C'est « une très bonne édition, assure Frédéric Lorin, directeur du salon IFTM Top Résa.
Il y a eu beaucoup de visiteurs mardi et mercredi, un peu moins jeudi et le vendredi est toujours plus calme, c'est la journée des étudiants. »
Selon Frédéric Lorin, le village de la Montagne, celui du digital et les nombreuses animations ont été plébiscités. « J'ai passé beaucoup de temps dans les allées. Ça bosse, c'est concentré, ça signe ! »
Un salon qualitatif, donc. Un constat partagé par bon nombre d'exposants. D'ailleurs, ils étaient nombreux a poussé les limites de leurs stands. « Nous enregistrons une hausse à deux chiffres en terme de m2 vendus part rapport à 2016 », affirme Frédéric Lorin.
C'est le cas de Murielle Nouchy, directrice de Visit California France, qui a augmenté la superficie de son espace de 20%. L'IFTM est une valeur sûre pour elle. Entourée de huit partenaires, elle a mis en avant son nouveau programme de formation en-ligne, multiplié les événements (formation des agents de voyage, quizz, organisation de conférence de presse, tirages au sort, etc...).
« Nous avons noué près de 800 contacts », se félicite celle qui a sponsorisé le Travel Agents Cup. « Nous avons fait un super boulot, le salon est très dynamique, avec ces nombreuses animations. La profession se renouvelle, les échanges sont positifs ! »
Sur le stand de la Tunisie, on a retrouvé le sourire. « Nous avons vu énormément de monde, dont des personnes que nous n'avions pas vues depuis plusieurs années. Nous avons pu prouver que nous sommes toujours dans le coup ! », explique-t-on.
De même pour l'Iran. « Venir au salon nous permet de rassurer, de dédramatiser »,raconte Mahboubeh Mordi, guide touristique chez le tour-opérateur Eavar.
Il y a eu beaucoup de visiteurs mardi et mercredi, un peu moins jeudi et le vendredi est toujours plus calme, c'est la journée des étudiants. »
Selon Frédéric Lorin, le village de la Montagne, celui du digital et les nombreuses animations ont été plébiscités. « J'ai passé beaucoup de temps dans les allées. Ça bosse, c'est concentré, ça signe ! »
Un salon qualitatif, donc. Un constat partagé par bon nombre d'exposants. D'ailleurs, ils étaient nombreux a poussé les limites de leurs stands. « Nous enregistrons une hausse à deux chiffres en terme de m2 vendus part rapport à 2016 », affirme Frédéric Lorin.
C'est le cas de Murielle Nouchy, directrice de Visit California France, qui a augmenté la superficie de son espace de 20%. L'IFTM est une valeur sûre pour elle. Entourée de huit partenaires, elle a mis en avant son nouveau programme de formation en-ligne, multiplié les événements (formation des agents de voyage, quizz, organisation de conférence de presse, tirages au sort, etc...).
« Nous avons noué près de 800 contacts », se félicite celle qui a sponsorisé le Travel Agents Cup. « Nous avons fait un super boulot, le salon est très dynamique, avec ces nombreuses animations. La profession se renouvelle, les échanges sont positifs ! »
Sur le stand de la Tunisie, on a retrouvé le sourire. « Nous avons vu énormément de monde, dont des personnes que nous n'avions pas vues depuis plusieurs années. Nous avons pu prouver que nous sommes toujours dans le coup ! », explique-t-on.
De même pour l'Iran. « Venir au salon nous permet de rassurer, de dédramatiser »,raconte Mahboubeh Mordi, guide touristique chez le tour-opérateur Eavar.
Le digital et l'innovation
L'édition 2017 a laissé une place importante au digital et à l'innovation, avec la création d'un village digital, le lancement d'un hackahton, un concours de développement web qui a duré 24 heures non stop et le Travel Hub.
Le village digital devrait être reconduit pour l'édition 2018.
« Ce n'est pas un gimmick de bobos en mal d'idéaux. Comme les starts up, le village digital a sa place dans le salon », affirme Frédéric Lorin.
« Le salon est le lieu où l'on peut retranscrire au mieux les évolutions du secteur », appuie Grégory Baumann, directeur commercial et opérations chez Havas Voyages.
Le réseau a profité de l'IFTM pour faire la promotion de trois nouveaux outils.
Chez Prêt à Partir, l'objectif est également atteint : présenter le réseau. « Nous avons reçu la visite de beaucoup de réceptifs et hôteliers qui souhaitent être référencés », note Miki Katona, assistante de direction.
Le village digital devrait être reconduit pour l'édition 2018.
« Ce n'est pas un gimmick de bobos en mal d'idéaux. Comme les starts up, le village digital a sa place dans le salon », affirme Frédéric Lorin.
« Le salon est le lieu où l'on peut retranscrire au mieux les évolutions du secteur », appuie Grégory Baumann, directeur commercial et opérations chez Havas Voyages.
Le réseau a profité de l'IFTM pour faire la promotion de trois nouveaux outils.
Chez Prêt à Partir, l'objectif est également atteint : présenter le réseau. « Nous avons reçu la visite de beaucoup de réceptifs et hôteliers qui souhaitent être référencés », note Miki Katona, assistante de direction.
Le Map Pro prolongé en 2018
Du côté des croisiéristes, le bilan est plutôt positif. La fréquentation a été bonne mardi et mercredi. Certains regrettent l'ambiance.
« Ça manque de festivité, c'est triste », selon Carole Delafontaine de LMS Croisières. Tout comme Nicholas Sharp, directeur général de LMS Croisière, elle regrette que le Map Pro soit démonté avant la fin du salon.
Qu'elle se rassure, Frédéric Lorin a laissé entendre que le Map Pro sera prolongé en 2018.
Dans le village des tours-opérateurs, on se satisfait de la fréquentation.
« C'est la grande messe de l'année, on se doit d'être présent. L'IFTM est l'occasion de retrouver nos partenaires, de prendre des contacts, de créer des opérations, de négocier », énumère Jérémy Voidy, attaché commercial de La Française des circuits.
Selon lui, l'organisation en village est un plus, cela fluidifie le passage.
A côté, on retrouve le stand de Pierre et Vacances. Pour Aurélie Meunier et Aurélie Michaud, le salon a été l'occasion d'identifier de nouveaux concepts. Elles regrettent cependant la fin des speed-dating, avec les agents de voyages.
A 16h ce vendredi, le salon a fermé ses portes.
L'édition 2018 promet déjà plein de surprises.
« Ça manque de festivité, c'est triste », selon Carole Delafontaine de LMS Croisières. Tout comme Nicholas Sharp, directeur général de LMS Croisière, elle regrette que le Map Pro soit démonté avant la fin du salon.
Qu'elle se rassure, Frédéric Lorin a laissé entendre que le Map Pro sera prolongé en 2018.
Dans le village des tours-opérateurs, on se satisfait de la fréquentation.
« C'est la grande messe de l'année, on se doit d'être présent. L'IFTM est l'occasion de retrouver nos partenaires, de prendre des contacts, de créer des opérations, de négocier », énumère Jérémy Voidy, attaché commercial de La Française des circuits.
Selon lui, l'organisation en village est un plus, cela fluidifie le passage.
A côté, on retrouve le stand de Pierre et Vacances. Pour Aurélie Meunier et Aurélie Michaud, le salon a été l'occasion d'identifier de nouveaux concepts. Elles regrettent cependant la fin des speed-dating, avec les agents de voyages.
A 16h ce vendredi, le salon a fermé ses portes.
L'édition 2018 promet déjà plein de surprises.