Le cybersquattage (utilisation illicite d’une marque dans un nom de domaine) l’une des plus grosses escroqueries dans le secteur du tourisme, connaît, un taux de progression d’environ 40% par an...
Les fraudeurs utilisent pour conduire leurs attaques les outils et les méthodes les plus divers, aussi il est recommandé aux marques d’adopter pour se protéger une approche holistique.
Pour être efficace, une campagne de sécurisation associera une prévention proactive, une détection rapide et des mesures correctives énergiques.
Les voyagistes ne peuvent pas se permettre de voir leur chiffre d’affaires amputé et leur réputation atteinte, ou encore de perdre la confiance de leur clientèle, au risque d’un impact financier majeur sur leurs transactions en ligne.
Dans le secteur du tourisme, l’arrivée du trafic sur le site de la marque est cruciale : elle offre un retour sur investissement bien plus direct que dans tout autre secteur d’activité.
Si le client est orienté ailleurs que vers le site web du détenteur de la marque, sa réservation risque de ne pas se concrétiser, d’où une perte de chiffre pour le voyagiste.
Lorsqu’une marque réputée est utilisée à mauvais escient, pour détourner le trafic Internet, l’impact financier est énorme. Les méthodes les plus courantes en la matière sont le cybersquattage (utilisation illicite d’une marque dans un nom de domaine) et le détournement des liens sponsorisés.
Pour être efficace, une campagne de sécurisation associera une prévention proactive, une détection rapide et des mesures correctives énergiques.
Les voyagistes ne peuvent pas se permettre de voir leur chiffre d’affaires amputé et leur réputation atteinte, ou encore de perdre la confiance de leur clientèle, au risque d’un impact financier majeur sur leurs transactions en ligne.
Dans le secteur du tourisme, l’arrivée du trafic sur le site de la marque est cruciale : elle offre un retour sur investissement bien plus direct que dans tout autre secteur d’activité.
Si le client est orienté ailleurs que vers le site web du détenteur de la marque, sa réservation risque de ne pas se concrétiser, d’où une perte de chiffre pour le voyagiste.
Lorsqu’une marque réputée est utilisée à mauvais escient, pour détourner le trafic Internet, l’impact financier est énorme. Les méthodes les plus courantes en la matière sont le cybersquattage (utilisation illicite d’une marque dans un nom de domaine) et le détournement des liens sponsorisés.
Cybersquattage : progression d’environ 40% par an
Le cybersquattage, l’une des plus grosses escroqueries dans le secteur du tourisme, connaît, un taux de progression d’environ 40% par an .
Sa pratique permet de générer facilement du trafic à partir des moteurs de recherche : le nom d’une marque réputée est utilisé comme une partie d’un nom de domaine pour orienter le trafic vers des sites étrangers à la marque.
Les fraudeurs enregistrent ainsi régulièrement des noms de domaine reprenant le nom d’une entreprise ou de l’une de ses marques.
Le détournement des liens sponsorisés est lui aussi couramment utilisé pour détourner le trafic lié au tourisme.
Le fraudeur achète des noms de marque comme mots-clés pour orienter les clients potentiels de ces marques vers ses sites web.
Dans le secteur du tourisme, les escrocs ne sont pas les seuls responsables des usages frauduleux et il n’est pas rare que d’authentiques partenaires des détenteurs des marques soient impliqués.
Ces partenaires violent délibérément les conditions d’utilisation des marques pour orienter le trafic vers leurs sites intermédiaires.
Sa pratique permet de générer facilement du trafic à partir des moteurs de recherche : le nom d’une marque réputée est utilisé comme une partie d’un nom de domaine pour orienter le trafic vers des sites étrangers à la marque.
Les fraudeurs enregistrent ainsi régulièrement des noms de domaine reprenant le nom d’une entreprise ou de l’une de ses marques.
Le détournement des liens sponsorisés est lui aussi couramment utilisé pour détourner le trafic lié au tourisme.
Le fraudeur achète des noms de marque comme mots-clés pour orienter les clients potentiels de ces marques vers ses sites web.
Dans le secteur du tourisme, les escrocs ne sont pas les seuls responsables des usages frauduleux et il n’est pas rare que d’authentiques partenaires des détenteurs des marques soient impliqués.
Ces partenaires violent délibérément les conditions d’utilisation des marques pour orienter le trafic vers leurs sites intermédiaires.
Sécuriser son portefeuille de domaines
Ces sites proposent alors des liens vers les sites des détenteurs légitimes des marques, mais au passage, l’intermédiaire est en droit de prétendre à une commission.
L’impact pour certaines des plus grandes marques du secteur n’est pas neutre, puisque le trafic devrait en fait atteindre directement leur site, sans versement d’une commission.
En fait, ces "partenaires" violent les accords conclus et escroquent certaines des marques les plus réputées du secteur.
Autre mesure importante pour les voyagistes : protéger leurs domaines. Chaque entreprise devrait définir une stratégie pour sécuriser son portefeuille de domaines.
Le risque est trop grand pour être ignoré : la continuité des opérations dans le secteur du tourisme dépend du fonctionnement des URL et des sites.
Idéalement, il faudrait éviter totalement les attaques sur les noms de domaines. Dans la pratique, les marques doivent au moins déployer des procédures avérées et s’appuyer sur des partenaires expérimentés pour pouvoir réagir rapidement et minimiser les dommages.
L’impact pour certaines des plus grandes marques du secteur n’est pas neutre, puisque le trafic devrait en fait atteindre directement leur site, sans versement d’une commission.
En fait, ces "partenaires" violent les accords conclus et escroquent certaines des marques les plus réputées du secteur.
Autre mesure importante pour les voyagistes : protéger leurs domaines. Chaque entreprise devrait définir une stratégie pour sécuriser son portefeuille de domaines.
Le risque est trop grand pour être ignoré : la continuité des opérations dans le secteur du tourisme dépend du fonctionnement des URL et des sites.
Idéalement, il faudrait éviter totalement les attaques sur les noms de domaines. Dans la pratique, les marques doivent au moins déployer des procédures avérées et s’appuyer sur des partenaires expérimentés pour pouvoir réagir rapidement et minimiser les dommages.