Une virée à Lisbonne, c’est l’occasion de plonger dans une ville populaire, une fille de l’océan aux accents presque méditerranéens, avec une animation de rue permanente - DR : JDL
A 2h30 de vol de la France, la capitale portugaise est une destination idéale pour un grand week-end.
L’Atlantique apporte de la douceur et il ne fait jamais froid en hiver (7 - 8°C minimum).
Avec son centre-ville concentré - où les bons hôtels abondent -, Lisbonne se prête aisément à la balade pédestre.
C’est l’occasion de plonger dans une ville populaire, une fille de l’océan aux accents presque méditerranéens, avec une animation de rue permanente.
Le dépaysement sera total avec les spectacles de fado, la cuisine savoureuse et l’ambiance festive qui imbibe la cité. Car les gens ne le savent pas toujours : Lisbonne est très active en matière de création musicale.
Bien sûr, il y a ce fado intemporel et toutes ses interprétations, dans le sillage d’une chanteuse culte comme Cristina Branco.
Mais dans les bars de l’Alfama ou des Docas se mélangent les musiques d’Afrique, du Cap Vert, des Açores. Des groupes mixent ces rythmes d’hier aux réalités urbaines d’aujourd’hui. C’est passionnant.
L’Atlantique apporte de la douceur et il ne fait jamais froid en hiver (7 - 8°C minimum).
Avec son centre-ville concentré - où les bons hôtels abondent -, Lisbonne se prête aisément à la balade pédestre.
C’est l’occasion de plonger dans une ville populaire, une fille de l’océan aux accents presque méditerranéens, avec une animation de rue permanente.
Le dépaysement sera total avec les spectacles de fado, la cuisine savoureuse et l’ambiance festive qui imbibe la cité. Car les gens ne le savent pas toujours : Lisbonne est très active en matière de création musicale.
Bien sûr, il y a ce fado intemporel et toutes ses interprétations, dans le sillage d’une chanteuse culte comme Cristina Branco.
Mais dans les bars de l’Alfama ou des Docas se mélangent les musiques d’Afrique, du Cap Vert, des Açores. Des groupes mixent ces rythmes d’hier aux réalités urbaines d’aujourd’hui. C’est passionnant.
Quartiers traditionnels populaires
Lisbonne est aussi une capitale où il fait bon se perdre, notamment dans les collines qui dominent la mer.
Au fil de ruelles et de passages pavés, dominés par de vieux immeubles plus ou moins rénovés, chaque quartier découvre une atmosphère bon enfant et populaire, une sorte de « Panier » marseillais puissance dix.
La vie s’écoule dans la rue et les cafés, le linge sèche aux fenêtres… Le Chiado, le Carmo et l’Alfama – encore ! -, quartier le plus ancien, prouvent ici que la vie en ville est toujours synonyme d’échanges et de convivialité.
Le patrimoine est beau et patiné. Prendre le vieux tramway qui sillonne le centre-ville est une expérience amusante.
La capitale portugaise n’a pas non plus oublié qu’elle accueillit en 1998 l’Exposition universelle. Dans le parc des Nations qui abrita les pavillons, l’Océanorium est l’un des plus beaux aquariums d’Europe.
Au fil de ruelles et de passages pavés, dominés par de vieux immeubles plus ou moins rénovés, chaque quartier découvre une atmosphère bon enfant et populaire, une sorte de « Panier » marseillais puissance dix.
La vie s’écoule dans la rue et les cafés, le linge sèche aux fenêtres… Le Chiado, le Carmo et l’Alfama – encore ! -, quartier le plus ancien, prouvent ici que la vie en ville est toujours synonyme d’échanges et de convivialité.
Le patrimoine est beau et patiné. Prendre le vieux tramway qui sillonne le centre-ville est une expérience amusante.
La capitale portugaise n’a pas non plus oublié qu’elle accueillit en 1998 l’Exposition universelle. Dans le parc des Nations qui abrita les pavillons, l’Océanorium est l’un des plus beaux aquariums d’Europe.
L’Atlantique vivifiant
Quand vous en aurez fini avec le centre urbain, les nombreux musées (du Chiado, Arte Antiga, Casa do Fado, Azulejo…) et le site de l’Expo 1998, cap sur le bord de mer.
C’est le quartier de Belém qui incarne le mieux l’esprit maritime de Lisbonne.
De là est parti Vasco de Gama, en 1497, pour découvrir les Indes.
Musée de la Marine, jardin tropical, tour de Belém et monastère des Jerónimos sont les quatre piliers patrimoniaux de ce secteur de ville qui prend, le soir sur les quais, des airs d’immense agora festive.
C’est le quartier de Belém qui incarne le mieux l’esprit maritime de Lisbonne.
De là est parti Vasco de Gama, en 1497, pour découvrir les Indes.
Musée de la Marine, jardin tropical, tour de Belém et monastère des Jerónimos sont les quatre piliers patrimoniaux de ce secteur de ville qui prend, le soir sur les quais, des airs d’immense agora festive.