« L’année 2023 a été une année exceptionnelle » a commencé par dire Laurent Abitbol.
Et tout de suite de dire que « les adhérents vont recevoir un gros virement, 32 millions d’euros, le record absolu dans toute l’histoire de Selectour » déclenchant quelques applaudissements dans le salon Versailles de l’hôtel Le Bristol.
Et tout de suite de dire que « les adhérents vont recevoir un gros virement, 32 millions d’euros, le record absolu dans toute l’histoire de Selectour » déclenchant quelques applaudissements dans le salon Versailles de l’hôtel Le Bristol.
Selectour : très bonne année 2023 mais ralentissement sur 2024
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Cependant, « l’année 2024 n’est pas aussi bonne, il y a un ralentissement, on fera moins bien que l’an dernier » annonce le président du Directoire de la coopérative Selectour.
Et de nuancer en expliquant que « c’était tellement bien l’année dernière que si on fait juste un peu moins bien on est tous contents ».
Le réseau prévoit « trois ou quatre points de moins » sur la partie tourisme alors que le business travel, lui, « continue de monter ».
Et de nuancer en expliquant que « c’était tellement bien l’année dernière que si on fait juste un peu moins bien on est tous contents ».
Le réseau prévoit « trois ou quatre points de moins » sur la partie tourisme alors que le business travel, lui, « continue de monter ».
Laurent Abitbol : « Je vous demande de ne pas brader les prix »
Laurent Abibol évoque ensuite deux sources d’inquiétude, « les JO et les élections (européennes) de dimanche dernier ». Concernant les Jeux, « c’est fait, je pense que le business travel va s’arrêter durant un mois et demi ».
Quant au loisir, « c’est compliqué ». « i[Nous avons des problèmes sur juillet-août, je b[vous demande de ne pas brader, car si vous bradez, automatiquement on aura les mêmes clients avec moins de marge, donc gardez les prix forts]b]i » explique le dirigeant.
Sur les contrats TO, « à part un ou deux cas difficiles, on avance bien ». Les contrats de référencements Gold, Silver et Bronze seront présentés au Congrès de Doha fin novembre.
Quant au loisir, « c’est compliqué ». « i[Nous avons des problèmes sur juillet-août, je b[vous demande de ne pas brader, car si vous bradez, automatiquement on aura les mêmes clients avec moins de marge, donc gardez les prix forts]b]i » explique le dirigeant.
Sur les contrats TO, « à part un ou deux cas difficiles, on avance bien ». Les contrats de référencements Gold, Silver et Bronze seront présentés au Congrès de Doha fin novembre.
Peut-être Gérald Darmanin au congrès à Doha
Ce congrès à Doha que Laurent Abitbol promet d’être « exceptionnel » avec notamment la présence annoncée du chef cuisinier Cyril Lignac qui fera « une conférence sur la cohésion d’équipe ».
Au niveau politique, Roselyne Bachelot, et « j’espère Monsieur Darmanin » (l’actuel ministre de l’Intérieur). Côté spectacle, Sheila et « La petite culotte ».
Enfin le nageur champion olympique Florent Manaudou et « quelques joueurs du PSG » pourraient effectuer le déplacement.
Sur ce congrès à Doha, « 230 personnes sont déjà inscrites, il y a de la place pour 500 ». Elles séjourneront dans « l’un des plus beaux hôtels au monde qui ouvrira ses portes le 2 septembre ».
Au niveau politique, Roselyne Bachelot, et « j’espère Monsieur Darmanin » (l’actuel ministre de l’Intérieur). Côté spectacle, Sheila et « La petite culotte ».
Enfin le nageur champion olympique Florent Manaudou et « quelques joueurs du PSG » pourraient effectuer le déplacement.
Sur ce congrès à Doha, « 230 personnes sont déjà inscrites, il y a de la place pour 500 ». Elles séjourneront dans « l’un des plus beaux hôtels au monde qui ouvrira ses portes le 2 septembre ».
FTI : « Quand on vend sans marge, on ne peut pas être vivant »
« FTI, c’est un problème, et cela me fait de la peine car le patron de FTI France et son équipe sont très sérieux. Ce n’est pas de leur faute si FTI dépose le bilan » résume Laurent Abitbol qui estime que « quand on vend à perte, on ne peut pas rester. Quand on vend sans marge, on ne peut pas être vivant ».
Par ailleurs, les Américains (Certares) n’ont "jamais dit qu’ils allaient acheter FTI ».
Par ailleurs, les Américains (Certares) n’ont "jamais dit qu’ils allaient acheter FTI ».
« Il ne faut pas s’abstenir, il faut faire un choix »
Revenant à la fin de son allocution sur les élections, le président de Selectour espère « qu’il se passe un miracle » mais sans en être convaincu lui-même.
« Il ne faut pas s’abstenir, il faut faire un choix » enjoint Laurent Abitbol.
« Il ne faut pas s’abstenir, il faut faire un choix » enjoint Laurent Abitbol.