C'est parti pour 4 jours de Top Résa ! - DR
Mais un Top Résa qui, comme nous tous, a muri.
Certes, c'est pas encore le niveau de Berlin ou de Londres, mais, petit à petit, de grande fête annuelle, ça devient pro.
Faut dire qu'après le passage pour le moins improbable du successeur de Jean-François Alexandre, le créateur, Top Résa a vite repris du poil de la bête sous la coupe de Vincent Lhoste.
Il aura su donner une dimension internationale à la manifestation, brillamment remplacé par son actuel patron Thomas Desplanques.
Ce dernier aura maintenant la charge délicate, de fusionner en douceur Map Pro et Top Résa.
La boucle sera ainsi bouclée et le Salon de Paris pourra ainsi revendiquer une position internationale…
Bien sûr, beaucoup regrettent ce qui faisait de Top Résa Deauville, l'attraction de l'année pour les professionnels : la fête, la convivialité, les soirées fortement arrosées, les nuits durant lesquelles chacun trouvait sa chacune, les gueules de bois du lendemain…
Certes, c'est pas encore le niveau de Berlin ou de Londres, mais, petit à petit, de grande fête annuelle, ça devient pro.
Faut dire qu'après le passage pour le moins improbable du successeur de Jean-François Alexandre, le créateur, Top Résa a vite repris du poil de la bête sous la coupe de Vincent Lhoste.
Il aura su donner une dimension internationale à la manifestation, brillamment remplacé par son actuel patron Thomas Desplanques.
Ce dernier aura maintenant la charge délicate, de fusionner en douceur Map Pro et Top Résa.
La boucle sera ainsi bouclée et le Salon de Paris pourra ainsi revendiquer une position internationale…
Bien sûr, beaucoup regrettent ce qui faisait de Top Résa Deauville, l'attraction de l'année pour les professionnels : la fête, la convivialité, les soirées fortement arrosées, les nuits durant lesquelles chacun trouvait sa chacune, les gueules de bois du lendemain…
Je me marrais hier matin en lisant la chronique de Léa, dont on sait maintenant qu'elle a le regard turquoise et que les plus malins vont sûrement démasquer lors de la Grande Soirée de TourMaG.
Léa, 34 ans, (la vache, ça sent le sapin !) perd ses repères. Ben non, ma grande, ça évolue, c'est tout.
Et faut pas croire que les repères ont disparu. Ils changent, comme nous tous.
Parce que, je vous rassure, chère Léa, vous ne serez pas dépaysée demain en arrivant Porte de Versailles.
Tendez l'oreille, observez.
Toujours les vieux birbes, qui n'ont plus 34 ans, incommensurablement fiers et possédant leurs convictions inébranlables, avides des regards qui se jettent sur eux tels la vérole sur le bas clergé, guettant la moindre poignée de main que viendrait leur tendre un admirateur…
Toujours les mêmes phrases, dont tout le monde se fout, genre "comment vas-tu" ? "Bien et toi" ?
Regards appuyés de gens qui se méprisent cordialement, "bon, faut que j'y aille, on se téléphone" ?
La ronde des chargé(e)s de presse, qui, telles les escadrilles de papillons, les soirs d'été, tournent autour des chandelles de l'apéro.
Ça, c'est pour nous autres journaleux : "Il faut absolument que vous veniez sur le stand du Groumpf. Vous qui écrivez si bien, c'est l'occasion de rencontrer notre Président. Il a plein de choses à vous dire".
Oui, il aurait plutôt tendance à nous prendre pour un panneau publicitaire, mais bon, faut que tout le monde croute !
Et puis, j'oubliais, les ceuss qui viennent pour bouffer, boire et plus si affinités. Ça, c'est mariole aussi.
Écoutez, au gré des allées… "Tu déjeunes où ?" "Ben, un sandwich dehors". "T'es ouf, y' le déjeuner Fram, viens, c'est super !"
Ah non, là, désolé, mais y'a pas de déjeuner Fram, cette année. Comme quoi, plus de repères !
Mais bon, il y a plein d'autres déjeuners, tout aussi rigolos.
Faut d'ailleurs observer les ex grandes dames du tourisme, qui ont largement dépassé l'âge de la retraite et qui continuent à hanter ses déjeuners, leurs petits sacs à provisions soigneusement planqués dans leurs cabas...
Authentique !
Ah, question de repères, toujours, chère Léa. Les malfrats du tourisme, les sans complexes, ceux qui ont planté nombre de pauvres agents de voyages et de clients malheureux.
Regardez attentivement, on les repère bien. Sans vergogne, ils viennent plastronner le long des allées comme si de rien n'était...
Allez, mercredi soir, on fait quand même la fête.
34 ans, ça s'arrose !
Léa, 34 ans, (la vache, ça sent le sapin !) perd ses repères. Ben non, ma grande, ça évolue, c'est tout.
Et faut pas croire que les repères ont disparu. Ils changent, comme nous tous.
Parce que, je vous rassure, chère Léa, vous ne serez pas dépaysée demain en arrivant Porte de Versailles.
Tendez l'oreille, observez.
Toujours les vieux birbes, qui n'ont plus 34 ans, incommensurablement fiers et possédant leurs convictions inébranlables, avides des regards qui se jettent sur eux tels la vérole sur le bas clergé, guettant la moindre poignée de main que viendrait leur tendre un admirateur…
Toujours les mêmes phrases, dont tout le monde se fout, genre "comment vas-tu" ? "Bien et toi" ?
Regards appuyés de gens qui se méprisent cordialement, "bon, faut que j'y aille, on se téléphone" ?
La ronde des chargé(e)s de presse, qui, telles les escadrilles de papillons, les soirs d'été, tournent autour des chandelles de l'apéro.
Ça, c'est pour nous autres journaleux : "Il faut absolument que vous veniez sur le stand du Groumpf. Vous qui écrivez si bien, c'est l'occasion de rencontrer notre Président. Il a plein de choses à vous dire".
Oui, il aurait plutôt tendance à nous prendre pour un panneau publicitaire, mais bon, faut que tout le monde croute !
Et puis, j'oubliais, les ceuss qui viennent pour bouffer, boire et plus si affinités. Ça, c'est mariole aussi.
Écoutez, au gré des allées… "Tu déjeunes où ?" "Ben, un sandwich dehors". "T'es ouf, y' le déjeuner Fram, viens, c'est super !"
Ah non, là, désolé, mais y'a pas de déjeuner Fram, cette année. Comme quoi, plus de repères !
Mais bon, il y a plein d'autres déjeuners, tout aussi rigolos.
Faut d'ailleurs observer les ex grandes dames du tourisme, qui ont largement dépassé l'âge de la retraite et qui continuent à hanter ses déjeuners, leurs petits sacs à provisions soigneusement planqués dans leurs cabas...
Authentique !
Ah, question de repères, toujours, chère Léa. Les malfrats du tourisme, les sans complexes, ceux qui ont planté nombre de pauvres agents de voyages et de clients malheureux.
Regardez attentivement, on les repère bien. Sans vergogne, ils viennent plastronner le long des allées comme si de rien n'était...
Allez, mercredi soir, on fait quand même la fête.
34 ans, ça s'arrose !