Mercredi 4 avril, les start-ups de l'Alliance Biz Travel présentent leurs solutions © MagicStay Twitter
Fondée en 2016, l'Alliance Biz Travel compte aujourd'hui une dizaine de start-up françaises spécialisées dans le voyage d'affaires. Lors d'une conférence donnée mercredi 4 avril à Paris et baptisée "Comment intégrer l'innovation dans votre politique achats voyages", les jeunes pousses du groupe, qui proposent des services complémentaires allant de l'hébergement au transport en passant par les repas ou la gestion des notes de frais, ont fait un point sur leurs activités.
Et d'un bout à l'autre de la chaîne du voyage d'affaires, elles promettent toutes de simplifier leurs domaines d'activités respectifs, d'une part, mais surtout de faire faire des économies aux entreprises qui leur font confiance. "Plus qu'un gadget, nous cherchons tout le temps la start-up qui va simplifier notre façon de travailler et nous proposer de vraies réduction des coûts", explique Julien Rialan, chargé des relations start-up chez BPCE et venu écouter les speechs de l'Alliance Biz Travel.
Et d'un bout à l'autre de la chaîne du voyage d'affaires, elles promettent toutes de simplifier leurs domaines d'activités respectifs, d'une part, mais surtout de faire faire des économies aux entreprises qui leur font confiance. "Plus qu'un gadget, nous cherchons tout le temps la start-up qui va simplifier notre façon de travailler et nous proposer de vraies réduction des coûts", explique Julien Rialan, chargé des relations start-up chez BPCE et venu écouter les speechs de l'Alliance Biz Travel.
Des économies de A à Z
Un voyage d'affaires commence d'abord par une organisation de son emploi du temps, grâce à Hubtome un agenda partagé des déplacements en entreprise qui veut rendre visible à tous le flux de voyages de l'entreprise. Le but de cette "machine à café du monde entier", d'après son dirigeant : créer de nouvelles opportunités de business et mieux optimiser les dépenses voyages.
Si aucune entreprise ne promet de faire économiser des fortunes sur les billets d'avions, AiRefund s'est elle spécialisée dans les indemnisations en cas de retard (60% de ses activités) ou d'annulations de vols (40%), source de revenus supplémentaires pour les entreprises ayant réservé les billets.
Sur place, BusinessTable, via des économie sur les frais d'administration et des tarifs négociés, assure qu'elle peut faire descendre la note d'un repas d'affaires de 120 à 82€ en moyenne. Roaming by me propose un boitier wi-fi portable qui, moyennant un abonnement de 39 € par mois, qui veut faire oublier les "factures de plusieurs milliers d'euros de téléphone dues aux abus de data à l'étranger", d'après Jacques Deleuze, fondateur. D'après ce dernier, ses clients auraient réalisé 94% d'économies sur leurs contrats opérateurs en 2017. Aussi, MagicStay propose près de 150 000 appartements à louer, et BirdOffice veut fluidifier les locations de salles de réunions et leur facturation.
Pour les déplacements, Taxiensemble, le "blablacar du taxi", propose aux voyageurs d'affaires de partager des taxis à des tarifs négociés. Carbookr, de son côté met à disposition des véhicules sous-utilisés par les loueurs et les amène, grâce à un service de voiturier, à l'un des 160 points de livraisons en France, pour la plupart des déposes-minutes de gares ou d'aéroports. "Le prix réservé sera le prix facturé, contrairement aux autres sociétés de locations de véhicule B2B", explique Frédéri Villa Vega, CTO, ancien cadre de chez Avis.
Enfin, pour les "150 derniers mètres du voyage", Expensya propose sa solution de gestions des notes de frais. En en automatisant la saisie, via de simples photos des tickets, et en proposant une alternative plus efficace qu'Excel, la start-up assure faire gagner du temps, et de l'argent, précieux aux entreprise.
Si aucune entreprise ne promet de faire économiser des fortunes sur les billets d'avions, AiRefund s'est elle spécialisée dans les indemnisations en cas de retard (60% de ses activités) ou d'annulations de vols (40%), source de revenus supplémentaires pour les entreprises ayant réservé les billets.
Sur place, BusinessTable, via des économie sur les frais d'administration et des tarifs négociés, assure qu'elle peut faire descendre la note d'un repas d'affaires de 120 à 82€ en moyenne. Roaming by me propose un boitier wi-fi portable qui, moyennant un abonnement de 39 € par mois, qui veut faire oublier les "factures de plusieurs milliers d'euros de téléphone dues aux abus de data à l'étranger", d'après Jacques Deleuze, fondateur. D'après ce dernier, ses clients auraient réalisé 94% d'économies sur leurs contrats opérateurs en 2017. Aussi, MagicStay propose près de 150 000 appartements à louer, et BirdOffice veut fluidifier les locations de salles de réunions et leur facturation.
Pour les déplacements, Taxiensemble, le "blablacar du taxi", propose aux voyageurs d'affaires de partager des taxis à des tarifs négociés. Carbookr, de son côté met à disposition des véhicules sous-utilisés par les loueurs et les amène, grâce à un service de voiturier, à l'un des 160 points de livraisons en France, pour la plupart des déposes-minutes de gares ou d'aéroports. "Le prix réservé sera le prix facturé, contrairement aux autres sociétés de locations de véhicule B2B", explique Frédéri Villa Vega, CTO, ancien cadre de chez Avis.
Enfin, pour les "150 derniers mètres du voyage", Expensya propose sa solution de gestions des notes de frais. En en automatisant la saisie, via de simples photos des tickets, et en proposant une alternative plus efficace qu'Excel, la start-up assure faire gagner du temps, et de l'argent, précieux aux entreprise.
