L' Egypte encourage de nombreux visiteurs internationaux à venir découvrir ses richesses
Le ministère égyptien du tourisme et des antiquités a annoncé que dorénavant, 180 nationalités du monde entier (au lieu de 74 depuis décembre 2017) pourront obtenir un visa électronique tourisme. Cette annonce s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par l'État égyptien pour favoriser le tourisme entrant en Égypte, en facilitant les procédures d'obtention d'un visa touristique.
La vice-ministre du Tourisme et des Antiquités chargée des affaires touristiques, Ghada Shalaby, a indiqué que la modernisation de ce système intervient 1 an après que l'Égypte ait repris le mouvement du tourisme entrant le 1er juillet 2020, soulignant que cette mise à jour devrait encourager de nombreux visiteurs de différentes nationalités à venir visiter l'Égypte.
Demander un visa électronique pour l’Egypte est très simple. Seule la photocopie du passeport valide au moins 6 mois après l’arrivée est demandée, ou bien, la photocopie recto/verso de la carte d’identité valide au moins 8 mois après l’arrivée (pour les voyageurs de nationalité belge, française, allemande, italienne et portugaise). L'e-Visa est valable pour les voyageurs touristiques uniquement, titulaires d’un passeport (ou d'une carte d'identité) d’une durée de validité d’au moins 8 mois à la date d'arrivée en Egypte. L'e-Visa est valable pour un séjour de 30 jours maximum à partir de votre arrivée en Egypte (non à l'édition du e-Visa). Nous recommandons de faire votre demande au moins 7 jours avant votre arrivée en Egypte.
La quarantaine n’est plus imposée lors de l’arrivée sur le territoire égyptien. Les voyageurs qui présentent un certificat international en cours de validité attestant d'une vaccination complète contre le COVID-19, avec utilisation d'un vaccin agréé, sont exemptés des exigences de test avant le départ. Lire le reste des conditions sanitaires actuelles pour l’Egypte.
La vice-ministre du Tourisme et des Antiquités chargée des affaires touristiques, Ghada Shalaby, a indiqué que la modernisation de ce système intervient 1 an après que l'Égypte ait repris le mouvement du tourisme entrant le 1er juillet 2020, soulignant que cette mise à jour devrait encourager de nombreux visiteurs de différentes nationalités à venir visiter l'Égypte.
Demander un visa électronique pour l’Egypte est très simple. Seule la photocopie du passeport valide au moins 6 mois après l’arrivée est demandée, ou bien, la photocopie recto/verso de la carte d’identité valide au moins 8 mois après l’arrivée (pour les voyageurs de nationalité belge, française, allemande, italienne et portugaise). L'e-Visa est valable pour les voyageurs touristiques uniquement, titulaires d’un passeport (ou d'une carte d'identité) d’une durée de validité d’au moins 8 mois à la date d'arrivée en Egypte. L'e-Visa est valable pour un séjour de 30 jours maximum à partir de votre arrivée en Egypte (non à l'édition du e-Visa). Nous recommandons de faire votre demande au moins 7 jours avant votre arrivée en Egypte.
La quarantaine n’est plus imposée lors de l’arrivée sur le territoire égyptien. Les voyageurs qui présentent un certificat international en cours de validité attestant d'une vaccination complète contre le COVID-19, avec utilisation d'un vaccin agréé, sont exemptés des exigences de test avant le départ. Lire le reste des conditions sanitaires actuelles pour l’Egypte.
Japon : un gouvernement prudent mais des actions positives
Depuis deux ans, la capitale Tokyo a imposé des réglementations strictes sur le nombre et le type de ressortissants étrangers pouvant entrer au Japon. Le gouvernement est en effet depuis tout ce temps tiraillé entre le suivi et le contrôle du Covid-19 et son ouverture au monde/le maintien de sa croissance.
Deux printemps plus tard, le gouvernement a progressivement assoupli les restrictions d'entrée : 10 000 personnes par jour peuvent entrer sur le territoire depuis le 10 avril, contre 3 500 par jour en février. Un cadre distinct a également été introduit pour les étudiants étrangers venant au Japon.
Les exigences de quarantaine ont également été assouplies. Les participants n'ont plus besoin de s'isoler dans les maisons ou les hôtels s'ils remplissent certaines conditions, comme présenter un schéma vaccinal complet.
