Depuis quelques années, certains adhérents de Tourcomie ont la fâcheuse idée de se faire virer - DR : © DURIS Guillaume - Fotolia.com
Bientôt Noël, bientôt la trêve des confiseurs... quoique pas tout à fait encore, puisqu'en Tourcomie, ça (re) commence à grogner.
Depuis quelques années, certains adhérents de Tourcomie ont la fâcheuse idée de se faire virer.
Bon, jusque-là, ça va, ça vient.
Le problème, c'est que plusieurs, dont deux charmantes petites dames de la région de Belfort, virées aussi sans ménagement, estiment qu'elles ont été spoliées…
Eh oui, la fameuse distribution (enfin ?) des super-comms, qui intervient en Tourcomie en juillet, est réalisée à condition que les membres actionnaires ayant droit à cette "rétribution", soient toujours membres actifs en Tourcomie.
En revanche, s'ils ne font plus partie de la grande citoyenneté Tourcomienne à la date du 15 juillet, ils peuvent toujours s’asseoir sur leurs "émoluments" de l'année.
Émoluments qui restent donc dans les caisses de la Grande Trésorerie du Tourcomie…
Enfin,"restent", c'est un mystère d'ailleurs, mais bon, on va pas chicaner pour un peu de monnaie ?
Encore que la monnaie, entassée, ça fini par former quelque beau matelas de gros billets…
La mésaventure (que je vous avais narrée il y a quelques temps) est arrivée à un gentil Tourcomien.
Pas de pot, le Tourcomien est basque (oui, je sais, mais que mon ami Pascal me pardonne, ce n'est pas le même).
Depuis quelques années, certains adhérents de Tourcomie ont la fâcheuse idée de se faire virer.
Bon, jusque-là, ça va, ça vient.
Le problème, c'est que plusieurs, dont deux charmantes petites dames de la région de Belfort, virées aussi sans ménagement, estiment qu'elles ont été spoliées…
Eh oui, la fameuse distribution (enfin ?) des super-comms, qui intervient en Tourcomie en juillet, est réalisée à condition que les membres actionnaires ayant droit à cette "rétribution", soient toujours membres actifs en Tourcomie.
En revanche, s'ils ne font plus partie de la grande citoyenneté Tourcomienne à la date du 15 juillet, ils peuvent toujours s’asseoir sur leurs "émoluments" de l'année.
Émoluments qui restent donc dans les caisses de la Grande Trésorerie du Tourcomie…
Enfin,"restent", c'est un mystère d'ailleurs, mais bon, on va pas chicaner pour un peu de monnaie ?
Encore que la monnaie, entassée, ça fini par former quelque beau matelas de gros billets…
La mésaventure (que je vous avais narrée il y a quelques temps) est arrivée à un gentil Tourcomien.
Pas de pot, le Tourcomien est basque (oui, je sais, mais que mon ami Pascal me pardonne, ce n'est pas le même).
Et un Basque, faut pas trop le gratter.
D'abord, parce qu'il s'estime injustement banni de Tourcomie.
Ensuite, parce qu'il pense qu'on lui a soustrait une partie du pognon auquel il pouvait légitimement prétendre.
Enfin, il estime que son éviction a été conclue dans des conditions bizarres.
Par honnêteté, le Basque Grondissant a envoyé un courrier à chaque membre de la Cour Suprême de Tourcomie, ceux qui avaient prononcé son éviction.
Las, pas de réponse. Le mutisme le plus complet.
Du coup, froidement, le Basque saisi la Justice et porte plainte pour "faux, usage de faux et tentative d'escroquerie au jugement".
Mazette, direz-vous ? Oui, les Basques, faut pas trop les gratter…
Parce que, figurez-vous, mes bons lecteurs, que ledit Basque a assigné les différentes entités du groupe Tourcom: Association, Tourcom Affaires et Tourcom Solidarité, dans le but de récupérer les commissions qui lui étaient dues et sa réintégration au sein de la Tourcomie.
Vous suivez ?
Attendez. Le Basque attaque pour "absence de fondement des motifs de l'exclusion, le fait que l'organe qui a pris la décision (d'exclusion, ndDG) était inexistant et, pour la faire courte, que les pièces envoyées de Tourcomie au Tribunal avait été "bizarrement rédigées".
Il y aurait quelques "copier-coller" suspects… Plus des doutes sur la procédure d'exclusion…
Bref, rien que du très normal en Tourcomie. Mais, jusqu'à présent, personne n'avait osé se rebeller contre le chef suprême.
Eh bien, maintenant, c'est fait.
C'est une révolte ou... peut-être le début d'une Révolution !
D'abord, parce qu'il s'estime injustement banni de Tourcomie.
Ensuite, parce qu'il pense qu'on lui a soustrait une partie du pognon auquel il pouvait légitimement prétendre.
Enfin, il estime que son éviction a été conclue dans des conditions bizarres.
Par honnêteté, le Basque Grondissant a envoyé un courrier à chaque membre de la Cour Suprême de Tourcomie, ceux qui avaient prononcé son éviction.
Las, pas de réponse. Le mutisme le plus complet.
Du coup, froidement, le Basque saisi la Justice et porte plainte pour "faux, usage de faux et tentative d'escroquerie au jugement".
Mazette, direz-vous ? Oui, les Basques, faut pas trop les gratter…
Parce que, figurez-vous, mes bons lecteurs, que ledit Basque a assigné les différentes entités du groupe Tourcom: Association, Tourcom Affaires et Tourcom Solidarité, dans le but de récupérer les commissions qui lui étaient dues et sa réintégration au sein de la Tourcomie.
Vous suivez ?
Attendez. Le Basque attaque pour "absence de fondement des motifs de l'exclusion, le fait que l'organe qui a pris la décision (d'exclusion, ndDG) était inexistant et, pour la faire courte, que les pièces envoyées de Tourcomie au Tribunal avait été "bizarrement rédigées".
Il y aurait quelques "copier-coller" suspects… Plus des doutes sur la procédure d'exclusion…
Bref, rien que du très normal en Tourcomie. Mais, jusqu'à présent, personne n'avait osé se rebeller contre le chef suprême.
Eh bien, maintenant, c'est fait.
C'est une révolte ou... peut-être le début d'une Révolution !
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