Adriana Minchella est la présidente du Cediv - Photo DR
Adriana Minchella, présidente du CEDIV, ne veut pas voir FRAM disparaître.
Contactée par TourMaG.com, elle rappelle son attachement à la marque et estime "ne pas être la seule. De nombreuses agences de voyages tiennent beaucoup à ce tour-opérateur."
Aussi, elle a décidé de lancer un appel à la profession : "Pourquoi ne pas mettre en place une souscription pour sauver FRAM ?"
Elle avance l'idée de mettre en place un système de participation capitalistique, sur Internet par exemple, qui permettrait de créer un fonds et un collectif pour aider le potentiel repreneur de Voyages FRAM et lui donner les moyens de remettre le groupe à flots.
Contactée par TourMaG.com, elle rappelle son attachement à la marque et estime "ne pas être la seule. De nombreuses agences de voyages tiennent beaucoup à ce tour-opérateur."
Aussi, elle a décidé de lancer un appel à la profession : "Pourquoi ne pas mettre en place une souscription pour sauver FRAM ?"
Elle avance l'idée de mettre en place un système de participation capitalistique, sur Internet par exemple, qui permettrait de créer un fonds et un collectif pour aider le potentiel repreneur de Voyages FRAM et lui donner les moyens de remettre le groupe à flots.
"Nous nous devons d'être derrière FRAM"
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Une opération qui n'aurait pas un but philanthropique mais qui viserait à protéger la profession des "dégâts collatéraux gigantesques" que provoquerait la disparition de FRAM.
"Toute la profession serait bouleversée. De nombreuses agences de voyages seraient en danger, estime Adriana Minchella. Nous nous devons d'être derrière FRAM, de l'aider."
Si le projet venait à se concrétiser, "cela n'éviterait évidemment pas une restructuration de l'entreprise", poursuit-elle. Mais "n'y a-t-il pas une autre solution que de laisser FRAM aller à la barre ?"
Elle conclut en prenant exemple sur le soutien de Selectour Afat à l'offre de HNA : "Le réseau a eu le courage de s'engager. Cela n'a pas fonctionné mais nous devons essayer à notre tour de suivre sa voie !"
"Toute la profession serait bouleversée. De nombreuses agences de voyages seraient en danger, estime Adriana Minchella. Nous nous devons d'être derrière FRAM, de l'aider."
Si le projet venait à se concrétiser, "cela n'éviterait évidemment pas une restructuration de l'entreprise", poursuit-elle. Mais "n'y a-t-il pas une autre solution que de laisser FRAM aller à la barre ?"
Elle conclut en prenant exemple sur le soutien de Selectour Afat à l'offre de HNA : "Le réseau a eu le courage de s'engager. Cela n'a pas fonctionné mais nous devons essayer à notre tour de suivre sa voie !"