Deux jours de pluies intenses et de vents soufflant à 250 km/h
Les habitants et les touristes de Cancún sortis dans les rues après s'être calfeutrés chez eux pendant 72 heures, ont découvert le coeur serré le panorama désolant d'une ville détruite.
La cité balnéaire la plus célèbre du caribe mexicain, connue dans le monde entier, a commencé à nettoyer et à ouvrir les artères après deux jours de pluies intenses et de vents soufflant à 250 km/h qui ont endommagé maisons et façades.
Immédiatement après, ils ont dû faire face à un autre phénomène : les pillages et les vols de ceux qui emportaient tout qui était possible. Les images des pillards transportant télévisions, réfrigérateurs, machines à laver... ont fait le tour du monde entier.
La ville est toujours privée d'électricité et de téléphone
L'impact de Wilma est conséquent. La ville est toujours privée d'électricité et de téléphone, avec des grandes zones inondées avec plus d'1,5 mètre d'eau et des vivres qui se font rares. Les rues sont encombrées par les arbres ou des branches arrachés par la tempête.
Les hôtels sont out et quelques-uns seulement font fonctionner leur générateurs. Afin de faire cesser vandalismes et rapines, l'armée, la marine et les polices municipales et fédérales (!) assurent désormais la sécurité et patrouillent dans les rues.
La police et l'Armée patrouillent dans les rues
L'Armée a d'ailleurs contribué à l'évacuation de quelques-uns des 30 000 touristes pour qu'ils puissent rejoindre les aéroports voisins de Mérida ou Chetumal, compte tenu que celui de Cancún, ne sert pour l'instant que pour les secours et l'aide d'urgence.
Bien que la zone hôtelière ait été rouverte, il demeure encore des aires inondées, là où la langue de terre qui sépare la mer de la laguna de Nichupté a été complètement recouverte par les eaux.
Le président mexicain Fox, impressionné par la violence de louragan et l'importance des dégâts à promis de "reconstruire tout ce qui avait été abîmé, mais d'abord a-t-il rappelé, l'urgence est de sauver nos vies et celles de nos familles..."
La cité balnéaire la plus célèbre du caribe mexicain, connue dans le monde entier, a commencé à nettoyer et à ouvrir les artères après deux jours de pluies intenses et de vents soufflant à 250 km/h qui ont endommagé maisons et façades.
Immédiatement après, ils ont dû faire face à un autre phénomène : les pillages et les vols de ceux qui emportaient tout qui était possible. Les images des pillards transportant télévisions, réfrigérateurs, machines à laver... ont fait le tour du monde entier.
La ville est toujours privée d'électricité et de téléphone
L'impact de Wilma est conséquent. La ville est toujours privée d'électricité et de téléphone, avec des grandes zones inondées avec plus d'1,5 mètre d'eau et des vivres qui se font rares. Les rues sont encombrées par les arbres ou des branches arrachés par la tempête.
Les hôtels sont out et quelques-uns seulement font fonctionner leur générateurs. Afin de faire cesser vandalismes et rapines, l'armée, la marine et les polices municipales et fédérales (!) assurent désormais la sécurité et patrouillent dans les rues.
La police et l'Armée patrouillent dans les rues
L'Armée a d'ailleurs contribué à l'évacuation de quelques-uns des 30 000 touristes pour qu'ils puissent rejoindre les aéroports voisins de Mérida ou Chetumal, compte tenu que celui de Cancún, ne sert pour l'instant que pour les secours et l'aide d'urgence.
Bien que la zone hôtelière ait été rouverte, il demeure encore des aires inondées, là où la langue de terre qui sépare la mer de la laguna de Nichupté a été complètement recouverte par les eaux.
Le président mexicain Fox, impressionné par la violence de louragan et l'importance des dégâts à promis de "reconstruire tout ce qui avait été abîmé, mais d'abord a-t-il rappelé, l'urgence est de sauver nos vies et celles de nos familles..."