Il y a encore quelques années, nombre de monstres chimériques « hantaient » la jungle guyanaise.
Que d’imagination ! La Guyane… l’enfer vert… le bagne, fermé depuis 1947 ! Venir en Guyane requiert d’abord que soient exorcisés les maléfices attachés à certaines légendes.
Contrairement aux idées reçues et aux divers clichés le milieu naturel guyanais ne présente pas plus de dangers que tout autre milieu naturel exotique.
Que d’imagination ! La Guyane… l’enfer vert… le bagne, fermé depuis 1947 ! Venir en Guyane requiert d’abord que soient exorcisés les maléfices attachés à certaines légendes.
Contrairement aux idées reçues et aux divers clichés le milieu naturel guyanais ne présente pas plus de dangers que tout autre milieu naturel exotique.
Petit tour d’horizon afin de faire le point entre ce qui relève du Mythe et la Réalité !!
Mythe : L’anaconda à tête de tarentule, aussi rapide qu’un jaguar…
Réalité : Les attaques de jaguars, d’anacondas ou de gigantesques araignées appartiennent au mythe et non à la réalité… Le danger vient plutôt de l’inconscience ou de l’ignorance des visiteurs.
Mythe : Des moustiques de la taille d’un hélicoptère !
Réalité : Des moustiques, pas plus qu’ailleurs.
Comme dans tous les pays tropicaux, et même les pays tempérés les moustiques sont présents et différents moyens existent pour s’en protéger !
Seule obligation pour un voyage en Guyane, le vaccin contre la fièvre jaune. Il est valable à vie, totalement indolore, sans contre-indication majeure et n’entraîne pas de réaction.
Mythe : La couleur sablonneuse de l’eau cache des monstres !
Réalité : Se baigner où on veut, quand on veut.
En Guyane, n’hésitez pas : pas de bilharziose dans nos fleuves, quant aux requins, ils ne sont pas à craindre en bordure de plage. La turbidité de l’eau en mer et à l’embouchure des fleuves n’est pas un signe de pollution. Ce sont les limons qui lui donnent cet aspect trouble. Température moyenne de l’atlantique sur nos rivages : 26 ° !
Dans les criques (petits cours d’eau en Guyane), l’eau est peu profonde, calme, voire claire et fraîche, idéale pour la baignade !!
Réalité : Les attaques de jaguars, d’anacondas ou de gigantesques araignées appartiennent au mythe et non à la réalité… Le danger vient plutôt de l’inconscience ou de l’ignorance des visiteurs.
Mythe : Des moustiques de la taille d’un hélicoptère !
Réalité : Des moustiques, pas plus qu’ailleurs.
Comme dans tous les pays tropicaux, et même les pays tempérés les moustiques sont présents et différents moyens existent pour s’en protéger !
Seule obligation pour un voyage en Guyane, le vaccin contre la fièvre jaune. Il est valable à vie, totalement indolore, sans contre-indication majeure et n’entraîne pas de réaction.
Mythe : La couleur sablonneuse de l’eau cache des monstres !
Réalité : Se baigner où on veut, quand on veut.
En Guyane, n’hésitez pas : pas de bilharziose dans nos fleuves, quant aux requins, ils ne sont pas à craindre en bordure de plage. La turbidité de l’eau en mer et à l’embouchure des fleuves n’est pas un signe de pollution. Ce sont les limons qui lui donnent cet aspect trouble. Température moyenne de l’atlantique sur nos rivages : 26 ° !
Dans les criques (petits cours d’eau en Guyane), l’eau est peu profonde, calme, voire claire et fraîche, idéale pour la baignade !!
Mythe : Les piranhas mangeurs d’hommes !
Réalité : Les piranhas mangés par les hommes !
Oubliez votre peur irraisonnée des piranhas ; en Guyane on les pêche (les pieds dans l’eau) et on les mange, juste retour des choses. En revanche, il est d’usage de sonder les fonds sablonneux des rivières ou des criques avant de vous y plonger, ceci pour faire fuir d’éventuelles raies, dont le dard peut provoquer des piqûres douloureuses.
Mythe : araignées et guêpes tueuses, scorpions, scolopendres, pullulent dans la forêt !
Réalité : Toutes ces charmantes « bébêtes » sont rarement dangereuses et peu agressives.
On peut les observer sans crainte, mais on s’abstiendra de les exciter et de les toucher. Les fourmis, elles, sont omniprésentes, les plus petites n’étant pas les moins agressives ; regardez où vous mettez les pieds. Ne secouez pas les branches d’arbres ; outres les fourmis, elles peuvent abriter des « mouches » (terme créole regroupant entre autres les abeilles et guêpes…) qui ici piquent ! Méfiez-vous aussi des savanes herbeuses, elles sont souvent le domaine de prédilection des « poux d’agoutis » (nom donné aux aoûtats, du genre acarien). Pour s’en protéger, s’enduire les chevilles et les jambes d’une pommade antiparasitaire (ou d’huile de carapa locale…).
Un bon conseil, la sieste à même le sol est absolument à proscrire (dans un hamac c’est tellement plus agréable).
