départ de Paris CDG
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