Avec l'ouverture d'une ligne entre Madrid et Santiago de los Caballeros, en République dominicaine, une nouvelle offre se concrétise autour de la vallée du Cibao et les versants de la cordillère septentrionale de l’île. Ici, Puerto Plata, la ville couleurs - Photo : C.Hardin
Pour ce qui est de son attractivité, la République dominicaine « en a encore sous le pied ».
Grâce à l’ouverture en juin dernier de la ligne entre Madrid et Santiago de los Caballeros, la deuxième ville du pays, une nouvelle offre se concrétise pour rayonner à partir de cette région qui englobe la vallée du Cibao et les versants de la cordillère septentrionale de l’île.
Côté terre, des montagnes verdoyantes et des terres agricoles avec de multiples possibilités d’écotourisme et d’activités de plein air et côté mer, des plages magnifiques avec des petites cités balnéaires de caractère pleines de couleurs et d’authenticité.
Une découverte pour la plupart des agents de voyages - représentant les marques KARAVEL/FRAM, Havas Voyages, Thalasso N°1 et Voyage privé - invités lors d'un voyage d'études et accompagnés de Mercedes Castillo, la directrice de l’Office de tourisme de la République Dominicaine à Paris et de Maria Garzón, attachée commerciale France d’Air Europa.
Grâce à l’ouverture en juin dernier de la ligne entre Madrid et Santiago de los Caballeros, la deuxième ville du pays, une nouvelle offre se concrétise pour rayonner à partir de cette région qui englobe la vallée du Cibao et les versants de la cordillère septentrionale de l’île.
Côté terre, des montagnes verdoyantes et des terres agricoles avec de multiples possibilités d’écotourisme et d’activités de plein air et côté mer, des plages magnifiques avec des petites cités balnéaires de caractère pleines de couleurs et d’authenticité.
Une découverte pour la plupart des agents de voyages - représentant les marques KARAVEL/FRAM, Havas Voyages, Thalasso N°1 et Voyage privé - invités lors d'un voyage d'études et accompagnés de Mercedes Castillo, la directrice de l’Office de tourisme de la République Dominicaine à Paris et de Maria Garzón, attachée commerciale France d’Air Europa.
Santiago de los Caballeros : traditions, culture et... cigares
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En desservant exclusivement la deuxième ville du pays depuis le mois de juin 2024, Air Europa a probablement été bien inspirée et il y a fort à parier que dans le futur, d’autres compagnies ajouteront cette destination à leur réseau.
Alors que la République dominicaine poursuit son essor touristique, Santiago (elle a été la première en Amérique latine à prendre ce nom) développe ses infrastructures pour pouvoir encore mieux accueillir les visiteurs.
Déjà dotée d’une hôtellerie de bonne qualité, telle la chaîne dominicaine Hodelpa Hotels & Resorts (Hodelpa pour « Hoteles del pais ») testée par les participants au voyage, la ville voit de plus en plus venir « les grands » du secteur.
Marriott Bonvoy fait actuellement sortir de terre son hôtel de la gamme AC Hôtel et Hilton met les bouchées doubles pour inaugurer son nouvel établissement dans le centre-ville le 12 décembre prochain.
Alors que la République dominicaine poursuit son essor touristique, Santiago (elle a été la première en Amérique latine à prendre ce nom) développe ses infrastructures pour pouvoir encore mieux accueillir les visiteurs.
Déjà dotée d’une hôtellerie de bonne qualité, telle la chaîne dominicaine Hodelpa Hotels & Resorts (Hodelpa pour « Hoteles del pais ») testée par les participants au voyage, la ville voit de plus en plus venir « les grands » du secteur.
Marriott Bonvoy fait actuellement sortir de terre son hôtel de la gamme AC Hôtel et Hilton met les bouchées doubles pour inaugurer son nouvel établissement dans le centre-ville le 12 décembre prochain.
Santiago, une ville incontournable
Casques sur la tête, les agents de voyages visitent le Hilton de Santiago, encore dans les cartons - Photo : C.Hardin
Déjà ouvert et visité lors du voyage, l’hôtel Camp David Ranch, dans la montagne toute proche est un hôtel de charme à conseiller avec ses chambres très élégantes, son restaurant tel un balcon sur un océan de verdure et sa vue grandiose sur la montagne.
Assurément, dans cette région nord du Cibao, Santiago est incontournable. Fondée en 1494 par Christophe Colomb et capitale de la province de Santiago, la ville est entourée des plus hautes montagnes de l’île. Elle offre de nombreuses opportunités.
Le monument aux héros de la restauration de la République avec sa tour et ses 365 marches abrite des expositions, et sa terrasse permet de profiter d’une vue panoramique.
Dans les rues du quartier « Los Pepines » le dimanche, les Dominicains viennent danser. L’ambiance est chaleureuse, festive avec des personnages hauts en couleur, chaleureux et prompts à vous inviter à quelques pas de danse.
Autre expérience vécue par les participants au voyage, la visite du remarquable centre culturel León, le plus important de la République dominicaine et qui rassemble 40 collections sur les arts visuels, l'archéologie, l'ethnographie, le folklore et la culture populaire.
