Qui es-tu ?
Vincent Mauchamp a une solide expérience professionnelle. Il est également bénévole depuis 12 ans à Aviation Sans Frontières. – V.M.
Vincent Mauchamp : J’ai une formation généraliste, après une école de commerce, j’ai obtenu un MBA en Affaires internationales. Mon truc, c’est le voyage, j’ai toujours été attiré par ça. Donc, quand j’ai commencé à chercher du travail, et j'ai trouvé dans le secteur aérien.
A l’époque, j’ai été embauché chez Air Littoral, une compagnie qui n’existe plus aujourd’hui, au poste de représentant commercial dans la région Rhône-Alpes et Suisse. J’y ai fait du terrain, j’étais confronté aux clients corpo : entreprises, tour-opérateurs, groupistes…
Ensuite, j’ai rejoint United Airlines, comme analyste budgétaire. L’époque était faste, il fallait quelqu’un pour mettre de l’ordre et freiner les ardeurs des commerciaux.
J’ai pas mal évolué dans cette compagnie. Je me suis ensuite occupé du développement des ventes. Un poste très intéressant. Je cherchais des nouveaux produits, à valeur ajoutée. On a été la première compagnie à lancer le combiné TGV/Air avec la SNCF. J’ai travaillé sur ce projet de longue haleine, sur les phases techniques, légales, etc… C’était super !
Puis, j’ai évolué sur un poste de pricing manager. United Airlines a beau être le numéro 1 ou 2 mondial, en France, la structure est petite. J’ai travaillé sur la stratégie tarifaire, mais également sur des partenariats stratégiques. Je pense notamment à la joint-venture en 2000 avec Air Canada et le groupe Lufthansa. Il fallait négocier en permanence avec ces deux groupes pour être alignés au niveau tarifaire et du produit que l’on proposait à la clientèle.
Pendant pas mal de temps, j’ai eu la charge du Helpdesk, ou relation clients corporates. Traiter tous les appels, chaque fois qu’ils ne trouvent pas un tarif, n’arrivent pas à l’accrocher, qu’il y a une réclamation…
Le covid est passé par là. En 2021, United Airlines, comme beaucoup de compagnies a fait le ménage. La moitié du service commercial a été licenciée, je suis partie dans ce cadre en janvier 2021.
Sinon, je suis bénévole depuis 12 ans à Aviation Sans Frontières, pour le transport d'enfants malades en urgence de soins originaires de pays défavorisés.
A l’époque, j’ai été embauché chez Air Littoral, une compagnie qui n’existe plus aujourd’hui, au poste de représentant commercial dans la région Rhône-Alpes et Suisse. J’y ai fait du terrain, j’étais confronté aux clients corpo : entreprises, tour-opérateurs, groupistes…
Ensuite, j’ai rejoint United Airlines, comme analyste budgétaire. L’époque était faste, il fallait quelqu’un pour mettre de l’ordre et freiner les ardeurs des commerciaux.
J’ai pas mal évolué dans cette compagnie. Je me suis ensuite occupé du développement des ventes. Un poste très intéressant. Je cherchais des nouveaux produits, à valeur ajoutée. On a été la première compagnie à lancer le combiné TGV/Air avec la SNCF. J’ai travaillé sur ce projet de longue haleine, sur les phases techniques, légales, etc… C’était super !
Puis, j’ai évolué sur un poste de pricing manager. United Airlines a beau être le numéro 1 ou 2 mondial, en France, la structure est petite. J’ai travaillé sur la stratégie tarifaire, mais également sur des partenariats stratégiques. Je pense notamment à la joint-venture en 2000 avec Air Canada et le groupe Lufthansa. Il fallait négocier en permanence avec ces deux groupes pour être alignés au niveau tarifaire et du produit que l’on proposait à la clientèle.
Pendant pas mal de temps, j’ai eu la charge du Helpdesk, ou relation clients corporates. Traiter tous les appels, chaque fois qu’ils ne trouvent pas un tarif, n’arrivent pas à l’accrocher, qu’il y a une réclamation…
Le covid est passé par là. En 2021, United Airlines, comme beaucoup de compagnies a fait le ménage. La moitié du service commercial a été licenciée, je suis partie dans ce cadre en janvier 2021.
