Le chiffre d'affaires du groupe a progressé de "près de 4%" à 159,92 millions d'euros, a ajouté la compagnie dans un communiqué. Le résultat opérationnel a quant à lui atteint 3,28 M EUR.
"Ces résultats positifs ont pu être atteints grâce à l'amélioration des taux d'occupation, à l'optimisation de la capacité et à la poursuite des programmes d'économie des coûts", a expliqué la compagnie. Le taux d'occupation a augmenté de 3,5 points à 69,4%, a ainsi précisé SN Brussels Airlines.
En outre, "les résultats des voyages d'affaires, traditionnellement plus faibles en été, ont partiellement été compensés au cours du trimestre grâce à l'activité intensive des vols charter", a-t-elle ajouté.
Le patron de SN Brussels Airlines, Peter Davies, a en outre réitéré sa confiance dans la capacité de son groupe à afficher un bénéfice net de 2,5 millions d'euros pour l'ensemble de l'année 2004.
M. Davies refuse cependant toute "autosatisfaction", qui n'a "pas sa place dans le secteur aérien", où "les prix du carburant neutralisent une très grande part" des économies budgétaires et des augmentations de revenu. "La flexibilité et une extrême vigilance sur les coûts sont plus que jamais nécessaires", a-t-il prévenu.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
"Ces résultats positifs ont pu être atteints grâce à l'amélioration des taux d'occupation, à l'optimisation de la capacité et à la poursuite des programmes d'économie des coûts", a expliqué la compagnie. Le taux d'occupation a augmenté de 3,5 points à 69,4%, a ainsi précisé SN Brussels Airlines.
En outre, "les résultats des voyages d'affaires, traditionnellement plus faibles en été, ont partiellement été compensés au cours du trimestre grâce à l'activité intensive des vols charter", a-t-elle ajouté.
Le patron de SN Brussels Airlines, Peter Davies, a en outre réitéré sa confiance dans la capacité de son groupe à afficher un bénéfice net de 2,5 millions d'euros pour l'ensemble de l'année 2004.
M. Davies refuse cependant toute "autosatisfaction", qui n'a "pas sa place dans le secteur aérien", où "les prix du carburant neutralisent une très grande part" des économies budgétaires et des augmentations de revenu. "La flexibilité et une extrême vigilance sur les coûts sont plus que jamais nécessaires", a-t-il prévenu.
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