Pas de fin de grève chez Air France.
Suite aux négociations entamées le 16 avril 2018, les syndicats avaient refusé les conditions proposées par la direction d'Air France
Lire : Grève Air France : le SNPL contre un référendum de ses adhérents
L'accord proposé était ouvert à la signature jusqu'à vendredi 20 avril midi. Mais il n'a pas reçu le nombre de signature nécessaire.
Cependant, la direction lance une consultation auprès de l'ensemble des salariés d'Air France visant à se prononcer sur l'accord proposé le 16 avril dernier.
La consultation se fera par vote électronique. Elle débutera le 26 avril pour se terminer le 4 mai 2018.
« Je ne peux accepter le gâchis en cours alors même qu’une très large majorité des salariés est non-gréviste. Aussi, pour mettre fin à ce désastre et réengager l’ensemble de la compagnie dans la dynamique de croissance, j’appelle chacun à faire entendre sa voix.
J’assumerai personnellement les conséquences de ce vote.» indique Jean-Marc Janaillac, Président d’Air France qui met donc son poste en jeu sur cette consultation.
Selon la direction d'Air France, le conflit aurait d'ores et déjà coûté 220 millions d'euros (auxquels des professionnels ajoute des conséquences à plus long terme dus à un déficit de confiance envers la compagnie).
Dans l'état actuel des choses, la grève se poursuit, lundi 23 et mardi 24 avril prochains.
Suite aux négociations entamées le 16 avril 2018, les syndicats avaient refusé les conditions proposées par la direction d'Air France
Lire : Grève Air France : le SNPL contre un référendum de ses adhérents
L'accord proposé était ouvert à la signature jusqu'à vendredi 20 avril midi. Mais il n'a pas reçu le nombre de signature nécessaire.
Cependant, la direction lance une consultation auprès de l'ensemble des salariés d'Air France visant à se prononcer sur l'accord proposé le 16 avril dernier.
La consultation se fera par vote électronique. Elle débutera le 26 avril pour se terminer le 4 mai 2018.
« Je ne peux accepter le gâchis en cours alors même qu’une très large majorité des salariés est non-gréviste. Aussi, pour mettre fin à ce désastre et réengager l’ensemble de la compagnie dans la dynamique de croissance, j’appelle chacun à faire entendre sa voix.
J’assumerai personnellement les conséquences de ce vote.» indique Jean-Marc Janaillac, Président d’Air France qui met donc son poste en jeu sur cette consultation.
Selon la direction d'Air France, le conflit aurait d'ores et déjà coûté 220 millions d'euros (auxquels des professionnels ajoute des conséquences à plus long terme dus à un déficit de confiance envers la compagnie).
Dans l'état actuel des choses, la grève se poursuit, lundi 23 et mardi 24 avril prochains.
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