« La clientèle n’a pas assez de choix en France ».
Avec seulement 25 hôtels, le parc de Vacances Bleues n’est pas suffisamment diversifié. L’offre est incomplète et par conséquent trop peu attractive.
Vacances Bleues a donc prévu de doubler son parc d’ici 2011.
Comment ? Jean-Louis Largeteau, le président du directoire de Vacances Bleues explique : « Nous allons prendre en gestion de nouvelles structures hôtelières, soit par baux commerciaux, soit par mandats de gestion ou encore en partageant la gestion de sites avec des partenaires comme VVF ».
Une structure de développement de six personne a été mise en place pour établir le cahier recherche de nouveaux produits et cibler de nouvelles destinations.
« Nous ne sommes pas prêts à envisager une alliance avec un autre groupe comme cela avait été le cas avec Odalys ».
Avec seulement 25 hôtels, le parc de Vacances Bleues n’est pas suffisamment diversifié. L’offre est incomplète et par conséquent trop peu attractive.
Vacances Bleues a donc prévu de doubler son parc d’ici 2011.
Comment ? Jean-Louis Largeteau, le président du directoire de Vacances Bleues explique : « Nous allons prendre en gestion de nouvelles structures hôtelières, soit par baux commerciaux, soit par mandats de gestion ou encore en partageant la gestion de sites avec des partenaires comme VVF ».
Une structure de développement de six personne a été mise en place pour établir le cahier recherche de nouveaux produits et cibler de nouvelles destinations.
« Nous ne sommes pas prêts à envisager une alliance avec un autre groupe comme cela avait été le cas avec Odalys ».
Vacances Bleues parvient tout juste à rester dans le vert
L’échec de ce rapprochement quelques mois après son annonce avait jeté le trouble sur la stratégie suivie par le groupe marseillais. « Il y avait un problème de bonne cohésion et le projet n’a finalement pas pris parce que c’est arrivé pendant la crise ».
Vacances Bleues met donc les bouchées double pour réussir la diversification de son offre et l’élargissement de sa clientèle sur trois cibles : les familles, les seniors actifs et la clientèle de court séjour.
Mais la marge est étroite. Malgré un plan d’économie de 2,8 M€, Vacances Bleues parvient tout juste à rester dans le vert. Son chiffre d’affaires recule de 4 % à 80 M€ pour 2009 et le résultat net ressort à 400 000 €, pour un effectif de 900 personnes.
En loisir, le montant moyen des dossier atteint les 1150 euros et ne connaît pas vraiment de baisse, comme l’activité TO ( 7500 pax).
Vacances Bleues met donc les bouchées double pour réussir la diversification de son offre et l’élargissement de sa clientèle sur trois cibles : les familles, les seniors actifs et la clientèle de court séjour.
Mais la marge est étroite. Malgré un plan d’économie de 2,8 M€, Vacances Bleues parvient tout juste à rester dans le vert. Son chiffre d’affaires recule de 4 % à 80 M€ pour 2009 et le résultat net ressort à 400 000 €, pour un effectif de 900 personnes.
En loisir, le montant moyen des dossier atteint les 1150 euros et ne connaît pas vraiment de baisse, comme l’activité TO ( 7500 pax).
''Nous avons beaucoup souffert sur la partie tourisme d’affaire''
En revanche, « nous avons beaucoup souffert sur la partie tourisme d’affaire. Un secteur qui représente environ 15 % de notre activité. Les négociations sur les séminaires en 2009 ont été très importantes, les tarifs pratiqués étant inférieurs de 40 % à ceux affichés », révèle Jean-Louis Largeteau.
Tout ce qui rentre fait ventre, alors la concurrence fait rage. Vacances Bleues essuie, selon les cas, un recul d’activité de 30 à 35%. L’hôtellerie niçoise suit à peu près la même pente. « Heureusement, nous avons pu commencer à mettre en place notre nouvel outil informatique pour optimiser les remplissages en adaptant les prix au contexte ».
Du « yield », pour faire court. « On est 5 à 15 points au-dessus du remplissage moyen de la concurrence, selon les destinations », se félicite Jean-Louis Largeteau, à la tête d’une entreprise qui doit muter à marche forcée.
Les loyers des 20 hôtels que Vacances Bleues a en gestion ne cessent d’augmenter. Leurs bailleurs, des caisses de retraites, se comportant « comme des fonds de pension ».
Tout ce qui rentre fait ventre, alors la concurrence fait rage. Vacances Bleues essuie, selon les cas, un recul d’activité de 30 à 35%. L’hôtellerie niçoise suit à peu près la même pente. « Heureusement, nous avons pu commencer à mettre en place notre nouvel outil informatique pour optimiser les remplissages en adaptant les prix au contexte ».
Du « yield », pour faire court. « On est 5 à 15 points au-dessus du remplissage moyen de la concurrence, selon les destinations », se félicite Jean-Louis Largeteau, à la tête d’une entreprise qui doit muter à marche forcée.
Les loyers des 20 hôtels que Vacances Bleues a en gestion ne cessent d’augmenter. Leurs bailleurs, des caisses de retraites, se comportant « comme des fonds de pension ».