Sinon, je suis bénévole depuis 12 ans à Aviation Sans Frontières, pour le transport d'enfants malades en urgence de soins originaires de pays défavorisés.
Quel poste recherches-tu ?
V. M. : Clairement, j’ai le virus du voyage, je veux rester dans ce milieu.
Je ne recherche pas un poste précis, pas forcément dans l’aérien d’ailleurs. Plein de choses m’intéressent. Ce que j’aime, avant tout, c’est donner l’envie de voyager aux gens, découvrir d’autres cultures, peuples…. Cela peut se faire à travers plein de choses différentes dans le tourisme.
J’adore aussi le côté relationnel, aider les gens, apporter des solutions, les former. Tout ce qui est négociation, relationnel, formation m’intéresse.
Il me faut de la relation humaine, je ne peux pas rester derrière un tableau Excel toute la journée.
Mon dada, c’est le voyage.
Je recherche un poste à Paris et en région parisienne, mais aujourd’hui, avec le développement du télétravail, je peux rejoindre une entreprise basée à Lyon ou ailleurs. Ce n’est pas un obstacle.
Je ne recherche pas un poste précis, pas forcément dans l’aérien d’ailleurs. Plein de choses m’intéressent. Ce que j’aime, avant tout, c’est donner l’envie de voyager aux gens, découvrir d’autres cultures, peuples…. Cela peut se faire à travers plein de choses différentes dans le tourisme.
J’adore aussi le côté relationnel, aider les gens, apporter des solutions, les former. Tout ce qui est négociation, relationnel, formation m’intéresse.
Il me faut de la relation humaine, je ne peux pas rester derrière un tableau Excel toute la journée.
Mon dada, c’est le voyage.
Je recherche un poste à Paris et en région parisienne, mais aujourd’hui, avec le développement du télétravail, je peux rejoindre une entreprise basée à Lyon ou ailleurs. Ce n’est pas un obstacle.
Après un licenciement et deux ans de covid, tu n’as pas perdu ta motivation ?
V. M. : Aujourd’hui, c’est le covid-19, demain la guerre en Ukraine. J’ai vécu la première et la seconde guerre du Golfe, les attentats du 11 septembre, la fusion de compagnies aériennes, le secteur est extrêmement impacté, dès qu’il y a des aléas dans le monde.
Mais, je reste convaincu qu’il vaut mieux être bien dans ce qu’on fait, même si on gagne moins que dans d’autres secteurs.
Mais, je reste convaincu qu’il vaut mieux être bien dans ce qu’on fait, même si on gagne moins que dans d’autres secteurs.
Pourquoi t’embaucher ? Quels sont tes atouts ?
V. M. : J’ai une expérience super riche et variée. Je n’ai pas fait qu’un seul job dans ma vie. J’ai fait du terrain, du développement des ventes, à travers la politique tarifaire j’ai appris à maitriser la partie technique, le côté négociation à des niveaux relativement élevés entre compagnies aériennes et groupes.
J’ai fait de la relation client, du marketing B2B, car je suis quelqu’un de passionné par ce secteur d’activité.
J’accorde aussi beaucoup d’importance aux softs skills, je suis attaché à la bienveillance, à l’humain.
Le CV de Vincent Mauchamp.
J’ai fait de la relation client, du marketing B2B, car je suis quelqu’un de passionné par ce secteur d’activité.
J’accorde aussi beaucoup d’importance aux softs skills, je suis attaché à la bienveillance, à l’humain.
Le CV de Vincent Mauchamp.
En envoyant votre CV à l'adresse recrutement@welcometothetravel.com , vous acceptez qu'il soit communiqué à des recruteurs qui pourraient être intéressés et que vos données soient enregistrées dans le cadre d'échanges avec Welcome to the Travel.
Vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent (en application de l'article 34 de la loi n° 78-17 du 06 janvier 1978, dite Informatique et Libertés). Pour l'exercer, adressez-vous à direction@welcometothetravel.com , en précisant vos Identifiants.
Vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent (en application de l'article 34 de la loi n° 78-17 du 06 janvier 1978, dite Informatique et Libertés). Pour l'exercer, adressez-vous à direction@welcometothetravel.com , en précisant vos Identifiants.