Selon les statistiques de l'Iata, 23 des 103 accidents d'avions occidentaux survenus dans le monde l'an dernier se sont produits en Afrique.
"La sécurité est notre priorité et le point le plus urgent est l'Afrique", déclarait le directeur général de l'Iata, Giovanni Bisignani, lors d'une conférence de presse à l'issue d'une mission de quatre jours au Kenya et en Afrique du Sud.
"L'Afrique a fait des progrès en matière de sécurité", ajoutait-il cependant, précisant qu'il y a eu 5,2 accidents pour un million de vols l'an dernier contre 10,8 dix ans auparavant.
"C'est un progrès mais c'est encore 6,6 fois pire que la moyenne mondiale. Vingt-cinq pour cent des accidents impliquant des appareils occidentaux en 2004 se sont produits en Afrique", déplore M. Bisignani.
"Si nous ajoutons les avions construits dans les pays de l'est, c'est encore pire", ajoute-t-il sans donner de chiffres mais en soulignant que le continent "ne compte que pour 4,5% du trafic mondial".
Selon les statistiques de l'Iata, 23 des 103 accidents d'avions occidentaux survenus dans le monde l'an dernier se sont produits en Afrique.
Un autre point de préoccupation porte sur le manque d'infrastructures, ce qui représentera un obstacle majeur lorsque, en 2007, les compagnies aériennes n'émettront plus que des billets électroniques.
"Il est très important que 100% des émissions de billets se fassent sur internet d'ici 2007,", estime M. Bisignani, précisant que l'Iata prêterait assistance aux pays africains dans ce domaine.
Les billets électroniques permettront aux compagnies d'économiser environ trois milliards de dollars par an, ce qui sera bienvenu dans un secteur qui devrait enregistrer jusqu'à 7,4 milliards de dollars de perte cette année en raison de la hausse des cours du pétrole.
"L'Afrique a fait des progrès en matière de sécurité", ajoutait-il cependant, précisant qu'il y a eu 5,2 accidents pour un million de vols l'an dernier contre 10,8 dix ans auparavant.
"C'est un progrès mais c'est encore 6,6 fois pire que la moyenne mondiale. Vingt-cinq pour cent des accidents impliquant des appareils occidentaux en 2004 se sont produits en Afrique", déplore M. Bisignani.
"Si nous ajoutons les avions construits dans les pays de l'est, c'est encore pire", ajoute-t-il sans donner de chiffres mais en soulignant que le continent "ne compte que pour 4,5% du trafic mondial".
Selon les statistiques de l'Iata, 23 des 103 accidents d'avions occidentaux survenus dans le monde l'an dernier se sont produits en Afrique.
Un autre point de préoccupation porte sur le manque d'infrastructures, ce qui représentera un obstacle majeur lorsque, en 2007, les compagnies aériennes n'émettront plus que des billets électroniques.
"Il est très important que 100% des émissions de billets se fassent sur internet d'ici 2007,", estime M. Bisignani, précisant que l'Iata prêterait assistance aux pays africains dans ce domaine.
Les billets électroniques permettront aux compagnies d'économiser environ trois milliards de dollars par an, ce qui sera bienvenu dans un secteur qui devrait enregistrer jusqu'à 7,4 milliards de dollars de perte cette année en raison de la hausse des cours du pétrole.