Le spécialiste de l’Amérique latine et de l’Europe de l’Est ne sera plus distribué par le réseau des agences Thomas Cook. L’information nous a été confirmée par la direction du réseau.
De son côté, Bruno Gallois, le patron de Marsans, affirme ne pas en avoir été informé officiellement.
Ce qui est sûr, c’est que ces deux partenaires commerciaux de longue date sont en conflit. Au cœur de la discorde, il y aurait un arriéré important de commissions non versées (de l’ordre de 500 000 euros) que Thomas Cook réclame au tour-opérateur.
Pour Bruno Gallois, il s’agit d’une interprétation différente d’un contrat signé avec l’équipe dirigeante précédente de Thomas Cook qui est à la base des dissensions.
De son côté, Bruno Gallois, le patron de Marsans, affirme ne pas en avoir été informé officiellement.
Ce qui est sûr, c’est que ces deux partenaires commerciaux de longue date sont en conflit. Au cœur de la discorde, il y aurait un arriéré important de commissions non versées (de l’ordre de 500 000 euros) que Thomas Cook réclame au tour-opérateur.
Pour Bruno Gallois, il s’agit d’une interprétation différente d’un contrat signé avec l’équipe dirigeante précédente de Thomas Cook qui est à la base des dissensions.
Interprétation différente des accords commerciaux
« Ce que nous savons c’est que THC a procédé à l'audit des commissions rétrocédées ces dernières années par ses TO partenaires dont Marsans, précise-t-il.
En ce qui nous concerne, ces commissions correspondent exactement aux conditions applicables négociés par notre société avec la précédente équipe commerciale ».
Il ajoute : « Les personnes actuellement en poste au sein de THC font pour leur part une interprétation différente de ces accords commerciaux, interprétation que nous contestons.
Il s'agit là d'un différend commercial classique entre deux entreprises commerciales ».
Avec le déréférencement de Marsans, Thomas Cook, à l'évidence, entend imposer son point de vue. Si un terrain d’entente n’est pas trouvé, le coup pourrait être rude pour Marsans qui, selon nos informations, réaliserait avec Thomas Cook, un chiffre d’affaires annuel avoisinant le million d’euros.
En ce qui nous concerne, ces commissions correspondent exactement aux conditions applicables négociés par notre société avec la précédente équipe commerciale ».
Il ajoute : « Les personnes actuellement en poste au sein de THC font pour leur part une interprétation différente de ces accords commerciaux, interprétation que nous contestons.
Il s'agit là d'un différend commercial classique entre deux entreprises commerciales ».
Avec le déréférencement de Marsans, Thomas Cook, à l'évidence, entend imposer son point de vue. Si un terrain d’entente n’est pas trouvé, le coup pourrait être rude pour Marsans qui, selon nos informations, réaliserait avec Thomas Cook, un chiffre d’affaires annuel avoisinant le million d’euros.