Vol FI 543 Paris-Reykjavik du 26 janvier 2017 en Economy Class d'un B-757-200
Icelandair a une politique de compagnie traditionnelle en ce qui concerne les bagages. En classe Eco, le transport de la première valise enregistrée est gratuit si son poids ne dépasse pas 23 kg - DR : Icelandair
Enregistrement
A Paris-CDG, l'enregistrement s'effectue dans le hall 4, à proximité immédiate de la navette.
Pas de borne pour effectuer le check-in. Si le passager n'a pas fait l'opération en ligne, il n'y a plus que la solution de l'enregistrement classique aux comptoirs. Ce qui est encore l'option choisie par de nombreux passagers ce jour-là...
Icelandair a une politique de compagnie traditionnelle en ce qui concerne les bagages. En classe Eco, le transport de la première valise enregistrée est gratuit si son poids ne dépasse pas 23 kg. Les valises sont acceptées en cabine à condition qu'elles respectent les dimensions requises.
Il n'y a pas de contrôle de police, Icelandair opérant en zone Schengen. Juste la vérification de la carte d'embarquement avant l'escalator qui emmène les passagers en zone d'embarquement. A l'inverse, les services de la sécurité sont toujours un passage obligé à l'entrée du satellite de départ.
Le vol étant prévu à 13h20, il y a foule devant le seul coffee shop du satellite. Ce sont probablement les voyageurs fidèles qui savent que dans l'avion, il faudra attendre encore pas loin d'une heure - ce qui semble très long après que l'appareil se soit calé en vitesse de croisière pour les estomacs vides -avant que le personnel de bord se décide à pousser les trolleys chargés de nourriture.
A bord
Une fois installés dans le B-757-200 mono-couloir avec trois sièges de chaque côté en classe Eco, il n'y a plus qu'à patienter en étudiant la carte des délices payants. A 14h10, le premier trolley apparaît.
Rien à moins de dix euros si l'on veut avoir un semblant de déjeuner : la Harvest salade, copieuse il est vrai, est à 14 euros ; les trois mini hamburgers chauds à 15 euros ; le sandwich jambon/fromage à 12 euros ; les tapas à 10 euros. Mais il y a aussi pléthore de choses à grignoter, chips, mélanges salés, sucreries. Même choix original pour les boissons que l'on peut acheter à l'unité ou par lot de deux.
La compagnie propose aussi des écouteurs payants (8 euros) pour avoir accès à la tablette calée sur le dos du siège de la rangée précédente.
Au programme des divertissements, beaucoup de films consensuels : Le bon, la brute et le truand, Le diable s'habille en Prada et autres Mad Max avec le choix de deux langues, islandais ou anglais.
Au total 52 films, 237 programmes TV, 19 lectures de livres. Icelandair propose également un accès wifi payant : 9 euros par heure.
A l'arrivée
En phase d'approche, les passagers du côté droit de l'appareil bénéficient des premières images impressionnantes de l'île : en cette saison, un désert irréel de lave noire et de neige mêlées.
Une fois atterri, l'appareil reste au large. Sur la passerelle, les passagers sont cueillis par un vent désagréable mais autant s'y faire tout de suite : le vent est une constante en Islande...
A Paris-CDG, l'enregistrement s'effectue dans le hall 4, à proximité immédiate de la navette.
Pas de borne pour effectuer le check-in. Si le passager n'a pas fait l'opération en ligne, il n'y a plus que la solution de l'enregistrement classique aux comptoirs. Ce qui est encore l'option choisie par de nombreux passagers ce jour-là...
Icelandair a une politique de compagnie traditionnelle en ce qui concerne les bagages. En classe Eco, le transport de la première valise enregistrée est gratuit si son poids ne dépasse pas 23 kg. Les valises sont acceptées en cabine à condition qu'elles respectent les dimensions requises.
Il n'y a pas de contrôle de police, Icelandair opérant en zone Schengen. Juste la vérification de la carte d'embarquement avant l'escalator qui emmène les passagers en zone d'embarquement. A l'inverse, les services de la sécurité sont toujours un passage obligé à l'entrée du satellite de départ.
Le vol étant prévu à 13h20, il y a foule devant le seul coffee shop du satellite. Ce sont probablement les voyageurs fidèles qui savent que dans l'avion, il faudra attendre encore pas loin d'une heure - ce qui semble très long après que l'appareil se soit calé en vitesse de croisière pour les estomacs vides -avant que le personnel de bord se décide à pousser les trolleys chargés de nourriture.
A bord
Une fois installés dans le B-757-200 mono-couloir avec trois sièges de chaque côté en classe Eco, il n'y a plus qu'à patienter en étudiant la carte des délices payants. A 14h10, le premier trolley apparaît.
Rien à moins de dix euros si l'on veut avoir un semblant de déjeuner : la Harvest salade, copieuse il est vrai, est à 14 euros ; les trois mini hamburgers chauds à 15 euros ; le sandwich jambon/fromage à 12 euros ; les tapas à 10 euros. Mais il y a aussi pléthore de choses à grignoter, chips, mélanges salés, sucreries. Même choix original pour les boissons que l'on peut acheter à l'unité ou par lot de deux.
La compagnie propose aussi des écouteurs payants (8 euros) pour avoir accès à la tablette calée sur le dos du siège de la rangée précédente.
Au programme des divertissements, beaucoup de films consensuels : Le bon, la brute et le truand, Le diable s'habille en Prada et autres Mad Max avec le choix de deux langues, islandais ou anglais.
Au total 52 films, 237 programmes TV, 19 lectures de livres. Icelandair propose également un accès wifi payant : 9 euros par heure.