Réalité : Les piranhas mangés par les hommes !
Oubliez votre peur irraisonnée des piranhas ; en Guyane on les pêche (les pieds dans l’eau) et on les mange, juste retour des choses. En revanche, il est d’usage de sonder les fonds sablonneux des rivières ou des criques avant de vous y plonger, ceci pour faire fuir d’éventuelles raies, dont le dard peut provoquer des piqûres douloureuses.
Mythe : araignées et guêpes tueuses, scorpions, scolopendres, pullulent dans la forêt !
Réalité : Toutes ces charmantes « bébêtes » sont rarement dangereuses et peu agressives.
On peut les observer sans crainte, mais on s’abstiendra de les exciter et de les toucher. Les fourmis, elles, sont omniprésentes, les plus petites n’étant pas les moins agressives ; regardez où vous mettez les pieds. Ne secouez pas les branches d’arbres ; outres les fourmis, elles peuvent abriter des « mouches » (terme créole regroupant entre autres les abeilles et guêpes…) qui ici piquent ! Méfiez-vous aussi des savanes herbeuses, elles sont souvent le domaine de prédilection des « poux d’agoutis » (nom donné aux aoûtats, du genre acarien). Pour s’en protéger, s’enduire les chevilles et les jambes d’une pommade antiparasitaire (ou d’huile de carapa locale…).
Un bon conseil, la sieste à même le sol est absolument à proscrire (dans un hamac c’est tellement plus agréable).
Mythe : les serpents sont un danger permanent.
Réalité : En dehors de ceux que vous trouverez écrasés sur la route, vous aurez du mal à les observer en forêt. Les accidents sont extrêmement rares en Guyane. Seules quelques espèces sont venimeuses ; les plus gros anacondas et boas ne le sont pas. Si par hasard vous en voyez un, sachez que les serpents n’attaquent que s’ils sont acculés ; ils ont leur place et leur rôle dans le biotope, maîtrisez votre répulsion et ne les tuez pas.
Mythe : La forêt est impénétrable et s’y déplacer sans machette est impossible.
Réalité : Se déplacer dans les sous-bois de la forêt ne présente aucune difficulté, sinon celle de ne pas se perdre (c’est le plus grand danger de la forêt). Sous la voûte d’arbres la végétation n’est pas dense (par manque de lumière) et il n’est pas nécessaire (et surtout pas recommandé) de sabrer la végétation pour se déplacer.
Sur un sentier balisé, il y a peu de chance que vous vous perdiez.
Pour une promenade hors sentier, prenez un guide dont c’est le métier. Il vous fera découvrir, en toute sécurité, les richesses de la forêt. On ne touche qu’avec les yeux, c’est une règle d’or.
S’immerger dans une forêt légendaire pour se régaler dans la chlorophylle ou s’intéresser aux « bébêtes » pour comprendre les interactions entre les différents biotopes et la faune lors de circuits naturalistes, autant d’arguments de vente solides pour proposer la Guyane à une clientèle de passionnés en herbe ! : entomologistes, lépidoptéristes, herpétologues etc.
Réalité : En dehors de ceux que vous trouverez écrasés sur la route, vous aurez du mal à les observer en forêt. Les accidents sont extrêmement rares en Guyane. Seules quelques espèces sont venimeuses ; les plus gros anacondas et boas ne le sont pas. Si par hasard vous en voyez un, sachez que les serpents n’attaquent que s’ils sont acculés ; ils ont leur place et leur rôle dans le biotope, maîtrisez votre répulsion et ne les tuez pas.
Mythe : La forêt est impénétrable et s’y déplacer sans machette est impossible.
Réalité : Se déplacer dans les sous-bois de la forêt ne présente aucune difficulté, sinon celle de ne pas se perdre (c’est le plus grand danger de la forêt). Sous la voûte d’arbres la végétation n’est pas dense (par manque de lumière) et il n’est pas nécessaire (et surtout pas recommandé) de sabrer la végétation pour se déplacer.
Sur un sentier balisé, il y a peu de chance que vous vous perdiez.
Pour une promenade hors sentier, prenez un guide dont c’est le métier. Il vous fera découvrir, en toute sécurité, les richesses de la forêt. On ne touche qu’avec les yeux, c’est une règle d’or.
S’immerger dans une forêt légendaire pour se régaler dans la chlorophylle ou s’intéresser aux « bébêtes » pour comprendre les interactions entre les différents biotopes et la faune lors de circuits naturalistes, autant d’arguments de vente solides pour proposer la Guyane à une clientèle de passionnés en herbe ! : entomologistes, lépidoptéristes, herpétologues etc.
Pour aller plus loin, découvrez la nouvelle collection de guides naturalistes éditée par la Réserve Trésor :
Téléchargeable au format PDF
Bon voyage aux curieux de Nature !
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Vos conseillers voyages
Flavia Servé
flavia.serve@guyane-amazonie.fr
Sonia Cippe
sonia.cippe@guyane-amazonie.fr
Téléphone : +33 (0)1 42 94 15 16
Site web : Guyane-amazonie.fr
Annuaire : en savoir plus sur le Comité du Tourisme de Guyane
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