« Les gens sont super motivés à l’APST, le travail est bien fait » a commencé par dire Laurent Abitbol, qui vient par ailleurs d’être réélu président du Directoire de Selectour.
Et de dire aussitôt que dans l’acronyme APST, il y a le mot solidarité. « Chez Selectour, Havas ou au Cediv, il y a des adhérents qui me disent : ce n’est pas possible, on nous demande trop de choses » relate le dirigeant qui veut aussi « protéger ces personnes qui travaillent ».
Laurent Abitbol cite le témoignage d’une agent de voyages qui explique devoir « fermer son agence » parce que son « mari, patron d’un grand hôpital à Strasbourg ne veut pas mettre la maison en garantie ».
Et de dire aussitôt que dans l’acronyme APST, il y a le mot solidarité. « Chez Selectour, Havas ou au Cediv, il y a des adhérents qui me disent : ce n’est pas possible, on nous demande trop de choses » relate le dirigeant qui veut aussi « protéger ces personnes qui travaillent ».
Laurent Abitbol cite le témoignage d’une agent de voyages qui explique devoir « fermer son agence » parce que son « mari, patron d’un grand hôpital à Strasbourg ne veut pas mettre la maison en garantie ».
Laurent Abitbol (APST) : « Cette angoisse, on doit vous l’enlever »
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L’exemple typique d’une angoisse qui pèse sur de nombreuses (petites) entreprises. « Cette angoisse, on doit vous l’enlever, ce sera mon leitmotiv en 2025 » annonce le vice-président de l’APST qui espère rallier les voix des administrateurs sur ce sujet.
« On ne doit pas faire des millions de bénéfices comme le font d’autres institutions. Nous ne sommes pas là pour avoir une trésorerie énorme. On n’est pas là pour gagner de l’argent, on est là pour servir les adhérents » a-t-il indiqué.
« Je ne conçois pas qu’on donne son appartement, sa vie privée en caution » martèle le responsable qui veut que l’on se montre « beaucoup plus cool, beaucoup plus souple avec des entreprises qui sont en bonne santé financière ».
« On n’aura pas des Thomas Cook toutes les semaines. Thomas Cook, c’est tous les 5, 6, 7 ou 8 ans et peut-être même plus jamais » argue Laurent Abitbol qui dans le cadre de ses responsabilités à l’APST fera tout pour « qu’appartements et maisons ne soient plus donnés à l’association quand on est en bonne santé ».
La notion de « bonne santé » restera bien sûr à définir.
« On ne doit pas faire des millions de bénéfices comme le font d’autres institutions. Nous ne sommes pas là pour avoir une trésorerie énorme. On n’est pas là pour gagner de l’argent, on est là pour servir les adhérents » a-t-il indiqué.
« Je ne conçois pas qu’on donne son appartement, sa vie privée en caution » martèle le responsable qui veut que l’on se montre « beaucoup plus cool, beaucoup plus souple avec des entreprises qui sont en bonne santé financière ».
« On n’aura pas des Thomas Cook toutes les semaines. Thomas Cook, c’est tous les 5, 6, 7 ou 8 ans et peut-être même plus jamais » argue Laurent Abitbol qui dans le cadre de ses responsabilités à l’APST fera tout pour « qu’appartements et maisons ne soient plus donnés à l’association quand on est en bonne santé ».
La notion de « bonne santé » restera bien sûr à définir.