Luc Chatel, né le 15 août 1964 à Bethesda (Etats-Unis), est député de la Haute-Marne, depuis 2002, membre de la commission des affaires économiques et conseiller régional de Champagne-Ardenne, depuis 1998.
Il a également occupé le poste de vice-président du conseil régional de Champagne-Ardenne, de 1998 à 2004 et de conseiller municipal de Chaumont (Haute-Marne), de 1996 à 2001. Auparavant, entre 1993 et 1995, il était conseiller municipal de Bayard-sur-Marne (Haute-Marne).
Sur son blog, on trouve une bio autrement plus complète et personnelle.
"Marié et père de 4 enfants, je suis né le 15 août 1964 à Bethesda (Maryland, Etats-Unis d’Amérique) au sein d’une famille industrielle haut-marnaise originaire de Bayard sur Marne, près de St Dizier, d’un père amiral et d’une mère professeur de danse, qui deviendra présidente de la fédération française de danse.
Après des études chez les jésuites, j’ai intégré l’université de Paris 1 Panthéon Sorbonne où j’obtiens une maîtrise de sciences de gestion en 1987 puis un DESS de marketing en 1988.
Déjà engagé, je suis élu successivement représentant étudiant au conseil d’administration de l’université, président de l’ADEG, deuxième syndicat étudiant de l’université de Paris 1 puis président de la junior entreprise « SORBONNE CONSEIL ».
En 1988/1989, j’effectue mon service militaire en tant qu’élève-officier de réserve dans la Marine Nationale, comme aide de camp de l’amiral commandant les forces sous marines et la force océanique stratégique.
J’entre dans la vie active en 1990, au sein du groupe L’OREAL où après une période commerciale de six mois j’intègre la direction marketing France comme chef de produits puis chef de groupe. En 1995, je rejoins la direction des ressources humaines comme responsable du recrutement puis DRH d’une entité.
La politique :
J’adhère au parti républicain dès 1991, et deviens conseiller municipal de Bayard sur Marne en 1993. En 1995 je suis nommé secrétaire fédéral du parti républicain pour la Haute-Marne, entre au conseil municipal de Chaumont (1996) et devient délégué départemental de l’UDF dans la foulée.
Lors des élections régionales de 1998, je suis élu et deviens Vice-président chargé du développement économique de la Région Champagne-Ardenne.
C’est en juin 2002 que je suis élu député de la 1ère circonscription de Haute-Marne avec 59 % des suffrages.
Impliqué dès le début dans la fondation de l’UMP j’ai eu la chance d’être l’un des 9 rédacteurs de la charte des valeurs de l’UMP du parti nouvellement créé, dont je deviens secrétaire national, membre du bureau politique et secrétaire départemental pour le département de la Haute-Marne.
Enfin, depuis 2004, j’occupe la fonction de porte parole de l’UMP."
Il a également occupé le poste de vice-président du conseil régional de Champagne-Ardenne, de 1998 à 2004 et de conseiller municipal de Chaumont (Haute-Marne), de 1996 à 2001. Auparavant, entre 1993 et 1995, il était conseiller municipal de Bayard-sur-Marne (Haute-Marne).
Sur son blog, on trouve une bio autrement plus complète et personnelle.
"Marié et père de 4 enfants, je suis né le 15 août 1964 à Bethesda (Maryland, Etats-Unis d’Amérique) au sein d’une famille industrielle haut-marnaise originaire de Bayard sur Marne, près de St Dizier, d’un père amiral et d’une mère professeur de danse, qui deviendra présidente de la fédération française de danse.
Après des études chez les jésuites, j’ai intégré l’université de Paris 1 Panthéon Sorbonne où j’obtiens une maîtrise de sciences de gestion en 1987 puis un DESS de marketing en 1988.
Déjà engagé, je suis élu successivement représentant étudiant au conseil d’administration de l’université, président de l’ADEG, deuxième syndicat étudiant de l’université de Paris 1 puis président de la junior entreprise « SORBONNE CONSEIL ».
En 1988/1989, j’effectue mon service militaire en tant qu’élève-officier de réserve dans la Marine Nationale, comme aide de camp de l’amiral commandant les forces sous marines et la force océanique stratégique.
J’entre dans la vie active en 1990, au sein du groupe L’OREAL où après une période commerciale de six mois j’intègre la direction marketing France comme chef de produits puis chef de groupe. En 1995, je rejoins la direction des ressources humaines comme responsable du recrutement puis DRH d’une entité.
La politique :
J’adhère au parti républicain dès 1991, et deviens conseiller municipal de Bayard sur Marne en 1993. En 1995 je suis nommé secrétaire fédéral du parti républicain pour la Haute-Marne, entre au conseil municipal de Chaumont (1996) et devient délégué départemental de l’UDF dans la foulée.
Lors des élections régionales de 1998, je suis élu et deviens Vice-président chargé du développement économique de la Région Champagne-Ardenne.
C’est en juin 2002 que je suis élu député de la 1ère circonscription de Haute-Marne avec 59 % des suffrages.
Impliqué dès le début dans la fondation de l’UMP j’ai eu la chance d’être l’un des 9 rédacteurs de la charte des valeurs de l’UMP du parti nouvellement créé, dont je deviens secrétaire national, membre du bureau politique et secrétaire départemental pour le département de la Haute-Marne.
Enfin, depuis 2004, j’occupe la fonction de porte parole de l’UMP."
Quelle marge de manoeuvre et quels moyens ?
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Les professionnels du tourisme l'attendaient avec impatience. Après avoir évoqué la possibilité de la suppression du poste de ministre du tourisme, il semble que le président de la république et le premier ministre soient revenus à de meilleurs sentiments à l'égard de la profession et à un fonctionnement plus traditionnel eu égard à l'importance économique du secteur touristique.
Bien entendu, un ministre ne règle pas tout. Bien au contraire. Et quelle que soit sa bonne volonté, son charisme et sa compétence, il aura besoin de moyens. Des moyens qui ont manqué cruellement à Léon Bertrand, son prédécesseur.
Dans son programme pour le tourisme, l'UMP avait avancé l'idée d'un budget "transversal" qui puiserait dans le portefeuille de tous les ministères (Dom-Tom, agriculture, transports...). Une bonne idée qui donnerait, enfin, au Tourisme les moyens de ses ambitions.
Bien entendu, Luc Chatel trouvera sur son bureau bien d'autres dossiers : la question de la responsabilité, l'habilitation, l'emploi... ce ne sont pas les "chantiers" qui manquent.
Nous lui souhaitons bon vent et attendons de voir quelle sera sa marge de manoeuvre et de quels moyens il disposera pour mener à bien sa politique.
J.da L.
Bien entendu, un ministre ne règle pas tout. Bien au contraire. Et quelle que soit sa bonne volonté, son charisme et sa compétence, il aura besoin de moyens. Des moyens qui ont manqué cruellement à Léon Bertrand, son prédécesseur.
Dans son programme pour le tourisme, l'UMP avait avancé l'idée d'un budget "transversal" qui puiserait dans le portefeuille de tous les ministères (Dom-Tom, agriculture, transports...). Une bonne idée qui donnerait, enfin, au Tourisme les moyens de ses ambitions.
Bien entendu, Luc Chatel trouvera sur son bureau bien d'autres dossiers : la question de la responsabilité, l'habilitation, l'emploi... ce ne sont pas les "chantiers" qui manquent.
Nous lui souhaitons bon vent et attendons de voir quelle sera sa marge de manoeuvre et de quels moyens il disposera pour mener à bien sa politique.
J.da L.