Malgré ces mesures positives, cela reste insuffisant pour assurer la prospérité du pays : le Japon s'ouvre effectivement plus lentement que les autres pays. Des pays asiatiques comme Singapour, qui avaient été relativement prudents jusqu'à récemment, normalisent dorénavant les voyages internationaux, éliminant la quarantaine obligatoire à l'entrée.
Il s’avère que le test antigénique reste obligatoire pour tous les voyageurs dès leur arrivée à l’aéroport. Cela oblige alors le gouvernement japonais à limiter le nombre de personnes pouvant entrer. À l'ère pré-COVID, environ 140 000 personnes, y compris des rapatriés japonais, entraient chaque jour dans le pays. Le plafond actuel de 10 000 personnes ne représente que 7 % de ce chiffre. Le Japon est donc encore fermé à 93% au monde extérieur.
Aussi, au 1er mars 2022, 150 000 étudiants internationaux étaient qualifiés pour résider au Japon mais n'étaient pas entrés dans le pays. Depuis lors, plus de 10 000 d'entre eux sont venus, a déclaré le secrétaire en chef du cabinet Hirokazu Matsuno le 1er avril dernier. Les autorités doivent accélérer l'arrivée des étudiants étrangers restants.
Les ressortissants étrangers ne peuvent toujours pas entrer au Japon pour le tourisme. Les autorités devraient de toute urgence envisager de rouvrir les portes aux touristes. La fermeture trop longue des frontières pourrait rendre le Japon moins attractif comme destination d'études ou de voyage, ce qui serait une perte majeure pour le pays.
Deux printemps plus tard, le gouvernement a progressivement assoupli les restrictions d'entrée : 10 000 personnes par jour peuvent entrer sur le territoire depuis le 10 avril, contre 3 500 par jour en février. Un cadre distinct a également été introduit pour les étudiants étrangers venant au Japon.
Les exigences de quarantaine ont également été assouplies. Les participants n'ont plus besoin de s'isoler dans les maisons ou les hôtels s'ils remplissent certaines conditions, comme présenter un schéma vaccinal complet.
Malgré ces mesures positives, cela reste insuffisant pour assurer la prospérité du pays : le Japon s'ouvre effectivement plus lentement que les autres pays. Des pays asiatiques comme Singapour, qui avaient été relativement prudents jusqu'à récemment, normalisent dorénavant les voyages internationaux, éliminant la quarantaine obligatoire à l'entrée.
Il s’avère que le test antigénique reste obligatoire pour tous les voyageurs dès leur arrivée à l’aéroport. Cela oblige alors le gouvernement japonais à limiter le nombre de personnes pouvant entrer. À l'ère pré-COVID, environ 140 000 personnes, y compris des rapatriés japonais, entraient chaque jour dans le pays. Le plafond actuel de 10 000 personnes ne représente que 7 % de ce chiffre. Le Japon est donc encore fermé à 93% au monde extérieur.
Aussi, au 1er mars 2022, 150 000 étudiants internationaux étaient qualifiés pour résider au Japon mais n'étaient pas entrés dans le pays. Depuis lors, plus de 10 000 d'entre eux sont venus, a déclaré le secrétaire en chef du cabinet Hirokazu Matsuno le 1er avril dernier. Les autorités doivent accélérer l'arrivée des étudiants étrangers restants.
Les ressortissants étrangers ne peuvent toujours pas entrer au Japon pour le tourisme. Les autorités devraient de toute urgence envisager de rouvrir les portes aux touristes. La fermeture trop longue des frontières pourrait rendre le Japon moins attractif comme destination d'études ou de voyage, ce qui serait une perte majeure pour le pays.
Thaïlande : vers une fin anticipée du Thailand Pass ?
Le ministre du Tourisme et des Sports, Phiphat Ratchakitprakarn, a déclaré mercredi 13 avril dernier que le ministère et l'Autorité du tourisme de Thaïlande (TAT) présenteront une proposition d'annulation du Thailand Pass et donc, du programme Test&Go, lors d'une réunion du Centre d'administration de la situation Covid-19 (CCSA) le 22 avril. Pour rappel, la fin du Thailand Pass était initialement prévue pour le 1 juin 2022.
