Parce que, avouons-le, rien n’est clair dans cette histoire.
Excepté la volonté affichée du Groupe TUI d’appliquer sa méthode hégémonique sur le marché européen.
Et accessoirement, d’endiguer les pertes sur le marché français.
En revanche, nous ne savons toujours quasi rien de la future « fusion » entre TUI France et Transat France.
On peut comprendre aisément les salariés devant l’opacité complète de ce rachat. Et leur inquiétude.
Je remarque aussi que les agents de voyages, pour qui la vente de voyages à forfaits reste encore une part importante de leurs revenus, restent plutôt cois devant la déferlante hégémonique qui se prépare.
Excepté la volonté affichée du Groupe TUI d’appliquer sa méthode hégémonique sur le marché européen.
Et accessoirement, d’endiguer les pertes sur le marché français.
En revanche, nous ne savons toujours quasi rien de la future « fusion » entre TUI France et Transat France.
On peut comprendre aisément les salariés devant l’opacité complète de ce rachat. Et leur inquiétude.
Je remarque aussi que les agents de voyages, pour qui la vente de voyages à forfaits reste encore une part importante de leurs revenus, restent plutôt cois devant la déferlante hégémonique qui se prépare.
Heureux les innocents car ils verront le Royaume de Dieu, raconte la Bible.
Une autre version cite Heureux les simples d’esprit…
Mais le résultat restera le même, sauf que pour voir Dieu, faudra encore se lever un peu de bonne heure !
Ceci étant, je reste assez confondu par le peu de transparence de cette transaction, laquelle a été signée ce lundi 31 octobre... veille du jour des Morts.
N'y voyez aucune allusion de ma part...
A juste titre, le Comité d’Entreprise de Transat France a demandé aux deux entités de fournir certains éléments « précis » concernant l’avenir des deux boites. Notamment en ce qui concerne l’emploi.
Lors de l’audience en référé, tenue jeudi dernier au Tribunal de Créteil, c’était carrément du grand guignol. Pour ne pas dire du foutage de gueule caractérisé…
Et je cite, en substance, de la part de TUI France : "Comment voulez-vous que nous donnions un business plan ou un projet stratégique de rachat ? Il n’y en a pas" !
Une autre version cite Heureux les simples d’esprit…
Mais le résultat restera le même, sauf que pour voir Dieu, faudra encore se lever un peu de bonne heure !
Ceci étant, je reste assez confondu par le peu de transparence de cette transaction, laquelle a été signée ce lundi 31 octobre... veille du jour des Morts.
N'y voyez aucune allusion de ma part...
A juste titre, le Comité d’Entreprise de Transat France a demandé aux deux entités de fournir certains éléments « précis » concernant l’avenir des deux boites. Notamment en ce qui concerne l’emploi.
Lors de l’audience en référé, tenue jeudi dernier au Tribunal de Créteil, c’était carrément du grand guignol. Pour ne pas dire du foutage de gueule caractérisé…
Et je cite, en substance, de la part de TUI France : "Comment voulez-vous que nous donnions un business plan ou un projet stratégique de rachat ? Il n’y en a pas" !
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Ah bon ?
Donc, le plus gros voyagiste européen, celui qui affiche des milliards de profits dans le reste du monde, mais qui continue à engranger des pertes en France, n’a rien planifié ?
A croire que Friedrich Joussen, patron du groupe TUI Ag, s’est réveillé un matin, mouillé son doigt et pris le sens du vent, passé un coup de fil à Jean-Marc Eustache (Président du groupe Transat) en lui disant :
"Ach so, Eustache. Tu vends Transat France ? J’achète. Pour les détails, tu vois avec Pascal de Izaguirre, c’est lui qui gère ce pays aux fromages qui puent" !
Et qui accessoirement, prend tous les coups sur la tronche, parce qu’on lui impose des trucs débiles !
Mais de qui se moque-t-on ? Bien sûr qu’il y a un plan savamment établi. Bien sûr qu’un plan social est inéluctable, faut pas sortir d’énarchie pour le comprendre.
Bien sûr qu’il y aura aussi une offensive sur la distribution…
D'ailleurs, c'est un fait, il n'aura fallu que quelques minutes pour débarquer Patrice Caradec de la Présidence de Transat... Ce n'est que le premier!
Mais c'était sûrement pas prévu!
Pour l’instant, si je puis dire, tout se passe encore à huis clos, entre professionnels. Mais, et cela ne saurait tarder, alors que TUI veut effacer toutes les anciennes marques, telles Marmara ou Nouvelles Frontières, le public sera forcément informé.
Et là, on pourrait avoir encore quelques surprises…
Donc, le plus gros voyagiste européen, celui qui affiche des milliards de profits dans le reste du monde, mais qui continue à engranger des pertes en France, n’a rien planifié ?
A croire que Friedrich Joussen, patron du groupe TUI Ag, s’est réveillé un matin, mouillé son doigt et pris le sens du vent, passé un coup de fil à Jean-Marc Eustache (Président du groupe Transat) en lui disant :
"Ach so, Eustache. Tu vends Transat France ? J’achète. Pour les détails, tu vois avec Pascal de Izaguirre, c’est lui qui gère ce pays aux fromages qui puent" !
Et qui accessoirement, prend tous les coups sur la tronche, parce qu’on lui impose des trucs débiles !
Mais de qui se moque-t-on ? Bien sûr qu’il y a un plan savamment établi. Bien sûr qu’un plan social est inéluctable, faut pas sortir d’énarchie pour le comprendre.
Bien sûr qu’il y aura aussi une offensive sur la distribution…
D'ailleurs, c'est un fait, il n'aura fallu que quelques minutes pour débarquer Patrice Caradec de la Présidence de Transat... Ce n'est que le premier!
Mais c'était sûrement pas prévu!
Pour l’instant, si je puis dire, tout se passe encore à huis clos, entre professionnels. Mais, et cela ne saurait tarder, alors que TUI veut effacer toutes les anciennes marques, telles Marmara ou Nouvelles Frontières, le public sera forcément informé.
Et là, on pourrait avoir encore quelques surprises…