Une partie du succès revient à la restructuration de la billetterie en classe Economique avec deux types de voyages, SAS Go et, plus flexible, SAS Plus - DR Adrian Pingstone Wikimédia
Pierre Tolcini, le franco-suédois bien connu des professionnels français pour avoir occupé la direction de Visit Sweden en France et en Espagne pendant sept ans, a été nommé, le mois dernier, à la tête de la compagnie scandinave SAS pour les marchés français, espagnol et portugais.
Un moment plutôt bien choisi pour ce spécialiste de la Scandinavie, alors que la compagnie récolte enfin les fruits de son dernier plan de restructuration en date.
Après un troisième trimestre dans le vert, SAS prévoit même de retrouver l'équilibre économique à la fin de l'exercice, voire de renouer avec les bénéfices.
Après plus d'une décennie de problèmes économiques, c'est encourageant !
Pour Pierre Tolcini, une partie de ce succès revient à la restructuration de la billetterie en classe Economique avec deux types de voyages, SAS Go et, plus flexible, SAS Plus.
Cette nouvelle vision de la classe Eco a été introduite en juin dernier.
Le service à bord s'est adapté : plus de plateaux repas mais une sélection de sandwiches ou de salades que les passagers Basic achètent éventuellement, tandis qu'ils sont offerts aux passagers Go Plus.
Un moment plutôt bien choisi pour ce spécialiste de la Scandinavie, alors que la compagnie récolte enfin les fruits de son dernier plan de restructuration en date.
Après un troisième trimestre dans le vert, SAS prévoit même de retrouver l'équilibre économique à la fin de l'exercice, voire de renouer avec les bénéfices.
Après plus d'une décennie de problèmes économiques, c'est encourageant !
Pour Pierre Tolcini, une partie de ce succès revient à la restructuration de la billetterie en classe Economique avec deux types de voyages, SAS Go et, plus flexible, SAS Plus.
Cette nouvelle vision de la classe Eco a été introduite en juin dernier.
Le service à bord s'est adapté : plus de plateaux repas mais une sélection de sandwiches ou de salades que les passagers Basic achètent éventuellement, tandis qu'ils sont offerts aux passagers Go Plus.
Dix vols par jour cet hiver vers les trois capitales scandinaves
Pierre Tolcini, DG France, Espagne et Portugal de SAS - DR
Quant aux passagers Affaires, ils bénéficient désormais d'un nouveau salon à CDG1, au décor inspiré du design nordique. "On se sent déjà un peu en Scandinavie", résume Pierre Tolcini.
La Scandinavie représente la destination essentielle de la demande française.
"Bien sûr, nous avons des vols en connexion vers l'Asie comme Tokyo, Shanghai et bientôt Bangkok, et vers l'Amérique du Nord sur nos hubs de Copenhague et de Stockholm. Mais SAS est avant tout un transporteur court/moyen courrier", confirme Pierre Tolcini.
Entre la France et la Scandinavie, SAS opèrera toujours dix vols par jour cet hiver vers les trois capitales scandinaves (trois vers Stockholm, trois Oslo et quatre Copenhague).
Un seul vol direct échappe au passage obligé via les hubs, c'est celui de Stavanger, lié principalement au développement des plates-formes pétrolières.
En France, SAS compte cinq commerciaux de terrain. "Nous sommes proches des agences de voyages qui peuvent compter sur nous pour obtenir bien plus que de simples cotations.
Nous connaissons très bien la destination et nos conseils peuvent leur être précieux pour leurs groupes. Notre force c'est d'être à l'écoute du client !"
Et d'ailleurs, pour le vérifier, il suffira de chercher les commerciaux SAS sur le stand de la Norvège à l'IFTM/Top Resa.
La Scandinavie représente la destination essentielle de la demande française.
"Bien sûr, nous avons des vols en connexion vers l'Asie comme Tokyo, Shanghai et bientôt Bangkok, et vers l'Amérique du Nord sur nos hubs de Copenhague et de Stockholm. Mais SAS est avant tout un transporteur court/moyen courrier", confirme Pierre Tolcini.
Entre la France et la Scandinavie, SAS opèrera toujours dix vols par jour cet hiver vers les trois capitales scandinaves (trois vers Stockholm, trois Oslo et quatre Copenhague).
Un seul vol direct échappe au passage obligé via les hubs, c'est celui de Stavanger, lié principalement au développement des plates-formes pétrolières.
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