Marco Corradino, le PDG de Lastminute.com réclame une plus grande coopération - DR
Les temps sont durs pour toute l'industrie touristique, que l'agence soit en ligne ou non.
Plombé par le coronavirus, Lastminute.com a vu ses recettes fondre sous l'immobilisation des voyageurs du monde entier.
Au 1er trimestre 2020, alors que le confinement a été instauré en Europe principalement en mars, le groupe a perdu 6,7 millions d'euros contre un bénéfice de 6,3 millions sur la même période l'année dernière.
Alors que les réservations reprennent, l'agence de voyages en ligne somme les compagnies aériennes de collaborer pour rétablir la confiance des voyageurs grandement mis à mal par des pratiques hors-la-loi.
"Le manque de cohésion entre les compagnies aériennes et les agences de voyages au cours des derniers mois, notamment en ce qui concerne le traitement des remboursements, a affaibli la confiance des consommateurs," a confié Marco Corradino, le PDG de Lastminute.com.
Plombé par le coronavirus, Lastminute.com a vu ses recettes fondre sous l'immobilisation des voyageurs du monde entier.
Au 1er trimestre 2020, alors que le confinement a été instauré en Europe principalement en mars, le groupe a perdu 6,7 millions d'euros contre un bénéfice de 6,3 millions sur la même période l'année dernière.
Alors que les réservations reprennent, l'agence de voyages en ligne somme les compagnies aériennes de collaborer pour rétablir la confiance des voyageurs grandement mis à mal par des pratiques hors-la-loi.
"Le manque de cohésion entre les compagnies aériennes et les agences de voyages au cours des derniers mois, notamment en ce qui concerne le traitement des remboursements, a affaibli la confiance des consommateurs," a confié Marco Corradino, le PDG de Lastminute.com.
Subvention étatique = remborusement des clients pour le patron de Lastminute.com
Pour rétablir cette confiance perdue, le patron de l'OTA, demande davantage de coopération entre les deux parties.
Il affirme aussi que "rendre aux clients leur argent devrait être une priorité absolue au même titre que la sécurité, puisque les gouvernements interviennent avec des aides publiques en faveur des compagnies aériennes."
Un appel du pied, alors que depuis quelques semaines les transporteurs se font plus que discrets et annoncent timidement le retour des avions dans le ciel.
Il affirme aussi que "rendre aux clients leur argent devrait être une priorité absolue au même titre que la sécurité, puisque les gouvernements interviennent avec des aides publiques en faveur des compagnies aériennes."
Un appel du pied, alors que depuis quelques semaines les transporteurs se font plus que discrets et annoncent timidement le retour des avions dans le ciel.