T.M.com – Que pensez-vous du débat qui a opposé dernièrement Marmara et son site Firstchoice.fr aux Distributeurs ?
C.daS. : « Si les agences n’avaient pas le retard actuel par rapport à internet ce débat n’aurait pas eu lieu. Pour moi c’est d’abord un problème d’équipement et d’attitude par rapport à Internet, qui n’est pas un canal de distribution comme les autres.
Mais ce qui m’interpelle c’est que les TO changent la règle du jeu et offrent en ligne des tarifs différents de ceux qu’ils proposent aux distributeurs traditionnels…
A leur décharge, si les Réseaux ne jouent pas le jeu, il est logique que les producteurs passent au B2C même si, selon moi, cela ne représentera jamais la grande majorité des ventes… »
TourMaG.com – Vous pensez que les Réseaux négligent les TO régionaux ?
C.daS. : « Je crois que les grands Réseaux devraient regarder les petits TO qui jouent le jeu, car la discrimation par le prix n’est pas acceptable. Il y a des TO dont le savoir-faire et la qualité ne sont ni reconnus ni référencés parce qu’ils ne donnent pas suffisamment de commission aux agences.
Nous sommes allés voir des réseaux avec nos produits spécifiques et thématiques et on a l’impression qu’on nous mesure uniquement à l’aune de la commission versée. On nous demande entre 15 et 18,5% de commission sans contrepartie de garantie de volume de vente, ce qui est inacceptable ! »
T.M.com – Quelles en sont les conséquences selon vous ?
C.daS. : « Le danger des ventes sur le Net c’est qu’elles ont élargi la palette du voyageur. Or, les agences et les réseaux qui privilégient le taux de commission à l’originalité réduisent obligatoirement la variété des produits proposés à leur clientèle. Ce faisant, ils scient du même coup la branche sur laquelle ils sont assis…
Autre effet pervers de la discrimination par la commission : les TO qui ne trouvent pas une consolidation suffisante sont poussés vers la vente directe. Ce n’est pas la politique de Croisitour, mais je comprends ceux qui passent à l’acte… »
C.daS. : « Si les agences n’avaient pas le retard actuel par rapport à internet ce débat n’aurait pas eu lieu. Pour moi c’est d’abord un problème d’équipement et d’attitude par rapport à Internet, qui n’est pas un canal de distribution comme les autres.
Mais ce qui m’interpelle c’est que les TO changent la règle du jeu et offrent en ligne des tarifs différents de ceux qu’ils proposent aux distributeurs traditionnels…
A leur décharge, si les Réseaux ne jouent pas le jeu, il est logique que les producteurs passent au B2C même si, selon moi, cela ne représentera jamais la grande majorité des ventes… »
TourMaG.com – Vous pensez que les Réseaux négligent les TO régionaux ?
C.daS. : « Je crois que les grands Réseaux devraient regarder les petits TO qui jouent le jeu, car la discrimation par le prix n’est pas acceptable. Il y a des TO dont le savoir-faire et la qualité ne sont ni reconnus ni référencés parce qu’ils ne donnent pas suffisamment de commission aux agences.
Nous sommes allés voir des réseaux avec nos produits spécifiques et thématiques et on a l’impression qu’on nous mesure uniquement à l’aune de la commission versée. On nous demande entre 15 et 18,5% de commission sans contrepartie de garantie de volume de vente, ce qui est inacceptable ! »
T.M.com – Quelles en sont les conséquences selon vous ?
C.daS. : « Le danger des ventes sur le Net c’est qu’elles ont élargi la palette du voyageur. Or, les agences et les réseaux qui privilégient le taux de commission à l’originalité réduisent obligatoirement la variété des produits proposés à leur clientèle. Ce faisant, ils scient du même coup la branche sur laquelle ils sont assis…
Autre effet pervers de la discrimination par la commission : les TO qui ne trouvent pas une consolidation suffisante sont poussés vers la vente directe. Ce n’est pas la politique de Croisitour, mais je comprends ceux qui passent à l’acte… »
T.M.com – Justement, avec vos « Marques blanches » avez-vous des solutions pour les agences qui veulent être présentes sur la vente en ligne ?
