Philippe Melul vient d'auto-éditer son 3e ouvrage « 197 », comme le nombre de pays qu'il a pu visiter au cours de sa vie. Un condensé des photos prises au cours de toutes ces pérégrinations - DR : Philippe Melul
Il n'avait jamais eu autant de temps pour classer ses photos de voyages...
A 55 ans, après avoir visité tous les pays du globe, réalisé une dizaine de tours du monde et expérimenté de nombreux métiers dans le tourisme, Philippe Melul a été, comme des milliers de grands voyageurs, forcé de stopper ses road trips durant la pandémie de Covid-19.
Une période qui lui a permis d'auto-éditer son troisième ouvrage « 197 », comme le nombre de pays qu'il a pu visiter au cours de sa vie.
Désormais installé en Equateur, le fondateur et ex-dirigeant du TO Altiplano, a compilé dans ce recueil, des photos prises au cours de toutes ces pérégrinations.
Certaines sont classées par thématiques, d'autres par pays, accompagnées d'un commentaire de l'auteur. « Il s'agit de photos de la vie quotidienne, et pas uniquement de cartes postales, commente-t-il. En effet, les scènes de rue sont souvent plus fascinantes que les musées ! ».
Un ouvrage destiné à faire voyager les lecteurs... avant de pouvoir réellement recommencer à se déplacer !
Le livre est disponible sur le site de Philippe Melul ou sur Amazon, les textes sont traduits en français, anglais et espagnol.
A 55 ans, après avoir visité tous les pays du globe, réalisé une dizaine de tours du monde et expérimenté de nombreux métiers dans le tourisme, Philippe Melul a été, comme des milliers de grands voyageurs, forcé de stopper ses road trips durant la pandémie de Covid-19.
Une période qui lui a permis d'auto-éditer son troisième ouvrage « 197 », comme le nombre de pays qu'il a pu visiter au cours de sa vie.
Désormais installé en Equateur, le fondateur et ex-dirigeant du TO Altiplano, a compilé dans ce recueil, des photos prises au cours de toutes ces pérégrinations.
Certaines sont classées par thématiques, d'autres par pays, accompagnées d'un commentaire de l'auteur. « Il s'agit de photos de la vie quotidienne, et pas uniquement de cartes postales, commente-t-il. En effet, les scènes de rue sont souvent plus fascinantes que les musées ! ».
Un ouvrage destiné à faire voyager les lecteurs... avant de pouvoir réellement recommencer à se déplacer !
Le livre est disponible sur le site de Philippe Melul ou sur Amazon, les textes sont traduits en français, anglais et espagnol.
La Colombie, premier voyage post-Covid
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De son côté, Philippe Melul a pu réaliser son premier voyage international post-Covid en avril dernier : un autotour de trois semaines à travers la Colombie (3 500 km de roadtrip, Bogota et les villes coloniales au Nord de la capitale, puis le long de la côte jusqu'à la Péninsule de la Guajira).
En tant que professionnel du tourisme, il a pu constater la difficulté d'organiser sereinement un tour pour des clients, dans un contexte où les mesures sanitaires varient constamment.
« En Colombie, les mesures de couvre-feu ou de confinement sont décrétées par région, parfois par ville ! Il y a aussi des systèmes d'autorisation de circulation alternée, en fonction des plaques d'immatriculation des voitures.
Un vrai casse-tête, à moins de proposer uniquement des séjours balnéaires où les clients restent sur place. Et encore, ils risquent de se retrouver confinés le week-end dans leur hôtel... », souligne-t-il.
L'avantage de son roadtrip en Colombie était bien sûr le peu de touristes présents sur palace. « Il n'y avait personne, même à Carthagène, qui est une ville très fréquentée par les croisiéristes. Et puis, les prix des hôtels sont très bas ».
Mais son voyage lui a aussi permis de constater à quel point le secteur du tourisme était complètement sinistré en Colombie... comme en Equateur, où il réside depuis 2019.
« Les prix des vols intra-Amérique du Sud ont beaucoup augmenté, la moitié des hôtels sont fermés définitivement, je ne parle même pas des agences…. Il n'y a pas d'aides, le personnel a été licencié du jour au lendemain, beaucoup tentent de se reconvertir.
Le seul tourisme qui a la cote, c'est le tourisme vaccinal. Des agences proposent à leurs riches clients latino-américains d'aller se faire vacciner aux Etats-Unis à Miami, un forfait playa + vaccin », a-t-il pu observer.
Lui avait pour projet d'ouvrir une agence réceptive en Equateur. « Tout était prêt, j'avais des contacts avec des fournisseurs, j'avais même loué un bureau, mais le projet a été stoppé net par la pandémie ».
Comme tous les professionnels du tourisme, Philippe Melul attend désormais la réouverture des frontières pour prendre un nouvel envol...
En tant que professionnel du tourisme, il a pu constater la difficulté d'organiser sereinement un tour pour des clients, dans un contexte où les mesures sanitaires varient constamment.
« En Colombie, les mesures de couvre-feu ou de confinement sont décrétées par région, parfois par ville ! Il y a aussi des systèmes d'autorisation de circulation alternée, en fonction des plaques d'immatriculation des voitures.
Un vrai casse-tête, à moins de proposer uniquement des séjours balnéaires où les clients restent sur place. Et encore, ils risquent de se retrouver confinés le week-end dans leur hôtel... », souligne-t-il.
L'avantage de son roadtrip en Colombie était bien sûr le peu de touristes présents sur palace. « Il n'y avait personne, même à Carthagène, qui est une ville très fréquentée par les croisiéristes. Et puis, les prix des hôtels sont très bas ».
Mais son voyage lui a aussi permis de constater à quel point le secteur du tourisme était complètement sinistré en Colombie... comme en Equateur, où il réside depuis 2019.
« Les prix des vols intra-Amérique du Sud ont beaucoup augmenté, la moitié des hôtels sont fermés définitivement, je ne parle même pas des agences…. Il n'y a pas d'aides, le personnel a été licencié du jour au lendemain, beaucoup tentent de se reconvertir.
Le seul tourisme qui a la cote, c'est le tourisme vaccinal. Des agences proposent à leurs riches clients latino-américains d'aller se faire vacciner aux Etats-Unis à Miami, un forfait playa + vaccin », a-t-il pu observer.
Lui avait pour projet d'ouvrir une agence réceptive en Equateur. « Tout était prêt, j'avais des contacts avec des fournisseurs, j'avais même loué un bureau, mais le projet a été stoppé net par la pandémie ».
Comme tous les professionnels du tourisme, Philippe Melul attend désormais la réouverture des frontières pour prendre un nouvel envol...