Les Européens ont tendance à chercher de plus en plus des vacances taillées à leurs fantaisie et à se détourner des forfaits industriels.
Le fournisseur de technologies Orchestra prévoit d'achever le développement de sa solution de dynamic packaging en 2010.
Cette solution sera distribuée simultanément à l’ensemble de ses clients qu’ils soient tour-opérateurs, agences en ligne ou aux agences traditionnelles.
« Nous avons un certain nombre de clients, notamment des agences en ligne, qui ont également une présence européenne et qui souhaitent équiper leurs bureaux locaux de la même solution de dynamic packaging », explique Christian Sabbagh, le président d’Orchestra.
Cette solution sera distribuée simultanément à l’ensemble de ses clients qu’ils soient tour-opérateurs, agences en ligne ou aux agences traditionnelles.
« Nous avons un certain nombre de clients, notamment des agences en ligne, qui ont également une présence européenne et qui souhaitent équiper leurs bureaux locaux de la même solution de dynamic packaging », explique Christian Sabbagh, le président d’Orchestra.
Etranger : les vacances des Français pèsent 18 milliards d’euros
C’est donc par l’ intermédiaire de ses clients ayant une dimension internationale qu’Orchestra prendra dans un premier temps une orientation européenne. Mais une étude de marché réalisée par le cabinet de consultants OC&C lui ouvre cependant des perspectives plus larges.
D’après cette étude, il ressort que les Européens ont un mode de fonctionnement spécifique, en ce qui concerne les voyages. Les Français ne sont que 10% à prendre des vacances à l’étranger, pour 38% de Britanniques et 28% d’Allemands.
En terme de dépenses, les vacances à l’étranger des Français pèsent 18 milliards d’euros alors que celles des Allemands est estimée à 29 milliards et celles des Britanniques de 35 milliards d’euros.
En Europe, 50% des voyages Loisirs vendus sont des packages. Ce taux est même de 64% en ce qui concerne les Britanniques - alors qu’en France le volume de forfaits n’est que de 30% et en Allemagne de 38%.
Le canal internet représente 17% des ventes Loisirs en Europe, hors ventes directes des transporteurs, dont près des 2/3 sur les trois principaux marchés que sont l’Allemagne, la Grande Bretagne et la France.
D’après cette étude, il ressort que les Européens ont un mode de fonctionnement spécifique, en ce qui concerne les voyages. Les Français ne sont que 10% à prendre des vacances à l’étranger, pour 38% de Britanniques et 28% d’Allemands.
En terme de dépenses, les vacances à l’étranger des Français pèsent 18 milliards d’euros alors que celles des Allemands est estimée à 29 milliards et celles des Britanniques de 35 milliards d’euros.
En Europe, 50% des voyages Loisirs vendus sont des packages. Ce taux est même de 64% en ce qui concerne les Britanniques - alors qu’en France le volume de forfaits n’est que de 30% et en Allemagne de 38%.
Le canal internet représente 17% des ventes Loisirs en Europe, hors ventes directes des transporteurs, dont près des 2/3 sur les trois principaux marchés que sont l’Allemagne, la Grande Bretagne et la France.
Grande-Bretagne : aucune définition de norme commune
Les habitudes d’achat varient cependant de pays à pays. En Grande-Bretagne, les distributeurs internet vendent 36% des produits simples (avion, hôtel, etc) et 31% des forfaits.
En Allemagne, la proportion des ventes de forfaits est plus modeste à 16% et celles de produits simples est de 22%.
En France, la vente internet de forfait représente 17% et celle de produits simples 13%. En volume d’affaires, le package diffusé sur internet en France est estimé à un milliard d’euros et celle de produits simples à deux milliards. D’où l’importance de pouvoir utiliser un logiciel de package dynamique.
En Allemagne, les solutions B2B sont fortement utilisées par les agences, mais pas le B2B2C. « Il y aura probablement une refonte des outils d’ici deux à trois ans », estime Christian Sabbagh.
A l’inverse, en Grande-Bretagne l’automatisation des agences pour le produit Loisirs est en retard. Le marché compte pléthore de fournisseurs mais aucune définition de norme commune complique leurs tâches.
Alors l’exemple viendra-t-il de France grâce à la solution Orchestra basée sur la norme XFT du Ceto ? Christian Sabbagh en est persuadé. Il se voit déjà exporter son « progiciel européen de package dynamique » dans deux ou trois ans. Après sa diffusion en France…
En Allemagne, la proportion des ventes de forfaits est plus modeste à 16% et celles de produits simples est de 22%.
En France, la vente internet de forfait représente 17% et celle de produits simples 13%. En volume d’affaires, le package diffusé sur internet en France est estimé à un milliard d’euros et celle de produits simples à deux milliards. D’où l’importance de pouvoir utiliser un logiciel de package dynamique.
En Allemagne, les solutions B2B sont fortement utilisées par les agences, mais pas le B2B2C. « Il y aura probablement une refonte des outils d’ici deux à trois ans », estime Christian Sabbagh.
A l’inverse, en Grande-Bretagne l’automatisation des agences pour le produit Loisirs est en retard. Le marché compte pléthore de fournisseurs mais aucune définition de norme commune complique leurs tâches.
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