C.daS. : « Nous avons fait le choix de la distribution en proposant aux agences des produits « marque blanche » clés en main. Il leur permettent de ratrapper leur retard sur le net et de se positionner en boutique internet en 10 jours avec un outil simple à manier, qui permet en outre de charger les produits d’autres TO… »
T.M.com – Comment ça marche et quel en est le tarif ?
C.daS. : « Le distributeur qui dispose déjà d’une vitrine en ligne fait son choix pratiquement « à la carte » des produits qu’il souhaite voir apparaître sur son site.
Si l’agence n’a pas de site internet elle peut être en ligne en 10 jours moyennant 2000 euros une fois pour toutes. Autre solution, la gratuité avec une 2e formule qui prévoit le versement de 11,5% de commission sur les ventes… »
T.M.com – Quel type de produits proposez-vous et combien d’agences ont adopté ce système ?
C.daS. : « Nous avons maintenant 11 thématiques par segmentation clientèle (gays, seniors, croisières, etc) qui couvrent l’ensemble du marché. Aujourd’hui nous avons une trentaine d’agences qui ont adopté notre solution. Il s’agit pour la plupart de distributeurs qui n’avaient pas encore de site internet. »
T.M.com – Combien de brochures avez-vous et quelle est l’évolution de l’offre Croisitour ?
C.daS. : « Aujourd’hui nous avons 4 brochures + 1 virtuelle (« Terres de l’Est ») où nous avons des produits inédits avec un accent particulier sur la gastronomie et la situation d’hôtel, deux de nos critères essentiels…
Nous accentuons aussi de plus en plus la personnalisation de nos produits. Par exemple la thématique « Les plages blanches » au Maroc qui permet un élément de différenciation et de la valeur ajoutée.
Notre brochure « Amerique du Sud » connaît également un beau sucès, parce que le client y voit des choses qu’il ne trouve pas ailleurs : date de choix du départ dans la semaine, guide francophone, (tous les pays sauf la Colombie), etc.
Enfin, nous avons décliné nos « Lune de Miel Or » qui permettent au consommateur de choisir et d’offrir dans une liste de mariage des packages allant de 80 à 250 euros (soirées calèche, dîners, etc) et qui sont une vraie valeur ajoutée… »
C.daS. : « Nous avons fait le choix de la distribution en proposant aux agences des produits « marque blanche » clés en main. Il leur permettent de ratrapper leur retard sur le net et de se positionner en boutique internet en 10 jours avec un outil simple à manier, qui permet en outre de charger les produits d’autres TO… »
T.M.com – Comment ça marche et quel en est le tarif ?
C.daS. : « Le distributeur qui dispose déjà d’une vitrine en ligne fait son choix pratiquement « à la carte » des produits qu’il souhaite voir apparaître sur son site.
Si l’agence n’a pas de site internet elle peut être en ligne en 10 jours moyennant 2000 euros une fois pour toutes. Autre solution, la gratuité avec une 2e formule qui prévoit le versement de 11,5% de commission sur les ventes… »
T.M.com – Quel type de produits proposez-vous et combien d’agences ont adopté ce système ?
C.daS. : « Nous avons maintenant 11 thématiques par segmentation clientèle (gays, seniors, croisières, etc) qui couvrent l’ensemble du marché. Aujourd’hui nous avons une trentaine d’agences qui ont adopté notre solution. Il s’agit pour la plupart de distributeurs qui n’avaient pas encore de site internet. »
T.M.com – Combien de brochures avez-vous et quelle est l’évolution de l’offre Croisitour ?
C.daS. : « Aujourd’hui nous avons 4 brochures + 1 virtuelle (« Terres de l’Est ») où nous avons des produits inédits avec un accent particulier sur la gastronomie et la situation d’hôtel, deux de nos critères essentiels…
Nous accentuons aussi de plus en plus la personnalisation de nos produits. Par exemple la thématique « Les plages blanches » au Maroc qui permet un élément de différenciation et de la valeur ajoutée.
Notre brochure « Amerique du Sud » connaît également un beau sucès, parce que le client y voit des choses qu’il ne trouve pas ailleurs : date de choix du départ dans la semaine, guide francophone, (tous les pays sauf la Colombie), etc.
Enfin, nous avons décliné nos « Lune de Miel Or » qui permettent au consommateur de choisir et d’offrir dans une liste de mariage des packages allant de 80 à 250 euros (soirées calèche, dîners, etc) et qui sont une vraie valeur ajoutée… »