"J'en ai un peu marre de cette corporation qui gueule pour un oui ou pour un non, qui ne supporte pas la concurrence et qui n'offre aucun service" - DR : © atm2003 - Fotolia.com
Potentiellement, les Chinoas représentent des centaines de millions de voyageurs.
Et, pour le plus grand bonheur de notre économie, ils apprécient un voyage en France. Cerise sur le gâteau, ils dépensent…
Faciliter leur venue est donc une bonne chose, à condition que tout soit "pile poil" pour les accueillir.
Eux, comme les autres touristes d'ailleurs.
Parce que, de ce côté-là, c'est encore loin d'être gagné et c'est pas l'usine à gaz (merci Virginie) mise en place par Mademoiselle qui va donner des résultats en 48 heures.
Déjà qu'il a fallu plus de 18 mois pour avoir un semblant d'idée, va bien en falloir autant pour en dégager quelques résultats…
Par exemple convaincre nos petits autochtones avides de rencontres culturelles qu'un Chinoa, c'est aussi un être humain qui vient en paix visiter notre pays et qui est avide de rencontres en tout genre.
Mais qui n'est pas là pour se faire dépouiller ou arnaquer sous prétexte que nous n'avons pas la même couleur de peau et que nous ne parlons pas tout à fait la même langue.
Ça, va y'avoir du boulot pour combler la fracture culturelle…
Tiens, à propos de fracture, existe un autre point sur lequel je commence à gonfler sérieusement.
Le problème des taxis, parisiens pour beaucoup et d'une manière plus générale, les tacots des grandes villes.
Ceux qui sont toujours de mauvaise humeur, quelle que soit la course demandée, qui vous insufflent dans les oreilles les propos de stations de radio ringardes et qui grommellent dans leur barbe lorsque vous demandez un peu de … calme.
Je n'oublie pas les bavards qui vous balancent leurs considérations racistes sur tout et n'importe quoi, y compris la météo du jour.
Attention, je ne parle pas de ces petits artisans taxis qui opèrent dans nos belles provinces et qui viennent vous chercher à la gare ou emmener votre belle-mère à sa visite médicale… D'ailleurs, ceux-là, ils demandent rien.
Et, pour le plus grand bonheur de notre économie, ils apprécient un voyage en France. Cerise sur le gâteau, ils dépensent…
Faciliter leur venue est donc une bonne chose, à condition que tout soit "pile poil" pour les accueillir.
Eux, comme les autres touristes d'ailleurs.
Parce que, de ce côté-là, c'est encore loin d'être gagné et c'est pas l'usine à gaz (merci Virginie) mise en place par Mademoiselle qui va donner des résultats en 48 heures.
Déjà qu'il a fallu plus de 18 mois pour avoir un semblant d'idée, va bien en falloir autant pour en dégager quelques résultats…
Par exemple convaincre nos petits autochtones avides de rencontres culturelles qu'un Chinoa, c'est aussi un être humain qui vient en paix visiter notre pays et qui est avide de rencontres en tout genre.
Mais qui n'est pas là pour se faire dépouiller ou arnaquer sous prétexte que nous n'avons pas la même couleur de peau et que nous ne parlons pas tout à fait la même langue.
Ça, va y'avoir du boulot pour combler la fracture culturelle…
Tiens, à propos de fracture, existe un autre point sur lequel je commence à gonfler sérieusement.
Le problème des taxis, parisiens pour beaucoup et d'une manière plus générale, les tacots des grandes villes.
Ceux qui sont toujours de mauvaise humeur, quelle que soit la course demandée, qui vous insufflent dans les oreilles les propos de stations de radio ringardes et qui grommellent dans leur barbe lorsque vous demandez un peu de … calme.
Je n'oublie pas les bavards qui vous balancent leurs considérations racistes sur tout et n'importe quoi, y compris la météo du jour.
Attention, je ne parle pas de ces petits artisans taxis qui opèrent dans nos belles provinces et qui viennent vous chercher à la gare ou emmener votre belle-mère à sa visite médicale… D'ailleurs, ceux-là, ils demandent rien.
En revanche, j'en ai un peu marre de cette corporation qui gueule pour un oui ou pour un non, qui ne supporte pas la concurrence et qui n'offre aucun service.
Parce que oui, si les VTC commencent à voir le jour, c'est parce que certains ont des idées et surtout une notion primordiale du service.
Je comprends que nos tacots parisiens ou marseillais, soucieux de défendre leur monopole, mais peu soucieux de fournir un véritable service, s'inquiètent de cette concurrence.
Parce que, quand vous commandez un VTC, il est à l'heure, il ne coûte pas plus cher qu'un tacot "normal", y'a un sourire en prime et on vous regarde pas comme un vieil étron lorsque le pourliche n'est pas à la hauteur !
Je n'ose imaginer la tête des touristes étrangers, Chinoas compris, qui ont débarqué lundi à Orly ou à Roissy. Parce que, pour attraper un taxi non gréviste, fallait en vouloir…
Surtout lorsque la bagnole de ce dernier était attaquée à coup d'œufs pourris par les autres congénères furieux de ce "jaune" (on appelle jaune un briseur de grève).
Surtout si, à bord, quelques chinoas effarés se demandaient s'ils ne préféraient pas encore leur propre Révolution Culturelle.
Mao est encore vivant… mais notre tourisme a encore pris un sacré coup de plomb dans l'aile…
Parce que oui, si les VTC commencent à voir le jour, c'est parce que certains ont des idées et surtout une notion primordiale du service.
Je comprends que nos tacots parisiens ou marseillais, soucieux de défendre leur monopole, mais peu soucieux de fournir un véritable service, s'inquiètent de cette concurrence.
Parce que, quand vous commandez un VTC, il est à l'heure, il ne coûte pas plus cher qu'un tacot "normal", y'a un sourire en prime et on vous regarde pas comme un vieil étron lorsque le pourliche n'est pas à la hauteur !
Je n'ose imaginer la tête des touristes étrangers, Chinoas compris, qui ont débarqué lundi à Orly ou à Roissy. Parce que, pour attraper un taxi non gréviste, fallait en vouloir…
Surtout lorsque la bagnole de ce dernier était attaquée à coup d'œufs pourris par les autres congénères furieux de ce "jaune" (on appelle jaune un briseur de grève).
Surtout si, à bord, quelques chinoas effarés se demandaient s'ils ne préféraient pas encore leur propre Révolution Culturelle.
Mao est encore vivant… mais notre tourisme a encore pris un sacré coup de plomb dans l'aile…