Adriana Minchella, présidente du CEDIV, incite les Distributeurs à réagir et pétitionner sur un Blog spécial
"Chers confrères, chers amis,
Le mot est lancé : la poste veut jouer les revendeurs de billetterie par l’intermédiaire de bornes dans les espaces d’accueil.
Cela veut il dire que les titres de transport ferroviaires, aériens, les entrées pour les parcs de loisirs, les concerts, les manifestations sportives ou culturelles se vendent de la même manière qu’un carnet de timbre ou du transport de marchandise ?
Est-il si simple que cela de laisser le client (notre client) face à face avec LA machine ?
Les agents de comptoir de la poste ont-ils les mêmes compétences que nos conseillers en voyage ? Et si je décidai d’ouvrir un bureau de poste, au lieu d’une agence de voyage, quels obligations l’État nous imposerait-il ?
Nous avons des compétences spécifiques liées à nos domaines d’activités, nous devons fournir une garantie financière, nous devons obtenir une licence et nous devons respecter la loi de 92 qui régit notre profession…
Nous ne laisserons pas cette situation fragiliser encore un peu plus nos entreprises et laisser nos clients dans le vide, en tête à tête avec Marianne.
Le Snav est intervenu auprès des Ministères concernés, mais nous, patrons de nos agences de voyages, nous demandons que nos Ministères de tutelle, nous précisent, si la loi que nous respectons, les garanties obligatoires que nous apportons, l’expérience dont nous devons nous justifier, sont réellement applicables, obligatoires, et pour tous.
Sans attendre, je vous propose de réagir ICI au travers du blog du CEDIV
[Laissez-y vos impressions et exprimez-vous sur ce sujet
Je vous prie à tous de recevoir mes salutations."
Adriana Minchella
Le mot est lancé : la poste veut jouer les revendeurs de billetterie par l’intermédiaire de bornes dans les espaces d’accueil.
Cela veut il dire que les titres de transport ferroviaires, aériens, les entrées pour les parcs de loisirs, les concerts, les manifestations sportives ou culturelles se vendent de la même manière qu’un carnet de timbre ou du transport de marchandise ?
Est-il si simple que cela de laisser le client (notre client) face à face avec LA machine ?
Les agents de comptoir de la poste ont-ils les mêmes compétences que nos conseillers en voyage ? Et si je décidai d’ouvrir un bureau de poste, au lieu d’une agence de voyage, quels obligations l’État nous imposerait-il ?
Nous avons des compétences spécifiques liées à nos domaines d’activités, nous devons fournir une garantie financière, nous devons obtenir une licence et nous devons respecter la loi de 92 qui régit notre profession…
Nous ne laisserons pas cette situation fragiliser encore un peu plus nos entreprises et laisser nos clients dans le vide, en tête à tête avec Marianne.
Le Snav est intervenu auprès des Ministères concernés, mais nous, patrons de nos agences de voyages, nous demandons que nos Ministères de tutelle, nous précisent, si la loi que nous respectons, les garanties obligatoires que nous apportons, l’expérience dont nous devons nous justifier, sont réellement applicables, obligatoires, et pour tous.
Sans attendre, je vous propose de réagir ICI au travers du blog du CEDIV
[Laissez-y vos impressions et exprimez-vous sur ce sujet
Je vous prie à tous de recevoir mes salutations."
Adriana Minchella