A l'arrivée
En phase d'approche, les passagers du côté droit de l'appareil bénéficient des premières images impressionnantes de l'île : en cette saison, un désert irréel de lave noire et de neige mêlées.
Une fois atterri, l'appareil reste au large. Sur la passerelle, les passagers sont cueillis par un vent désagréable mais autant s'y faire tout de suite : le vent est une constante en Islande...
Vol FI 542 Reykjavik-Paris du 28 janvier 2017 en Economy Comfort d'un B-757-200
En Economy Comfort, les snacks et boissons de la même carte que la classe Eco sont gratuits - DR : G.B.
Mauvaise surprise pour les gros dormeurs, le vol part de Reykjavík à 7h40 et la navette bus qui ramasse les voyageurs individuels dans les différents hôtels de la ville part vers l'aéroport à 5h. La nuit est donc courte.
Enregistrement
A l'arrivée, autre contrariété, il y a beaucoup de voyageurs en partance. Les vols en provenance des Etats-Unis ayant déjà atterri, c'est le moment où tous les vols européens sont programmés pour décoller toutes les cinq minutes.
Heureusement, pour les voyageurs n'ayant pas fait leurs check-in la veille, le nombre de bornes d'enregistrement est suffisant pour éviter les queues aux comptoirs. Les passagers avec bagages sont autorisés à enregistrer 2 bagages de 23 kg maximum et prendre avec eux 2 bagages cabines de 10kg.
Le Saga Lounge
En une vingtaine de minutes, les opérations de check-in et contrôle sécurité sont effectuées. Il ne reste plus qu'à prendre un bon petit déjeuner en attendant l'embarquement.
Il y a l'embarras du choix dans le terminal. L'Economy Comfort permet d'avoir accès au salon Affaires, le Saga Lounge, où l'offre de nourriture chaude ou froide en self service, est abondante.
Le plus difficile est de trouver un fauteuil libre. Des travaux d'agrandissement sont en cours de façon à offrir une surface de 1 400 m2 dès ce printemps. Tellement confortable, promet la publicité d'Icelandair, "que vous allez regretter que votre avion parte à l'heure".
A bord
A l'embarquement, pas de privilège particulier pour les passagers premium ou même pour les familles avec enfants en bas âge. Il faut faire la queue. Heureusement, cette fois-ci l'appareil est au contact.
La zone Comfort plus est séparée de la classe Eco comme de la Saga Class. Elle se compose de deux rangées de trois sièges différents de ceux de la classe Eco. Plus spacieux, en cuir confortable.
Il y a quatre passagers par rangée puisque le siège du milieu reste toujours vide. Par rapport à la classe Eco, l'espacement entre les sièges gagne deux centimètres et l'inclinaison même modeste du dossier est possible.
Les écouteurs et les snacks et boissons de la même carte que la classe Eco sont gratuits, sauf le champagne qui reste payant.
La tablette fixée au siège avant est plus large qu'en Eco. A cette heure matinale, la musique est une compagne de voyage bienvenue.
Le choix est large. Au total 376 programmes différents. Je choisis de faire un voyage dans le passé avec Nick Drake pendant que mon voisin se concentre sur les tableaux de son ordinateur pendant les trois heures de vol...
Enregistrement
A l'arrivée, autre contrariété, il y a beaucoup de voyageurs en partance. Les vols en provenance des Etats-Unis ayant déjà atterri, c'est le moment où tous les vols européens sont programmés pour décoller toutes les cinq minutes.
Heureusement, pour les voyageurs n'ayant pas fait leurs check-in la veille, le nombre de bornes d'enregistrement est suffisant pour éviter les queues aux comptoirs. Les passagers avec bagages sont autorisés à enregistrer 2 bagages de 23 kg maximum et prendre avec eux 2 bagages cabines de 10kg.
Le Saga Lounge
En une vingtaine de minutes, les opérations de check-in et contrôle sécurité sont effectuées. Il ne reste plus qu'à prendre un bon petit déjeuner en attendant l'embarquement.
Il y a l'embarras du choix dans le terminal. L'Economy Comfort permet d'avoir accès au salon Affaires, le Saga Lounge, où l'offre de nourriture chaude ou froide en self service, est abondante.
Le plus difficile est de trouver un fauteuil libre. Des travaux d'agrandissement sont en cours de façon à offrir une surface de 1 400 m2 dès ce printemps. Tellement confortable, promet la publicité d'Icelandair, "que vous allez regretter que votre avion parte à l'heure".
A bord
A l'embarquement, pas de privilège particulier pour les passagers premium ou même pour les familles avec enfants en bas âge. Il faut faire la queue. Heureusement, cette fois-ci l'appareil est au contact.
La zone Comfort plus est séparée de la classe Eco comme de la Saga Class. Elle se compose de deux rangées de trois sièges différents de ceux de la classe Eco. Plus spacieux, en cuir confortable.
Il y a quatre passagers par rangée puisque le siège du milieu reste toujours vide. Par rapport à la classe Eco, l'espacement entre les sièges gagne deux centimètres et l'inclinaison même modeste du dossier est possible.
Les écouteurs et les snacks et boissons de la même carte que la classe Eco sont gratuits, sauf le champagne qui reste payant.
La tablette fixée au siège avant est plus large qu'en Eco. A cette heure matinale, la musique est une compagne de voyage bienvenue.
Le choix est large. Au total 376 programmes différents. Je choisis de faire un voyage dans le passé avec Nick Drake pendant que mon voisin se concentre sur les tableaux de son ordinateur pendant les trois heures de vol...
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