La position d'Air France n’est pas neutre
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2.- La qualification de "responsabilité" ne peut être opérante que si elle s’appuie sur des faits précis et irréfragables, ce qui n’est pas le cas, à tout le moins au moment de ladite déclaration du PDG d’Air France.
3.- Dans cette affaire, la position de la compagnie Air France n’est pas neutre. En effet, elle ne peut ignorer la complexité de la problématique des investissements aéroportuaires.
Personnellement, j’ai longuement développé le sujet dans différents documents démontrant qu’il était impossible de faire un investissement permettant de traiter correctement tous les passagers pendant les périodes de pointe, avec comme corollaire un suréquipement "non rentable" pendant les périodes dites "creuses" (de la journée ou de l’année).
Effectivement, les passagers qui se déplacent fréquemment en France ou à l’étranger font souvent la remarque selon laquelle soit l’aéroport est encombré, soit il paraît vide !
Il s’agit donc - après prise en compte de nombreux paramètres et données statistiques - de rechercher un niveau optimum d’investissement.
C’est la démarche logique et pragmatique bien connue d’ADP. Elle est appliquée, non seulement sur les aéroports parisiens, mais également sur d’autres aéroports internationaux où sa compétence, son savoir-faire, ont été sollicités.
Certes, on pourrait concevoir que l’objectif d’Air France serait d’avoir la certitude de pouvoir effectuer tous ses vols, quelle que soit la dégradation des conditions météorologiques !
3.- Dans cette affaire, la position de la compagnie Air France n’est pas neutre. En effet, elle ne peut ignorer la complexité de la problématique des investissements aéroportuaires.
Personnellement, j’ai longuement développé le sujet dans différents documents démontrant qu’il était impossible de faire un investissement permettant de traiter correctement tous les passagers pendant les périodes de pointe, avec comme corollaire un suréquipement "non rentable" pendant les périodes dites "creuses" (de la journée ou de l’année).
Effectivement, les passagers qui se déplacent fréquemment en France ou à l’étranger font souvent la remarque selon laquelle soit l’aéroport est encombré, soit il paraît vide !
Il s’agit donc - après prise en compte de nombreux paramètres et données statistiques - de rechercher un niveau optimum d’investissement.
C’est la démarche logique et pragmatique bien connue d’ADP. Elle est appliquée, non seulement sur les aéroports parisiens, mais également sur d’autres aéroports internationaux où sa compétence, son savoir-faire, ont été sollicités.
Certes, on pourrait concevoir que l’objectif d’Air France serait d’avoir la certitude de pouvoir effectuer tous ses vols, quelle que soit la dégradation des conditions météorologiques !