S'ils sont approuvés, les changements devraient prendre effet à partir du 1er mai 2022, ce qui signifie que les voyageurs pourront entrer dans le pays avec des passeports vaccinaux et n’auront plus à attendre 3 à 5 jours pour que leurs documents soient approuvés, comme l'exige l’actuel Thailand Pass.
i["La Thaïlande est prête à accueillir à nouveau les visiteurs étrangers, car notre système de santé publique est correctement équipé. [...] Toutefois, le nombre de décès causés par le Covid-19 dans le pays suscite des inquiétudes, tandis que le nombre de cas quotidiens d'infection après Songkran sera également pris en compte au début de la réouverture du pays aux touristes"]i, a ajouté M. Phiphat Ratchakitprakarn.
Pour rappel, depuis le 1er avril 2022, le gouvernement a supprimé l'obligation de réaliser un test RT-PCR avant le départ pour les voyageurs arrivant dans le royaume dans le cadre du Thailand Pass et de ses programmes Test & Go, Bac à sable (Sandbox) et de Alternative Quarantine.
En avançant la fin du Thailand Pass, la destination montre sa réelle volonté de relancer le secteur du tourisme. De plus, le Premier Ministre Prayut Chan-o-Cha a publié sur les réseaux sociaux que le secteur touristique thaïlandais pourra aider le pays à opérer un redressement économique cette année.
Il a également écrit que des équipes de production cinématographique de 33 pays sont arrivées en Thaïlande pour réaliser plus de 196 films depuis juillet dernier, générant des revenus de plus de 4,2 milliards de bahts pour le pays.
Là où Singapour et les Philippines ont observé une forte hausse des réservations (les données de ForwardKeys démontrent que les réservations au début de l’année 2022 pour Singapour et aux Philippines étaient respectivement à 72% et 65% des niveaux de 2019, tandis que la Thaïlande n’était qu’à 24%), la Thaïlande fait partie des pays d’Asie du sud-est qui peine à retrouver un rythme correct de venues des voyageurs. Les exigences plus compliquées pour partir en Thaïlande privent pour le moment la destination de sa première place en termes d'attractivité touristique en Asie du sud-est.
La Thaïlande mettra jusqu’en 2026 pour se redresser complètement, a déclaré le gouverneur de sa banque centrale, alors qu'en 2019, le tourisme représentait environ 12% du produit intérieur brut (PIB) du pays.
S'ils sont approuvés, les changements devraient prendre effet à partir du 1er mai 2022, ce qui signifie que les voyageurs pourront entrer dans le pays avec des passeports vaccinaux et n’auront plus à attendre 3 à 5 jours pour que leurs documents soient approuvés, comme l'exige l’actuel Thailand Pass.
i["La Thaïlande est prête à accueillir à nouveau les visiteurs étrangers, car notre système de santé publique est correctement équipé. [...] Toutefois, le nombre de décès causés par le Covid-19 dans le pays suscite des inquiétudes, tandis que le nombre de cas quotidiens d'infection après Songkran sera également pris en compte au début de la réouverture du pays aux touristes"]i, a ajouté M. Phiphat Ratchakitprakarn.
Pour rappel, depuis le 1er avril 2022, le gouvernement a supprimé l'obligation de réaliser un test RT-PCR avant le départ pour les voyageurs arrivant dans le royaume dans le cadre du Thailand Pass et de ses programmes Test & Go, Bac à sable (Sandbox) et de Alternative Quarantine.
En avançant la fin du Thailand Pass, la destination montre sa réelle volonté de relancer le secteur du tourisme. De plus, le Premier Ministre Prayut Chan-o-Cha a publié sur les réseaux sociaux que le secteur touristique thaïlandais pourra aider le pays à opérer un redressement économique cette année.
Il a également écrit que des équipes de production cinématographique de 33 pays sont arrivées en Thaïlande pour réaliser plus de 196 films depuis juillet dernier, générant des revenus de plus de 4,2 milliards de bahts pour le pays.
Là où Singapour et les Philippines ont observé une forte hausse des réservations (les données de ForwardKeys démontrent que les réservations au début de l’année 2022 pour Singapour et aux Philippines étaient respectivement à 72% et 65% des niveaux de 2019, tandis que la Thaïlande n’était qu’à 24%), la Thaïlande fait partie des pays d’Asie du sud-est qui peine à retrouver un rythme correct de venues des voyageurs. Les exigences plus compliquées pour partir en Thaïlande privent pour le moment la destination de sa première place en termes d'attractivité touristique en Asie du sud-est.
La Thaïlande mettra jusqu’en 2026 pour se redresser complètement, a déclaré le gouverneur de sa banque centrale, alors qu'en 2019, le tourisme représentait environ 12% du produit intérieur brut (PIB) du pays.