Alors que les vacances d'avril touchent à leur fin, les voyagistes regardent avec anxiété l'été qui arrive à toute vitesse.
Si les ailes de saison sont pleines à craquer et à s'envoler, il n'en va pas de même pour juillet et août. Cette période est loin de tenir ses promesses et les professionnels s'interrogent.
Qu'est-ce donc qui freine les ardeurs des Français ? les JO, le contexte économique, les problématiques géopolitiques, l'inflation ou un peu de tout ça ?
Force est de constater que les obstacles sont nombreux et que l'euphorie exceptionnelle de mi-2022 et de 2023, s'estompe.
2024, s'annonce comme la "fin des vacances quoi qu'il en coûte !"
Si les ailes de saison sont pleines à craquer et à s'envoler, il n'en va pas de même pour juillet et août. Cette période est loin de tenir ses promesses et les professionnels s'interrogent.
Qu'est-ce donc qui freine les ardeurs des Français ? les JO, le contexte économique, les problématiques géopolitiques, l'inflation ou un peu de tout ça ?
Force est de constater que les obstacles sont nombreux et que l'euphorie exceptionnelle de mi-2022 et de 2023, s'estompe.
2024, s'annonce comme la "fin des vacances quoi qu'il en coûte !"
Il faut dire que les compagnies aériennes et les prestataires terrestres, n'y sont pas allés de main morte. Voilà pourquoi à l'atterrissage il y aura quelques dérapages.
Les Français semblent moins enclins à mettre la main à la poche qu'il y a quelques mois et pour cause. La cagnotte du covid a été bien grignotée et les consommateurs redevenus fourmis reviennent à la case départ et aux valeurs fondamentales.
L'envie d'évasion de nos compatriotes n'a pas fléchi d'un iota. Partir oui, mais pas à n'importe quel prix ! Comme nous le confiait un responsable de TO "l'an dernier tout partait, même à des prix parfois extravagants".
Qu'on se le dise : la fête est finie ! Selon le cabinet Protourisme, le budget vacances pour cet été s'inscrit en baisse de près de 7%...
Les Français semblent moins enclins à mettre la main à la poche qu'il y a quelques mois et pour cause. La cagnotte du covid a été bien grignotée et les consommateurs redevenus fourmis reviennent à la case départ et aux valeurs fondamentales.
L'envie d'évasion de nos compatriotes n'a pas fléchi d'un iota. Partir oui, mais pas à n'importe quel prix ! Comme nous le confiait un responsable de TO "l'an dernier tout partait, même à des prix parfois extravagants".
Qu'on se le dise : la fête est finie ! Selon le cabinet Protourisme, le budget vacances pour cet été s'inscrit en baisse de près de 7%...
Sur le segments luxe et ultra-luxe, l'inflation est indolore. Mais l'offre mainstream, elle, est à la peine.
Résultat : 2024 sera marquée par le grand des retours des VDM...
Ou du moins on l'espère, car sans VDM, l'été pourrait faire un véritable flop. Le balancier est-il allé trop loin ? Sans doute. explique un opérateur qui regrette que l'on ne tire pas les leçons du passé.
L'enfer des VDM est de retour parce qu'on croyait que c'était arrivé. On a juste oublié le client et une règle fondamentale : les budgets ne poussent jamais jusqu'au ciel !
Résultat : 2024 sera marquée par le grand des retours des VDM...
Ou du moins on l'espère, car sans VDM, l'été pourrait faire un véritable flop. Le balancier est-il allé trop loin ? Sans doute. explique un opérateur qui regrette que l'on ne tire pas les leçons du passé.
L'enfer des VDM est de retour parce qu'on croyait que c'était arrivé. On a juste oublié le client et une règle fondamentale : les budgets ne poussent jamais jusqu'au ciel !