Santiago est également devenue l’épicentre du cigare dominicain, l’un des plus réputés au monde et produit chaque année a près de 200 millions d’exemplaires dont la grande majorité sont roulés à Santiago.
Assurément, dans cette région nord du Cibao, Santiago est incontournable. Fondée en 1494 par Christophe Colomb et capitale de la province de Santiago, la ville est entourée des plus hautes montagnes de l’île. Elle offre de nombreuses opportunités.
Le monument aux héros de la restauration de la République avec sa tour et ses 365 marches abrite des expositions, et sa terrasse permet de profiter d’une vue panoramique.
Dans les rues du quartier « Los Pepines » le dimanche, les Dominicains viennent danser. L’ambiance est chaleureuse, festive avec des personnages hauts en couleur, chaleureux et prompts à vous inviter à quelques pas de danse.
Autre expérience vécue par les participants au voyage, la visite du remarquable centre culturel León, le plus important de la République dominicaine et qui rassemble 40 collections sur les arts visuels, l'archéologie, l'ethnographie, le folklore et la culture populaire.
Santiago est également devenue l’épicentre du cigare dominicain, l’un des plus réputés au monde et produit chaque année a près de 200 millions d’exemplaires dont la grande majorité sont roulés à Santiago.
A Santiago de los Caballeros : la danse, le centre culturel León et les montagnes avoisinantes - Photo : C.Hardin
Hendrick Kelner, le concepteur des cigares Davidoff et qui vit à Santiago, a honoré de sa présence, le temps d’un déjeuner, les participants au voyage en leur livrant quelques secrets sur l’art de fumer. Passionnant.
À Santiago, Hendrick Kelner recommande d’aller savourer un cigare au restaurant Saga, après avoir dégusté un saumon aux pistaches ou un churrasco braisé sur un bloc de sel.
À Santiago, Hendrick Kelner recommande d’aller savourer un cigare au restaurant Saga, après avoir dégusté un saumon aux pistaches ou un churrasco braisé sur un bloc de sel.
Ilot de Robinson et couleurs à Puerto Plata
Arriver à Santiago, c’est aussi pouvoir filer en direction des rivages de la côte nord, vers les provinces de Monte Cristi (là où naquit le père d’Alexandre Dumas) et Puerto Plata ; passer des nuances de vert des plantations, aux bleu marine et turquoise de l’océan.
L’excursion vers l’îlot de Cayo Arena est un must. Après que le bateau a jeté l’ancre dans des piscines naturelles pour permettre la baignade, on accoste sur cet îlot de sable doté seulement de quelques cabanes pour s’abriter du soleil.
Au milieu de l’océan, on peut s’imaginer un instant tel un Robinson. L’endroit est fréquenté, mais on arrive toujours à trouver sa place, seul ou à deux face à la mer, pour contempler l’eau claire et turquoise ou la vue sur les montagnes de la côte. On se baigne en apercevant les poissons de toutes les couleurs.
La nature, la flore et la faune se découvrent aussi dans le calme absolu des mangroves. Le bateau s’engouffre sous une arche de verdure et glisse sur une eau calme avec pour seul bruit celui des oiseaux.
Puerto Plata, qui s’est développé au 19e siècle avec l’exportation des feuilles de tabac, s'apprécie en fin d’après-midi, lorsque les milliers de croisiéristes reprennent le large à bord des grands bateaux de croisières.
Lire aussi : Tourisme balnéaire : "des investissements climatiques urgents" !
L’excursion vers l’îlot de Cayo Arena est un must. Après que le bateau a jeté l’ancre dans des piscines naturelles pour permettre la baignade, on accoste sur cet îlot de sable doté seulement de quelques cabanes pour s’abriter du soleil.
Au milieu de l’océan, on peut s’imaginer un instant tel un Robinson. L’endroit est fréquenté, mais on arrive toujours à trouver sa place, seul ou à deux face à la mer, pour contempler l’eau claire et turquoise ou la vue sur les montagnes de la côte. On se baigne en apercevant les poissons de toutes les couleurs.
La nature, la flore et la faune se découvrent aussi dans le calme absolu des mangroves. Le bateau s’engouffre sous une arche de verdure et glisse sur une eau calme avec pour seul bruit celui des oiseaux.
Puerto Plata, qui s’est développé au 19e siècle avec l’exportation des feuilles de tabac, s'apprécie en fin d’après-midi, lorsque les milliers de croisiéristes reprennent le large à bord des grands bateaux de croisières.
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Marcher dans les rues est alors un plaisir. La forteresse, les vestiges coloniaux et les magnifiques maisons victoriennes donnent à la ville un caractère exceptionnel, surtout lorsque le soleil déclinant éclaire les façades colorées des maisons ou des fresques sur les murs.
Et partout, des petits restaurants charmants, des passages irrésistibles avec des boutiques et des bars.
Et partout, des petits restaurants charmants, des passages irrésistibles avec des boutiques et des bars.
