Ainsi, et si le chef suprême de Tourcom ne l’avait pas souligné, personne ne l’aurait relevé, une décision du Conseil d’Etat, saisi par Vainopoulos en tant que Président du réseau et quelques affidés annulant les articles 1 1° et 3 1° du décret du 29 octobre 2017 portant de 10 à 20 % le pourcentage du chiffre d’affaires des voyages à forfait pris en compte pour le calcul de la garantie financière.
Tout simplement parce que cette décision est totalement caduque et que, finalement, le Conseil d’Etat n’a fait "qu’enfoncer des portes ouvertes", comme le confiait un adhérent de l’APST.
Parce que le décret d’octobre 2014 a vécu, ainsi que le racontait fort élégamment un vieux poète qui aura hanté nos cours de français : "ce que vivent les roses, l’espace d’un matin".
Et que, depuis, le risque présenté par les acteurs du voyage (sic) ddoit couvrir l’ensemble des fonds déposés par le client.
Risque que l’APST couvrait depuis des lustres (1997) et qui n’avait jamais été imposé par les pouvoirs publics. L’APST, un précurseur en l’occurrence et dont Vainopoulos a été non seulement adhérent, mais également administrateur élu.
Je rappelle d’ailleurs qu’il a même eu la velléité de se présenter à la présidence de l’association… Sans succès !
Tout simplement parce que cette décision est totalement caduque et que, finalement, le Conseil d’Etat n’a fait "qu’enfoncer des portes ouvertes", comme le confiait un adhérent de l’APST.
Parce que le décret d’octobre 2014 a vécu, ainsi que le racontait fort élégamment un vieux poète qui aura hanté nos cours de français : "ce que vivent les roses, l’espace d’un matin".
Et que, depuis, le risque présenté par les acteurs du voyage (sic) ddoit couvrir l’ensemble des fonds déposés par le client.
Risque que l’APST couvrait depuis des lustres (1997) et qui n’avait jamais été imposé par les pouvoirs publics. L’APST, un précurseur en l’occurrence et dont Vainopoulos a été non seulement adhérent, mais également administrateur élu.
Je rappelle d’ailleurs qu’il a même eu la velléité de se présenter à la présidence de l’association… Sans succès !
Mais Richard Vainopoulosne l’entend pas de cette oreille et vient de commettre un courrier, rapporté par mon vieux camarade du Quotidien du Tourisme, dans lequel il s’en prend aux "décisions malheureuses" de l’ancien président de l’APST, Raoul Nabet.
Qui n’aura qu’une phrase, prononcée avec son accent depuis son Gers et que je cite avec bonheur : "Comme à son habitude, il écrit des conneries !"
Et aura accessoirement, fait travailler ses avocats pour rien, en employant les fonds des adhérents de Tourcom.
Dans son courrier à nos confrères, Vainopoulos écrit : "Les décisions malheureuses de l’ancien président, prises sans l’accord d’une assemblée générale extraordinaire, ont eu deux conséquences importantes".
Une hémorragie financière liée au départ vers d’autres garants du tourisme de grandes entreprises du tourisme, d’une part et le fait que les "compagnies assurance-crédit ont gagné de nombreuses parts part de marché au détriment de l’APST".
C’est nul. Si j’ai bonne mémoire, c’est ce même Vainopoulos, encore administrateur élu, qui avait appelé ses adhérents à quitter l’APST, leur proposant même un assureur garant trouvé par Tourcom.
Qui n’aura qu’une phrase, prononcée avec son accent depuis son Gers et que je cite avec bonheur : "Comme à son habitude, il écrit des conneries !"
Et aura accessoirement, fait travailler ses avocats pour rien, en employant les fonds des adhérents de Tourcom.
Dans son courrier à nos confrères, Vainopoulos écrit : "Les décisions malheureuses de l’ancien président, prises sans l’accord d’une assemblée générale extraordinaire, ont eu deux conséquences importantes".
Une hémorragie financière liée au départ vers d’autres garants du tourisme de grandes entreprises du tourisme, d’une part et le fait que les "compagnies assurance-crédit ont gagné de nombreuses parts part de marché au détriment de l’APST".
C’est nul. Si j’ai bonne mémoire, c’est ce même Vainopoulos, encore administrateur élu, qui avait appelé ses adhérents à quitter l’APST, leur proposant même un assureur garant trouvé par Tourcom.
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Ce même Vainopoulos émet quelque défiance envers cette association professionnelle de solidarité qui dégage, selon ses propres termes, un résultat de 5.2 millions d’euros mais "un patrimoine en grande partie hypothéqué et non disponible immédiatement en cas de sinistre lorsque l’APST doit garantir le volume total du montant des forfaits de ses adhérents et ce, à hauteur de… 1,5 milliards".
Et de poursuivre : "Pour l’heure, l’APST n’est pas soumise à des normes aussi strictes que les organismes privés. Dans d’autres professions réglementées, comme les agences immobilières ou les agences d’intérim, l’ensemble des sociétés de cautionnement, quelle que soit leur forme, solidaire, mutualiste ou assureurs présentent le même niveau d’exigence…
Il en va de la protection du consommateur mais aussi de l’intérêt des adhérents qui, rappelons-le, sont appelés à mettre la main à la poche en cas de difficulté de leur association de solidarité".
C’est l’hôpital qui se fout de la charité. Comment les adhérents de Tourcom sont-ils tenus au courant des débours organisés par le président à vie lorsqu’il mobilise ses avocats à tout va ? Ou lorsqu’il s’attribue des salaires défiant toute concurrence, à coup de primes de plusieurs centaines de milliers d’euros ?
Et comment accepter la conclusion de cette diatribe : "la lucidité oblige à dire que les fonds de l’ASPT ne la prémunissent ni de la défaillance d’un adhérent de taille significative ni d’une détérioration brutale du secteur".
Il serait temps que les adhérents de Tourcom prennent un peu de lucidité, mais je laisse à la nouvelle présidente de l’APST cette conclusion fort sage : "Ne laissons pas à ces déclarations plus d’importance qu’elles n’en ont" !
Et de poursuivre : "Pour l’heure, l’APST n’est pas soumise à des normes aussi strictes que les organismes privés. Dans d’autres professions réglementées, comme les agences immobilières ou les agences d’intérim, l’ensemble des sociétés de cautionnement, quelle que soit leur forme, solidaire, mutualiste ou assureurs présentent le même niveau d’exigence…
Il en va de la protection du consommateur mais aussi de l’intérêt des adhérents qui, rappelons-le, sont appelés à mettre la main à la poche en cas de difficulté de leur association de solidarité".
C’est l’hôpital qui se fout de la charité. Comment les adhérents de Tourcom sont-ils tenus au courant des débours organisés par le président à vie lorsqu’il mobilise ses avocats à tout va ? Ou lorsqu’il s’attribue des salaires défiant toute concurrence, à coup de primes de plusieurs centaines de milliers d’euros ?
Et comment accepter la conclusion de cette diatribe : "la lucidité oblige à dire que les fonds de l’ASPT ne la prémunissent ni de la défaillance d’un adhérent de taille significative ni d’une détérioration brutale du secteur".
Il serait temps que les adhérents de Tourcom prennent un peu de lucidité, mais je laisse à la nouvelle présidente de l’APST cette conclusion fort sage : "Ne laissons pas à ces déclarations plus d’importance qu’elles n’en ont" !