Les Français partiront-ils ou non en vacances cet été ? Ipsos et France Bleu ont mené une enquête (encore une) sur le sujet. Pour effectuer l’étude, 917 personnes, constituant un échantillon représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus ont été interrogées.
Selon les résultats, les prévisions ne sont pas très optimistes puisque 51% des Français ne partiront pas en vacances cet été, et un Français sur dix (11%) a déjà décidé de diminuer son budget vacances.
Au total, seul un Français sur cinq (22%) déclare ne pas envisager pour le moment de diminuer son budget vacances.
Les plus touchés sont les jeunes 30% des moins de 35 ans (contre 22% des Français en moyenne) ont déjà décidé de ne pas partir en vacances cet été et les classes moyennes.
Respectivement 26% et 28% des personnes vivant au sein d’un foyer dont le revenu mensuel net est compris entre 1.200 et 2.000 euros ou 2.000 et 3.000 euros affirment qu’elles ont décidé de renoncer pour cet été à leurs vacances ou de diminuer leur budget. C’est également le cas de 28% des employés et de 27% des ouvriers.
Selon les résultats, les prévisions ne sont pas très optimistes puisque 51% des Français ne partiront pas en vacances cet été, et un Français sur dix (11%) a déjà décidé de diminuer son budget vacances.
Au total, seul un Français sur cinq (22%) déclare ne pas envisager pour le moment de diminuer son budget vacances.
Les plus touchés sont les jeunes 30% des moins de 35 ans (contre 22% des Français en moyenne) ont déjà décidé de ne pas partir en vacances cet été et les classes moyennes.
Respectivement 26% et 28% des personnes vivant au sein d’un foyer dont le revenu mensuel net est compris entre 1.200 et 2.000 euros ou 2.000 et 3.000 euros affirment qu’elles ont décidé de renoncer pour cet été à leurs vacances ou de diminuer leur budget. C’est également le cas de 28% des employés et de 27% des ouvriers.
Un Français sur cinq réduirait la durée de son séjour
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Lorsqu’on leur demande quels sont les dépenses qu’ils réduiraient en priorité afin de diminuer leur budget vacances, les Français citent tout d’abord les dépenses faites sur leur lieu de vacances (34%, dont 18% qui réduiraient leurs dépenses de restauration, 10% leurs dépenses de loisirs et d’activités, 6% les deux), devant les dépenses liées à l’hébergement (31%, parmi lesquels 19% privilégieraient un hébergement gratuit chez des membres de leur famille par exemple, 11% dépenseraient moins pour leur hébergement, 1% feraient les deux).
Un Français sur cinq réduirait la durée de son séjour (21%) ou réduirait les dépenses liées au transport (14% partiraient moins loin, 6% changeraient de mode de transport, 1% mettraient ces deux solutions en œuvre).
Il ressort également que 16% des personnes interrogées déclarent qu’elles réserveront à la dernière minute en fonction des promotions, et 15% réserveront plus tard que d’habitude, ne sachant pas de quel budget elles disposeront.
Un Français sur cinq réduirait la durée de son séjour (21%) ou réduirait les dépenses liées au transport (14% partiraient moins loin, 6% changeraient de mode de transport, 1% mettraient ces deux solutions en œuvre).
Il ressort également que 16% des personnes interrogées déclarent qu’elles réserveront à la dernière minute en fonction des promotions, et 15% réserveront plus tard que d’habitude, ne sachant pas de quel budget elles disposeront.
25% des ''partants'' privilégieront la France
Au-delà des promotions, 23% des futurs vacanciers comptent davantage comparer les prix et marchander cet été.
Les contraintes budgétaires vont amener les Français à modifier leurs habitudes. Ainsi, 25% des personnes qui partiront en vacances cet été déclarent qu’elles privilégieront la France plutôt que l’Etranger, tandis que 24% pourraient être amenées à mieux découvrir des régions françaises qu’elles connaissent peu et même 21% à redécouvrir leur propre région.
On pourrait donc assister cet été à une redistribution des rôles entre les différents acteurs et sites touristiques, indique l'étude.
On note par ailleurs que 30% des personnes qui partiront en vacances cet été estiment que la crise pourrait les inciter à se recentrer sur leur famille et leurs amis.
Malgré la crise, "les sentiments positifs l’emportent in fine. Les Français gardent bon moral et font montre d’optimisme quant à leur capacité à s’adapter aux contraintes inhérentes au contexte économique qui, bien que difficile, ne viendra pas gâcher leurs vacances."
Les contraintes budgétaires vont amener les Français à modifier leurs habitudes. Ainsi, 25% des personnes qui partiront en vacances cet été déclarent qu’elles privilégieront la France plutôt que l’Etranger, tandis que 24% pourraient être amenées à mieux découvrir des régions françaises qu’elles connaissent peu et même 21% à redécouvrir leur propre région.
On pourrait donc assister cet été à une redistribution des rôles entre les différents acteurs et sites touristiques, indique l'étude.
On note par ailleurs que 30% des personnes qui partiront en vacances cet été estiment que la crise pourrait les inciter à se recentrer sur leur famille et leurs amis.
Malgré la crise, "les sentiments positifs l’emportent in fine. Les Français gardent bon moral et font montre d’optimisme quant à leur capacité à s’adapter aux contraintes inhérentes au contexte économique qui, bien que difficile, ne viendra pas gâcher leurs vacances."