Mais où trouver des produits de tourisme responsable ? Voyages-sncf.com avoue avoir quelques difficultés à les localiser. Pour l’instant, l’agence en ligne dit vendre les voyages « responsables » de trois producteurs : Voyages Ushuaïa, Marsans et Voyageurs même si Jean-François Rial, le patron de Voyageurs s‘étonne d’avoir été revendu par l‘agence en ligne.
Jusqu’à présent, ce sont surtout les associations ou les TO de niches qui ont timidement tenté d‘estampiller quelques voyages de tourisme durable. Du coup par coup plutôt qu’une production régulière. Mais avec la prise de conscience des problèmes environnementaux par le grand public, les grands tour-opérateurs ne peuvent pas faire l’économie de la réflexion et certains songent même à proposer des voyages alternatifs.
Voyageurs, parmi les grandes entreprises du secteur, est l’un des plus engagés sur la voie du tourisme responsable.
« 100 % de notre production ressort du tourisme responsable. Pour tous nos produits, nous avons un cahier des charges avec des normes sociales et environnementales strictes », explique Jean-François Rial.
Pour autant, le patron de Voyageurs reconnaît qu’il est difficile de contrôler l’ensemble des prestataires même s’ils adhèrent au fameux cahier des charges. Et Jean-François Rial de garantir comme totalement responsable les 15 % de la production réalisée de bout en bout par le groupe.
Voyageurs souhaite faire adhérer d’autres tour-opérateurs à la cause
Pour le reste, certains voyages comme ceux de Terres d’Aventure ou de Nomade sont plus respectueux de la nature et des populations croisées que d’autres. Autant dire que l’engagement est loin d’avoir atteint son objectif. Mais la croisade n’est pas uniquement sur le production.
Voyageurs souhaite faire adhérer d’autres tour-opérateurs à la cause. « L’objectif du Millénaire de réduire la pauvreté par deux d’ici à 2010 est une nécessité vitale », explique Jean-François Rial qui estime recueillir une oreille attentive sur ces problèmes, chez certains de ses confrères comme Kuoni ou encore Marmara.
Jusqu’à présent, ce sont surtout les associations ou les TO de niches qui ont timidement tenté d‘estampiller quelques voyages de tourisme durable. Du coup par coup plutôt qu’une production régulière. Mais avec la prise de conscience des problèmes environnementaux par le grand public, les grands tour-opérateurs ne peuvent pas faire l’économie de la réflexion et certains songent même à proposer des voyages alternatifs.
Voyageurs, parmi les grandes entreprises du secteur, est l’un des plus engagés sur la voie du tourisme responsable.
« 100 % de notre production ressort du tourisme responsable. Pour tous nos produits, nous avons un cahier des charges avec des normes sociales et environnementales strictes », explique Jean-François Rial.
Pour autant, le patron de Voyageurs reconnaît qu’il est difficile de contrôler l’ensemble des prestataires même s’ils adhèrent au fameux cahier des charges. Et Jean-François Rial de garantir comme totalement responsable les 15 % de la production réalisée de bout en bout par le groupe.
Voyageurs souhaite faire adhérer d’autres tour-opérateurs à la cause
Pour le reste, certains voyages comme ceux de Terres d’Aventure ou de Nomade sont plus respectueux de la nature et des populations croisées que d’autres. Autant dire que l’engagement est loin d’avoir atteint son objectif. Mais la croisade n’est pas uniquement sur le production.
Voyageurs souhaite faire adhérer d’autres tour-opérateurs à la cause. « L’objectif du Millénaire de réduire la pauvreté par deux d’ici à 2010 est une nécessité vitale », explique Jean-François Rial qui estime recueillir une oreille attentive sur ces problèmes, chez certains de ses confrères comme Kuoni ou encore Marmara.
De son côté, Nouvelles Frontières/TUI s’est doté, l‘année dernière, d’un service du tourisme responsable animé par Birgit Kotzan. Objectif, rendre l’entreprise responsable en économisant aussi bien sur les fournitures de bureau à Paris qu’en recyclant les huiles de cuisson et en économisant l’eau de pluie pour les jardins dans les Paladien.
