Décidemment les agences de voyages en ligne (OTA pour Online Travel Agencies) n’ont pas la côte auprès des hôteliers. Le sujet a été au cœur du récent congrès national de l’Umih à Cannes.
Comment les hôteliers et notamment es indépendants peuvent ils faire face à la puissance mondiale de ces OTA qui comme Hotels.com, e-Bookers, Traviso dictent de fait par la puissance de leur réseau planétaire leurs lois au marché ?
On s’en est rendu compte une fois de plus à Nice à l’occasion d’une réunion sur le thème "Face à la montée des OTA, les solutions et bonnes pratiques pour développer vos ventes directes" réunissant professionnels du Net et de la réservation en ligne sous l’égide la Chambre de commerce de Nice.
Une réunion à laquelle participaient Rémy Ohayon, Expert e-marketing - auteur du livre Addiction.travel - Initiateur de l'association "Ambassadeur», Gilles Cibert, Fondateur de FairBooking et Ingrid Wild, Consultante (L'Essentiel Hôtel Conseil).
Michel Tschann, directeur d’hôtels à Nice, et par ailleurs président de la commission tourisme au sein de l’institution consulaire niçoise, a dénoncé une fois de plus les clauses abusives de ces OTA.
La plupart des OTA et leur « avis consommateur » ssont si bien référencés sur Internet qu’elles apparaissent bien avant le site propre de l’hôtelier. Ils affichent des prix cassés qui incitent les voyageurs à réserver via ces OTA alors que souvent les tarifs sont le mêmes sur le site de l’hôtelier commission en moins pour ces derniers.
Rémy Ohayon a présenté alternatives pour renouer un dialogue direct avec les clients et les touristes étrangers. C’est l’émergence d’initiatives comme Fairbooking, qui offre près de 1 300 hôtels de toutes catégories ou de projet une marque blanche à destination des sites institutionnels. Une façon de contrebalancer la toute puissance des OTA sur la réservation hôtelière en ligne.
Comment les hôteliers et notamment es indépendants peuvent ils faire face à la puissance mondiale de ces OTA qui comme Hotels.com, e-Bookers, Traviso dictent de fait par la puissance de leur réseau planétaire leurs lois au marché ?
On s’en est rendu compte une fois de plus à Nice à l’occasion d’une réunion sur le thème "Face à la montée des OTA, les solutions et bonnes pratiques pour développer vos ventes directes" réunissant professionnels du Net et de la réservation en ligne sous l’égide la Chambre de commerce de Nice.
Une réunion à laquelle participaient Rémy Ohayon, Expert e-marketing - auteur du livre Addiction.travel - Initiateur de l'association "Ambassadeur», Gilles Cibert, Fondateur de FairBooking et Ingrid Wild, Consultante (L'Essentiel Hôtel Conseil).
Michel Tschann, directeur d’hôtels à Nice, et par ailleurs président de la commission tourisme au sein de l’institution consulaire niçoise, a dénoncé une fois de plus les clauses abusives de ces OTA.
La plupart des OTA et leur « avis consommateur » ssont si bien référencés sur Internet qu’elles apparaissent bien avant le site propre de l’hôtelier. Ils affichent des prix cassés qui incitent les voyageurs à réserver via ces OTA alors que souvent les tarifs sont le mêmes sur le site de l’hôtelier commission en moins pour ces derniers.
Rémy Ohayon a présenté alternatives pour renouer un dialogue direct avec les clients et les touristes étrangers. C’est l’émergence d’initiatives comme Fairbooking, qui offre près de 1 300 hôtels de toutes catégories ou de projet une marque blanche à destination des sites institutionnels. Une façon de contrebalancer la toute puissance des OTA sur la réservation hôtelière en ligne.
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