Le premier trimestre accuse ainsi une baisse de 9,3% en passagers et 7,5% en mouvements, selon les chiffres publiés par la plate-forme. Le trafic régulier national (-0,2 %) se stabilise. Les résultats obtenus par la ligne Strasbourg Orly affichent avec une progression du trafic passagers de 12% (soit + 8 000 passagers).
Dans le même temps la ligne à destination de CDG chute de 11,9% (soit – 3 400 passagers). L'ensemble du trafic à destination de Paris progresse donc de +4,7%. Le trafic vers les autres régions françaises est très nettement en baisse, 9,5%, "à cause de l'absence de trafic sur Montpellier et de la baisse de trafic de 48,6% sur Nice après la liquidation d'Air Littoral."
Le trafic chute aussi sur Clermont-Ferrand de 57,4% et Marseille régresse de 4,0%. La ligne Strasbourg Toulouse se distingue avec une forte croissance de +16,8%. Les autres lignes nationales enregistrent des évolutions comprises entre +0,9% pour Nantes et +7% pour Lille.
Les ligne européennes chutent de 39,9%
Les lignes européennes (-39,9 %) souffrent encore du déficit de passagers dû à l'absence des vols de Ryanair. Bruxelles gagne + 69,2%, "ce qui constitue un excellent résultat". Londres Gatwick (+30,7 %) poursuit sa belle progression.
La performance des vols sur Vienne (+22,8%) est à souligner. Autre capitale européenne dans le vent, Madrid affiche une croissance de +12,5%. Amsterdam ralentit sa progression avec +2,6%. Rome et Cunéo doublent leur trafic.
Copenhague reste en négatif avec –5,6%. Les résultats des nouvelles lignes vers Munich et Milan, seulement exploitées depuis le 28 mars ne sont pas significatifs. Les autres vols internationaux sont en croissance. Même si Istanbul (-42,9 %) chute fortement, Casablanca (+27,2 %) et Tunis (+45,9 %) obtiennent des résultats très encourageants pour la saison été.
Les vols charters, "qui ne sont pas encore significatifs en volume", baissent (-16,6 %). Les vols non réguliers (-58,8 %) accentuent leur faible niveau au mois de mars. A noter : le fret avionné (+17,5 %) renverse la tendance et permet un résultat cumulé positif, +0,7% pour le premier trimestre 2004. La poste enregistre une légère progression de (1,5 %).
Dans le même temps la ligne à destination de CDG chute de 11,9% (soit – 3 400 passagers). L'ensemble du trafic à destination de Paris progresse donc de +4,7%. Le trafic vers les autres régions françaises est très nettement en baisse, 9,5%, "à cause de l'absence de trafic sur Montpellier et de la baisse de trafic de 48,6% sur Nice après la liquidation d'Air Littoral."
Le trafic chute aussi sur Clermont-Ferrand de 57,4% et Marseille régresse de 4,0%. La ligne Strasbourg Toulouse se distingue avec une forte croissance de +16,8%. Les autres lignes nationales enregistrent des évolutions comprises entre +0,9% pour Nantes et +7% pour Lille.
Les ligne européennes chutent de 39,9%
Les lignes européennes (-39,9 %) souffrent encore du déficit de passagers dû à l'absence des vols de Ryanair. Bruxelles gagne + 69,2%, "ce qui constitue un excellent résultat". Londres Gatwick (+30,7 %) poursuit sa belle progression.
La performance des vols sur Vienne (+22,8%) est à souligner. Autre capitale européenne dans le vent, Madrid affiche une croissance de +12,5%. Amsterdam ralentit sa progression avec +2,6%. Rome et Cunéo doublent leur trafic.
Copenhague reste en négatif avec –5,6%. Les résultats des nouvelles lignes vers Munich et Milan, seulement exploitées depuis le 28 mars ne sont pas significatifs. Les autres vols internationaux sont en croissance. Même si Istanbul (-42,9 %) chute fortement, Casablanca (+27,2 %) et Tunis (+45,9 %) obtiennent des résultats très encourageants pour la saison été.
Les vols charters, "qui ne sont pas encore significatifs en volume", baissent (-16,6 %). Les vols non réguliers (-58,8 %) accentuent leur faible niveau au mois de mars. A noter : le fret avionné (+17,5 %) renverse la tendance et permet un résultat cumulé positif, +0,7% pour le premier trimestre 2004. La poste enregistre une légère progression de (1,5 %).