Côté production cependant, rien n’est vraiment estampillé « tourisme responsable » même si la philosophie, d’après Birgit Kotzen, y est. Par exemple, la brochure randonnées qui, depuis quatre ans, propose des voyages à thème environnemental.
De même, la dizaine de circuits en Asie ou en Afrique qui se passent des réceptifs traditionnels pour négocier au plus près des populations locales et qui prévoient, pour certaines d’entre elles, des contacts avec les ONG locales.
Chez Fram, on ne prend pas le sujet à la légère
Quant à mettre une dénomination de tourisme responsable sur cette production, NF y réfléchit mais pour l’instant, aucune décision n’a été prise. Même chose pour TUI dont certains circuits Sénégal ou Maroc pourraient passer pour du tourisme responsable.
Chez Fram, on ne prend pas le sujet à la légère. Pour Georges Viallard, le directeur de la production, il ne s’agit pas de tromper le client parce que le sujet est d’actualité. « Nous ne voulons pas mettre un label promotionnel sur des voyages portant sur la protection de l’environnement. Pour fabriquer un voyage de tourisme responsable, il faut respecter un cahier des charges précis.
Il ne s’agit pas de tromper le client sur un sujet aussi important. Nous avons déjà commencé à introduire des randonnées aux Canaries et au Maroc qui ont une couleur environnementale. Et il y aura des voyages dits « verts » dans notre production hiver mais de là à les labelliser comme tels, ce n’est pas sûr. Nous en sommes au stade de la réflexion ».
Chez Jet tours, le sujet ne suscite pas l’enthousiasme. « Il n’y a rien dans la production actuelle et si on prépare quelque chose, ce n’est pas encore suffisamment avancé pour qu’on en parle maintenant », dit la porte-parole. Aucune réaction, non plus, chez Look Voyages. Autant dire qu’on n’aura pas l’embarras du choix pour les trouver, les voyages responsables de la production hiver !
Côté production cependant, rien n’est vraiment estampillé « tourisme responsable » même si la philosophie, d’après Birgit Kotzen, y est. Par exemple, la brochure randonnées qui, depuis quatre ans, propose des voyages à thème environnemental.
De même, la dizaine de circuits en Asie ou en Afrique qui se passent des réceptifs traditionnels pour négocier au plus près des populations locales et qui prévoient, pour certaines d’entre elles, des contacts avec les ONG locales.
Chez Fram, on ne prend pas le sujet à la légère
Quant à mettre une dénomination de tourisme responsable sur cette production, NF y réfléchit mais pour l’instant, aucune décision n’a été prise. Même chose pour TUI dont certains circuits Sénégal ou Maroc pourraient passer pour du tourisme responsable.
Chez Fram, on ne prend pas le sujet à la légère. Pour Georges Viallard, le directeur de la production, il ne s’agit pas de tromper le client parce que le sujet est d’actualité. « Nous ne voulons pas mettre un label promotionnel sur des voyages portant sur la protection de l’environnement. Pour fabriquer un voyage de tourisme responsable, il faut respecter un cahier des charges précis.
Il ne s’agit pas de tromper le client sur un sujet aussi important. Nous avons déjà commencé à introduire des randonnées aux Canaries et au Maroc qui ont une couleur environnementale. Et il y aura des voyages dits « verts » dans notre production hiver mais de là à les labelliser comme tels, ce n’est pas sûr. Nous en sommes au stade de la réflexion ».
Chez Jet tours, le sujet ne suscite pas l’enthousiasme. « Il n’y a rien dans la production actuelle et si on prépare quelque chose, ce n’est pas encore suffisamment avancé pour qu’on en parle maintenant », dit la porte-parole. Aucune réaction, non plus, chez Look Voyages. Autant dire qu’on n’aura pas l’embarras du choix pour les trouver, les voyages responsables de la production hiver !