"Cela permet aux gens d'aller se baigner ou de bronzer en gardant l'esprit tranquille", a expliqué à l'AFP Jacques Rosier, maire-adjoint et président de l'office du tourisme, en évoquant les nombreux objets perdus chaque jour dans le sable par des estivants imprudents.
Un bungalow, contenant environ 500 casiers, a été disposé à titre expérimental sur le parking payant de la plage, qui accueille chaque année plus de 500.000 personnes. Moyennant 3 euros, le touriste y abandonne son casque de moto, ses papiers ou ses clés et se voit remettre un bracelet, comme à la piscine.
L'exploitation de cette consigne, également proposée sur la plage voisine de la Grande-Motte (Hérault), est administrée par une société privée de Nîmes, Casier Plage Service, dont le gérant, Hassan Atmani, promet une "sécurité maximum". Selon lui, il s'agit du "premier concept de consigne de plage sécurisée" testé dans une station balnéaire en Europe.
Conformément au plan Vigipirate qui prohibe les consignes en libre service, chaque sac a été ouvert, son contenu consigné par écrit et une présence est assurée durant toute la journée.
Du côté des touristes, les premiers avis sont très partagés. Une touriste belge de 64 ans, inquiète par des vols sur la plage, salue "une excellente initiative", tandis qu'un habitant de Clermont-Ferrand s'offusque du "principe de la plage toujours plus payante".
Un bungalow, contenant environ 500 casiers, a été disposé à titre expérimental sur le parking payant de la plage, qui accueille chaque année plus de 500.000 personnes. Moyennant 3 euros, le touriste y abandonne son casque de moto, ses papiers ou ses clés et se voit remettre un bracelet, comme à la piscine.
L'exploitation de cette consigne, également proposée sur la plage voisine de la Grande-Motte (Hérault), est administrée par une société privée de Nîmes, Casier Plage Service, dont le gérant, Hassan Atmani, promet une "sécurité maximum". Selon lui, il s'agit du "premier concept de consigne de plage sécurisée" testé dans une station balnéaire en Europe.
Conformément au plan Vigipirate qui prohibe les consignes en libre service, chaque sac a été ouvert, son contenu consigné par écrit et une présence est assurée durant toute la journée.
Du côté des touristes, les premiers avis sont très partagés. Une touriste belge de 64 ans, inquiète par des vols sur la plage, salue "une excellente initiative", tandis qu'un habitant de Clermont-Ferrand s'offusque du "principe de la plage toujours plus payante".