Xavier, c’était Kuoni...
Je suis ensuite tombée très amoureuse de Xavier. J’étais très fière de lui.
Les copines le regardaient comme un beau produit : il était joli, toujours tiré à quatre épingles, il avait une jolie peau et un sourire éclatant. Sa plus-value culturelle faisait très bien dans les salons (celui là, c’était pas comme Laurent et Olivier : on pouvait même le présenter à la famille…)
Et puis voilà, un jour, après avoir été amoureuse pendant deux ans, vous vous réveillez, et vous trouvez que c’est un joli produit, mais sans rien d’exceptionnel, aucune véritable valeur ajoutée. En plus, il devenait un peu vieux et chiant. Poussiéreux…
Et faute de pouvoir renouveler le produit, autant passer à une autre marque.
Les copines le regardaient comme un beau produit : il était joli, toujours tiré à quatre épingles, il avait une jolie peau et un sourire éclatant. Sa plus-value culturelle faisait très bien dans les salons (celui là, c’était pas comme Laurent et Olivier : on pouvait même le présenter à la famille…)
Et puis voilà, un jour, après avoir été amoureuse pendant deux ans, vous vous réveillez, et vous trouvez que c’est un joli produit, mais sans rien d’exceptionnel, aucune véritable valeur ajoutée. En plus, il devenait un peu vieux et chiant. Poussiéreux…
Et faute de pouvoir renouveler le produit, autant passer à une autre marque.
Benjamin, c’était Nosylis...
C’était ma période un peu bling-bling. Je me suis laissée embobiner par Benjamin.
Grosse erreur : Benjamin était très impressionnant au premier regard… mais si l’emballage en jetait, il n’y avait rien à l’intérieur… même pas la caution culturelle d’un Xavier...
Benjamin, c’était une coquille vide : un joli paquet qui enveloppait du vent… On ne reste pas avec un mec juste parce qu’il « fait luxe ». Benjamin, c’était Nosylis. Ben… il a fait faillite…
Grosse erreur : Benjamin était très impressionnant au premier regard… mais si l’emballage en jetait, il n’y avait rien à l’intérieur… même pas la caution culturelle d’un Xavier...
Benjamin, c’était une coquille vide : un joli paquet qui enveloppait du vent… On ne reste pas avec un mec juste parce qu’il « fait luxe ». Benjamin, c’était Nosylis. Ben… il a fait faillite…
Marc, c’était Rev.Vacances...
J’ai re-voulu revenir aux basics et j’ai rencontré Marc. J’avoue qu’au moment de commencer à écrire ce post, j’avais complètement oublié jusqu’à son existence… c’est dire si je ne le regrette pas.
Au premier abord, il avait une personnalité. Pas très flexible ni original, mais on pouvait trouver chez lui l’essentiel.
Au fond, Marc, c’était Rev Vacances. Et puis, je me suis rendue compte que le problème n’était pas seulement son manque d’originalité : sous des airs d’exhaustivité dans le classique, il n’y avait rien à lui.
Marc était juste un agrégateur de contenus : une copie des autres. Next !
Au premier abord, il avait une personnalité. Pas très flexible ni original, mais on pouvait trouver chez lui l’essentiel.
Au fond, Marc, c’était Rev Vacances. Et puis, je me suis rendue compte que le problème n’était pas seulement son manque d’originalité : sous des airs d’exhaustivité dans le classique, il n’y avait rien à lui.
Marc était juste un agrégateur de contenus : une copie des autres. Next !