Les 9 étages au-dessus de l’entrée du casino bénéficient d’un éclairage coloré et dynamique qui anime toute la nuit la promenade des Anglais, sans déranger le moins du monde les clients de l’hôtel. Il relève ainsi une autre facette de l’architecture du bâtiment et confère un cachet unique à ce lieu mythique et incontournable du tourisme niçois.
C’est une réalisation unique en France et même en Europe qui achève sa phase de travaux d’embellissement et de rénovation intérieure, engagée il y a un an. L’éclairage se compose de 176 bandeaux lumineux, d’1 mètre chacun environ, posés sur la façade, soit 12 bandeaux par étage et environ 3 500LED (diodes électroluminescentes).
Ces éclairages ont été imaginés par le décorateur cannois Vincent Alliot, supervisés par Alain Bara, Responsable du Patrimoine et Développement du Groupe Lucien Barrière. Les éclairages sont programmables et pilotés par ordinateur.
Ils peuvent changer de couleur, clignoter, envoyer un message- texte. Des animations sont également envisageables comme des vagues, ondes, mouvements divers, en fonction de divers paramètres comme la saisonnalité. Ces éclairages s’inscrivent dans la continuité du « Plan Lumière 2005-2008 » de la ville.
Nous avons interviewé Jean Charles Pitt, qui a pris ses fonctions de directeur en octobre 2005. Il arrive du Touquet où il dirigeait le casino du groupe Barrière.
C’est une réalisation unique en France et même en Europe qui achève sa phase de travaux d’embellissement et de rénovation intérieure, engagée il y a un an. L’éclairage se compose de 176 bandeaux lumineux, d’1 mètre chacun environ, posés sur la façade, soit 12 bandeaux par étage et environ 3 500LED (diodes électroluminescentes).
Ces éclairages ont été imaginés par le décorateur cannois Vincent Alliot, supervisés par Alain Bara, Responsable du Patrimoine et Développement du Groupe Lucien Barrière. Les éclairages sont programmables et pilotés par ordinateur.
Ils peuvent changer de couleur, clignoter, envoyer un message- texte. Des animations sont également envisageables comme des vagues, ondes, mouvements divers, en fonction de divers paramètres comme la saisonnalité. Ces éclairages s’inscrivent dans la continuité du « Plan Lumière 2005-2008 » de la ville.
Nous avons interviewé Jean Charles Pitt, qui a pris ses fonctions de directeur en octobre 2005. Il arrive du Touquet où il dirigeait le casino du groupe Barrière.
Questions à Jean Charles Pitt, directeur du casino Ruhl
Jean Charles Pitt, directeur du casino Ruhl
T.M.com - Comment positionnez-vous le Ruhl sur la Côte d’Azur ?
Jean Charles Pitt : « Il faut ternir copte d’un environnement concurrentiel considérable puisque entre Menton et Cannes, en intégrant la Principauté, on compte près de 14 casinos sur 30 km et ce n’est pas fini car d’autres communes comme Beausoleil ou Villeneuve Loubet souhaitent obtenir l’autorisation d’un établissement de jeux.
Le Ruhl à Nice a avec la réouverture du Palais de la Méditerranée, depuis un an, un concurrent situé à moins de 200 m sur la Promenade.
Avec 5.000 m2, un cabaret, et l’un des plus grands parcs de machines à sous de la région avec 300 machines, le Ruhl maintient sa place avec 55 millions euros de produit brut de jeux. »
T.M.com - Quelle animation proposez-vous ?
Jean Charles Pitt : « Nous allons mieux exploiter notre salle de cabaret de 270 places en formule dîner spectacle (300 en amphithéâtre) qui dispose d’une vaste scène de 90 m2. On continue notre revue la seule de ce type en France, avec celle du cabaret de Monaco, qui présente son show deux fois par semaine avec 18 artistes (danseuses et chanteurs).
On élargit la programmation avec du café théâtre (Nuit d’Ivresse) mais aussi des vedettes comme Yves Duteil, Claude Barzotti. »
T.M.com - Comment voyez-vous l'avenir du lieu ?
Jean Charles Pitt : « Le Ruhl doit devenir un lieu d’animation. Nous nous impliquons également dans la ville. Ainsi nous sommes pour la première fois partenaire du carnaval de Nice. Enfin nous renforçons nos liens avec nos partenaires logés dans le même immeuble comme l’hôtel Mercure et le café Lenôtre pour offrir un véritable resort.
La mise en lumière de la façade vient ainsi montrer aux niçois et aux visiteurs que le Casino Ruhl souhaite devenir l’un des espaces d’animations privilégiés de la ville. »
Jean Charles Pitt : « Il faut ternir copte d’un environnement concurrentiel considérable puisque entre Menton et Cannes, en intégrant la Principauté, on compte près de 14 casinos sur 30 km et ce n’est pas fini car d’autres communes comme Beausoleil ou Villeneuve Loubet souhaitent obtenir l’autorisation d’un établissement de jeux.
Le Ruhl à Nice a avec la réouverture du Palais de la Méditerranée, depuis un an, un concurrent situé à moins de 200 m sur la Promenade.
Avec 5.000 m2, un cabaret, et l’un des plus grands parcs de machines à sous de la région avec 300 machines, le Ruhl maintient sa place avec 55 millions euros de produit brut de jeux. »
T.M.com - Quelle animation proposez-vous ?
Jean Charles Pitt : « Nous allons mieux exploiter notre salle de cabaret de 270 places en formule dîner spectacle (300 en amphithéâtre) qui dispose d’une vaste scène de 90 m2. On continue notre revue la seule de ce type en France, avec celle du cabaret de Monaco, qui présente son show deux fois par semaine avec 18 artistes (danseuses et chanteurs).
On élargit la programmation avec du café théâtre (Nuit d’Ivresse) mais aussi des vedettes comme Yves Duteil, Claude Barzotti. »
T.M.com - Comment voyez-vous l'avenir du lieu ?
Jean Charles Pitt : « Le Ruhl doit devenir un lieu d’animation. Nous nous impliquons également dans la ville. Ainsi nous sommes pour la première fois partenaire du carnaval de Nice. Enfin nous renforçons nos liens avec nos partenaires logés dans le même immeuble comme l’hôtel Mercure et le café Lenôtre pour offrir un véritable resort.
La mise en lumière de la façade vient ainsi montrer aux niçois et aux visiteurs que le Casino Ruhl souhaite devenir l’un des espaces d’animations privilégiés de la ville. »