Dans une étude dévoilée lundi 28 octobre 2013 à Nantes, la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) estime qu’un maintien de l’aéroport Nantes-Atlantique sans transfert à Notre-Dame-des-Landes nuirait à la ville par l’augmentation des nuisances sonores et l’impact sur son urbanisme.
L’enquête avait été réclamée en avril 2013 par la commission du dialogue destinée à apaiser les débats avec les opposants au projet de construction de la nouvelle plateforme après de violents affrontements dans le bocage à l’automne 2012.
"Le trafic passager à Nantes a augmenté de 5,2 % par an entre 1986 et 2012, passant de 950 000 à 3,55 millions de passagers, soit deux à trois fois plus vite que dans le reste de la France", explique Paul Schach, Directeur du Transport Aérien à la DGAC.
Le rapport précise que, selon les projections d’impact du bruit causé par les vols d’appareils menées par la DGAC, si l’actuel site est maintenu, en 2030, entre 69 500 et 90 700 personnes seraient touchées contre 51 900 actuellement, avec une hypothèse de 6 millions de voyageurs par an.
La DGAC ajoute que si l’aéroport était transféré à Notre-Dame-des-Landes, seules 3 350 personnes seraient concernées.
L’enquête avait été réclamée en avril 2013 par la commission du dialogue destinée à apaiser les débats avec les opposants au projet de construction de la nouvelle plateforme après de violents affrontements dans le bocage à l’automne 2012.
"Le trafic passager à Nantes a augmenté de 5,2 % par an entre 1986 et 2012, passant de 950 000 à 3,55 millions de passagers, soit deux à trois fois plus vite que dans le reste de la France", explique Paul Schach, Directeur du Transport Aérien à la DGAC.
Le rapport précise que, selon les projections d’impact du bruit causé par les vols d’appareils menées par la DGAC, si l’actuel site est maintenu, en 2030, entre 69 500 et 90 700 personnes seraient touchées contre 51 900 actuellement, avec une hypothèse de 6 millions de voyageurs par an.
La DGAC ajoute que si l’aéroport était transféré à Notre-Dame-des-Landes, seules 3 350 personnes seraient concernées.