Longer la côte vers Samana
Entourées de Maria Garzón à gauche et de Mercedes Castillo à droite, les agents de voyages en blanc pour honorer leurs hôtes - Photo : C.Hardin
Après Puerto Plata, et en direction de la presqu’île de Samana, la façade atlantique de l’île dévoile encore ses charmes et une très large offre touristique et culturelle.
Traversée de Sosua, où les Juifs venus d’Allemagne se sont réfugiés à l’invitation de la République dominicaine en 1939. La synagogue est encore là, avec un petit musée. « J’aime cette image de mon pays accueillant des réfugiés persécutés » déclarait Hendrick Kelner.
Là aussi, la côte regorge de belles plages bien sûr, avec ses marchés aux poissons et ses restaurants sur le sable où l’on déguste une langouste. Canarete et sa baie ventée sont le paradis du kitesurf et du windsurf.
En s’écartant quelque peu de la côte, on peut aller contempler l'une des nombreuses cascades, apprécier le bruit du ruissellement de l’eau sur la roche, la brume fraîche qui se dépose sur le visage et redonne de l’énergie.
Enfin, le voyage de découverte se termine sur la péninsule de Samana où l’on retrouve tous les atouts de cette République dominicaine : une nature magnifique, des plages désertes, des mangroves et, de mi-janvier à fin mars, les majestueuses baleines à bosse qui viennent s’accoupler dans la baie.
Le voyage s’est conclu à l’hôtel Bahia Principe Grand Samana avec le traditionnel « dîner en blanc », couleur symbole de la paix et de l’unité du peuple dominicain.
Lire aussi : Hyatt et Grupo Piñero s'associent pour booster Bahia Principe dans le tout inclus
Traversée de Sosua, où les Juifs venus d’Allemagne se sont réfugiés à l’invitation de la République dominicaine en 1939. La synagogue est encore là, avec un petit musée. « J’aime cette image de mon pays accueillant des réfugiés persécutés » déclarait Hendrick Kelner.
Là aussi, la côte regorge de belles plages bien sûr, avec ses marchés aux poissons et ses restaurants sur le sable où l’on déguste une langouste. Canarete et sa baie ventée sont le paradis du kitesurf et du windsurf.
En s’écartant quelque peu de la côte, on peut aller contempler l'une des nombreuses cascades, apprécier le bruit du ruissellement de l’eau sur la roche, la brume fraîche qui se dépose sur le visage et redonne de l’énergie.
Enfin, le voyage de découverte se termine sur la péninsule de Samana où l’on retrouve tous les atouts de cette République dominicaine : une nature magnifique, des plages désertes, des mangroves et, de mi-janvier à fin mars, les majestueuses baleines à bosse qui viennent s’accoupler dans la baie.
Le voyage s’est conclu à l’hôtel Bahia Principe Grand Samana avec le traditionnel « dîner en blanc », couleur symbole de la paix et de l’unité du peuple dominicain.
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Air Europa : trois dessertes en République Dominicaine pour favoriser les circuits
Pour ses vols long-courrier, Air Europa dispose d’une flotte de B 787 de dernière génération avec une classe économique et une classe business - Photo : C.Hardin
« Nous allons pousser cette nouvelle liaison vers Santiago en plus de Saint-Domingue et Punta Cana, car elle va permettre aux tour-opérateurs et ceux qui travaillent avec la destination d’envisager de nouveaux produits et de nouvelles combinaisons », explique Mercedes Castillo.
Avec cette liaison, ajoute-t-elle, « on peut envisager de nombreux circuits comme arriver à Santiago, ville de traditions, de culture et profiter également de la nature des parcs nationaux, de la côte nord si authentique et ensuite redescendre vers le sud et redécoller de Saint-Domingue ou Punta Cana. »
« Toutes les combinaisons sont possibles, nous confirme Maria Garzón. Nous avons depuis Madrid deux vols par semaine vers Santiago de los Caballeros, 3 jours par semaine vers Punta Cana et Saint-Domingue en quotidien.
Vous avez aussi la possibilité d’un « open jaw » à Madrid pour visiter la ville. Nous proposons des tarifs très intéressants sur le marché, ainsi que des promotions et nous travaillons beaucoup avec les tour-opérateurs ».
Avec cette liaison, ajoute-t-elle, « on peut envisager de nombreux circuits comme arriver à Santiago, ville de traditions, de culture et profiter également de la nature des parcs nationaux, de la côte nord si authentique et ensuite redescendre vers le sud et redécoller de Saint-Domingue ou Punta Cana. »
« Toutes les combinaisons sont possibles, nous confirme Maria Garzón. Nous avons depuis Madrid deux vols par semaine vers Santiago de los Caballeros, 3 jours par semaine vers Punta Cana et Saint-Domingue en quotidien.
Vous avez aussi la possibilité d’un « open jaw » à Madrid pour visiter la ville. Nous proposons des tarifs très intéressants sur le marché, ainsi que des promotions et nous travaillons beaucoup avec les tour-opérateurs ».
Fréquences et horaires des vols Air Europa
Publié par Christophe Hardin Journaliste AirMaG - TourMaG.com
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