28,2 milliards d'euros : voici ce que dépenseront les voyageurs d'affaires sur le marché français en 2017.
Un chiffre dévoilé mercredi 21 septembre par le cabinet Espa dans le cadre d'une conférence à l'IFTM.
Une dépense en augmentation de 3,5%.
Dans le détail, les prix du transport aérien devraient progresser au global de 2,2% sauf en France, où la baisse attendue est de 1,6% en France. Au total, le nombre de passagers devrait être en croissance de 3,9%.
Le coût du train en France reste très mesuré, avec un tarif de 7,70 euros pour 100 kilomètres, contre une moyenne à 13,60 euros dans le reste de l'Europe.
"On dit que la SNCF reste chère, mais ses tarifs sont inférieurs à ses voisins européens pour une qualité supérieure", estime Matthieu Gufflet, directeur du cabinet Epsa.
Quant à la location de voitures, ses tarifs devraient rester stables.
Un chiffre dévoilé mercredi 21 septembre par le cabinet Espa dans le cadre d'une conférence à l'IFTM.
Une dépense en augmentation de 3,5%.
Dans le détail, les prix du transport aérien devraient progresser au global de 2,2% sauf en France, où la baisse attendue est de 1,6% en France. Au total, le nombre de passagers devrait être en croissance de 3,9%.
Le coût du train en France reste très mesuré, avec un tarif de 7,70 euros pour 100 kilomètres, contre une moyenne à 13,60 euros dans le reste de l'Europe.
"On dit que la SNCF reste chère, mais ses tarifs sont inférieurs à ses voisins européens pour une qualité supérieure", estime Matthieu Gufflet, directeur du cabinet Epsa.
Quant à la location de voitures, ses tarifs devraient rester stables.
La désintermédiation poursuit son chemin.
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Du coté de l'hôtellerie, les prix devraient également grimper de 2,5% au global et de 1,4% pour le marché France.
Les Etats-Unis vont devenir encore plus onéreux, avec une hausse de 4%, tandis que les établissements européens se contenteront d'une inflation de 1,2%.
La désintermédiation du secteur se poursuit.
L'an prochain, seules 57% des réservations de billets de train ou d'avion se feront via une agence de voyages. Matthieu Gufflet estime qu'on devrait atteindre le palier de 50% en 2020.
Dans une étude présentée quelques heures plus tôt, en partenariat avec Déplacements Pros, on remarque que les voyageurs d'affaires ne considèrent plus l'agence de voyages comme élément très utile : 51% estiment qu'elles se contentent de vendre de simples prestations.
"L'agence est passée sur un métier transactionnel avec de nombreux outils qui ont contribué à déshumaniser la relation. Les clients se débrouillent beaucoup par eux-même", estime Jordy Staelen, FCM Travel Solutions. .
La multiplication des outils et diverses interfaces minimise en effet le rôle des agences de voyages, qui deviennent transparentes. Il reste donc encore du travail pour communiquer sur leurs rôles et sur leur valeur ajoutée.
Les Etats-Unis vont devenir encore plus onéreux, avec une hausse de 4%, tandis que les établissements européens se contenteront d'une inflation de 1,2%.
La désintermédiation du secteur se poursuit.
L'an prochain, seules 57% des réservations de billets de train ou d'avion se feront via une agence de voyages. Matthieu Gufflet estime qu'on devrait atteindre le palier de 50% en 2020.
Dans une étude présentée quelques heures plus tôt, en partenariat avec Déplacements Pros, on remarque que les voyageurs d'affaires ne considèrent plus l'agence de voyages comme élément très utile : 51% estiment qu'elles se contentent de vendre de simples prestations.
"L'agence est passée sur un métier transactionnel avec de nombreux outils qui ont contribué à déshumaniser la relation. Les clients se débrouillent beaucoup par eux-même", estime Jordy Staelen, FCM Travel Solutions. .
La multiplication des outils et diverses interfaces minimise en effet le rôle des agences de voyages, qui deviennent transparentes. Il reste donc encore du travail pour communiquer sur leurs rôles et sur leur valeur ajoutée.