TourMaG.com - Quel bilan tirez-vous de l’opération partirauxcaraibes lancée par le secrétaire d'État à l'Outremer et pour laquelle vous avez fourni une partie de l’offre TO ?
Didier Sylvestre : "Il était urgent d’agir. Pour nous, c’est satisfaisant puisque nous avons enregistré un millier de réservations et environ 300 options supplémentaires pour 60 offres répertoriées sur le site.
Mais nous n’avons pas attendu cette opération pour nous mettre en ordre de bataille sur la relance des Antilles. Nous avions déjà sorti nos « pokers de l’été » et nous l‘avions fait savoir aux agences puisqu‘elles revendent la quasi-totalité de nos produits.
Les Antilles sont des destinations que nous connaissons parfaitement puisqu’elles représentent 50% de nos ventes au global. On sait qu’en fin de saison, la clientèle est plus opportuniste. Elle cherche les premiers prix et les 3 étoiles.
L’offre que nous avons proposée correspondait à cette demande. D’ailleurs une deuxième vague partirauxcaraibes est dans les tuyaux et nous sommes à nouveau partants..."
TM.com - Avez-vous noté une grosse différence entre les ventes Martinique et les ventes Guadeloupe ?
Didier Sylvestre : "La Martinique s’est mieux vendue, logiquement puisqu’elle a été moins marquée par l’agitation sociale. Par ailleurs, la Guadeloupe est désavantagée car il reste des établissements hôteliers qui sont toujours fermés. Disons que cela fait 45% de ventes pour la Guadeloupe et 55% pour la Martinique."
TM.com - A ce propos, comment avez-vous géré la période des mouvements sociaux ?
Didier Sylvestre : "Nous avons eu beaucoup de reports. Certains clients ont choisi des destinations de rechange. L’ïle de Saint-Martin a explosé. Pas mal de clients ont opté également pour l’île Maurice.
Et puis, nous avions aussi des clients qui ne pouvaient partir qu’en février et qui ont préféré reporter d’un an leur voyage.
Globalement sur l’axe Antilles, en mars, nous étions à - 40% de chiffre d’affaires, en avril nous avons fini à -20% et depuis le début du mois de mai, nous sommes à nouveau en positif par rapport à la même période en 2008."
Didier Sylvestre : "Il était urgent d’agir. Pour nous, c’est satisfaisant puisque nous avons enregistré un millier de réservations et environ 300 options supplémentaires pour 60 offres répertoriées sur le site.
Mais nous n’avons pas attendu cette opération pour nous mettre en ordre de bataille sur la relance des Antilles. Nous avions déjà sorti nos « pokers de l’été » et nous l‘avions fait savoir aux agences puisqu‘elles revendent la quasi-totalité de nos produits.
Les Antilles sont des destinations que nous connaissons parfaitement puisqu’elles représentent 50% de nos ventes au global. On sait qu’en fin de saison, la clientèle est plus opportuniste. Elle cherche les premiers prix et les 3 étoiles.
L’offre que nous avons proposée correspondait à cette demande. D’ailleurs une deuxième vague partirauxcaraibes est dans les tuyaux et nous sommes à nouveau partants..."
TM.com - Avez-vous noté une grosse différence entre les ventes Martinique et les ventes Guadeloupe ?
Didier Sylvestre : "La Martinique s’est mieux vendue, logiquement puisqu’elle a été moins marquée par l’agitation sociale. Par ailleurs, la Guadeloupe est désavantagée car il reste des établissements hôteliers qui sont toujours fermés. Disons que cela fait 45% de ventes pour la Guadeloupe et 55% pour la Martinique."
TM.com - A ce propos, comment avez-vous géré la période des mouvements sociaux ?
Didier Sylvestre : "Nous avons eu beaucoup de reports. Certains clients ont choisi des destinations de rechange. L’ïle de Saint-Martin a explosé. Pas mal de clients ont opté également pour l’île Maurice.
Et puis, nous avions aussi des clients qui ne pouvaient partir qu’en février et qui ont préféré reporter d’un an leur voyage.
Globalement sur l’axe Antilles, en mars, nous étions à - 40% de chiffre d’affaires, en avril nous avons fini à -20% et depuis le début du mois de mai, nous sommes à nouveau en positif par rapport à la même période en 2008."