AccorHotels a annoncé ce dimanche 3 juin 2018 sa volonté de reprendre les parts de l'État dans le groupe AIr France - KLM.
Elle réaffirme ainsi une volonté mainte fois assumée ces dernières années et sa volonté de "développer notamment des projets digitaux communs et une plateforme commune de fidélisation et de services" affirme le groupe hôtelier.
Des discussions encore à l'état de projet ajoute-t-on chez Accor, qui pourrait asseoir sa position dans un contexte de très forte concurrence entre les groupes hôteliers internationaux et entre l'hôtellerie et les sites d'échanges de type Airbnb...
Cela lui permettrait aussi de réduire la présence de la Chine au capital du groupe et de nombre de ses concurrents, et des risque d'OPA sur Accor, dont on parle de plus en plus.
L'État détient un peu plus de 14%.
Le groupe Accor propose de reprendre l'intégralité des parts ou une partie, ou, troisième possibilité, d'effectuer un échange de bons procédés : récupérer les parts de l'État contre l'entrée de ce dernier au capital d'Accor, préservant ainsi le groupe d'une OPA chinoise.
Une proposition de rachat qui pourrait bien séduire Emmanuel Macron, dans un contexte pour le moins compliqué pour la compagnie, suite aux nombreuses contestations sociales et à la démission de son président Jean-Marc Janaillac.
Elle réaffirme ainsi une volonté mainte fois assumée ces dernières années et sa volonté de "développer notamment des projets digitaux communs et une plateforme commune de fidélisation et de services" affirme le groupe hôtelier.
Des discussions encore à l'état de projet ajoute-t-on chez Accor, qui pourrait asseoir sa position dans un contexte de très forte concurrence entre les groupes hôteliers internationaux et entre l'hôtellerie et les sites d'échanges de type Airbnb...
Cela lui permettrait aussi de réduire la présence de la Chine au capital du groupe et de nombre de ses concurrents, et des risque d'OPA sur Accor, dont on parle de plus en plus.
L'État détient un peu plus de 14%.
Le groupe Accor propose de reprendre l'intégralité des parts ou une partie, ou, troisième possibilité, d'effectuer un échange de bons procédés : récupérer les parts de l'État contre l'entrée de ce dernier au capital d'Accor, préservant ainsi le groupe d'une OPA chinoise.
Une proposition de rachat qui pourrait bien séduire Emmanuel Macron, dans un contexte pour le moins compliqué pour la compagnie, suite aux nombreuses contestations sociales et à la démission de son président Jean-Marc Janaillac.
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