Le groupe Accor, qui a déjà connu la crise du Sras, a réactivé depuis deux semaines le groupe de travail qu'il avait alors mis en place. »Des procédures d'hygiène et de santé ont été définies et imposées, qui suivent les recommandations de l'OMS» (Organisation mondiale de la santé), a précisé le groupe dans un communiqué.
De leur coté, les restaurateurs précisent qu'ils suivront les directives nationales et commencent à se renseigner. Là encore, les professionnels refusent de céder à la psychose, a déclaré André Daguin, président du syndicat patronal UMIH.
La SNCF mène une réflexion sur le sujet, en phase avec le plan gouvernemental, et participera aux réunions avec les autres opérateurs.
Nous
Air France annonce s'en tenir strictement au plan gouvernemental. La compagnie, qui a déjà l'expérience du Sras en Asie, précise qu'elle se tient prête et mène une réflexion interne.
Le ministère du Tourisme explique de son côté que le plan gouvernemental "est en cours de remaniement" et qu'il est donc trop tôt pour parler de mesures qui "font l'objet d'une concertation."
Le nouveau plan, ajoute-t-on, devrait être connu dans une semaine environ.
Une discrétion en phase avec l'OMT (Organisation mondiale du tourisme), dont le secrétaire général, Francesco Frangialli, estime qu'un "alarmisme infondé" pourrait provoquer une forte baisse de l'activité néfaste à l'économie».
En 2004, le tourisme pesait 622 milliards de dollars, note l'OMT, mais en 2003, le Sras avait fait chuter de 9% les arrivées internationales en Asie du Nord-Est et de 14 % en Asie du Sud-Est.
De leur coté, les restaurateurs précisent qu'ils suivront les directives nationales et commencent à se renseigner. Là encore, les professionnels refusent de céder à la psychose, a déclaré André Daguin, président du syndicat patronal UMIH.
La SNCF mène une réflexion sur le sujet, en phase avec le plan gouvernemental, et participera aux réunions avec les autres opérateurs.
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Air France annonce s'en tenir strictement au plan gouvernemental. La compagnie, qui a déjà l'expérience du Sras en Asie, précise qu'elle se tient prête et mène une réflexion interne.
Le ministère du Tourisme explique de son côté que le plan gouvernemental "est en cours de remaniement" et qu'il est donc trop tôt pour parler de mesures qui "font l'objet d'une concertation."
Le nouveau plan, ajoute-t-on, devrait être connu dans une semaine environ.
Une discrétion en phase avec l'OMT (Organisation mondiale du tourisme), dont le secrétaire général, Francesco Frangialli, estime qu'un "alarmisme infondé" pourrait provoquer une forte baisse de l'activité néfaste à l'économie».
En 2004, le tourisme pesait 622 milliards de dollars, note l'OMT, mais en 2003, le Sras avait fait chuter de 9% les arrivées internationales en Asie du Nord-Est et de 14 % en Asie du Sud-Est.