le TGV rattrappe les déficits à grande vitesse...
Sur la base d’une progression de 91 % de l’excédent brut d’exploitation à périmètre constant (814 millions d’euros), malgré une hausse des charges d’exploitation de péages et d’électricité de 93 millions d’euros, le résultat d'exploitation passe de -176 Mie à +238 Mie, souligne un communiqué.
De son côté le résultat courant atteint 87 millions d’euros contre -242 millions d’euros au premier semestre 2003. La progression des fondamentaux du Groupe est particulièrement nette.
De tout ceci il résulte que le résultat net part du Groupe atteint 51 millions d’euros contre -318 millions d’euros au 1er semestre 2003, et la capacité d’autofinancement s’élève à 692 M€ contre 387 M€ au 1er semestre 2003 (+79 %).
A périmètre constant, toutes les branches contribuent à ces performances, particulièrement la branche Voyages France Europe, qui confirme sa dynamique de croissance rentable. "La situation financière du Groupe continue à être maîtrisée avec un ratio d’endettement net (dette nette/capitaux propres + provisions pour risques et charges) en légère amélioration à 1,45 contre 1,51 à fin décembre 2003."
Branche Voyages : croissance des trafics et des résultats
Cette amélioration des résultats s’accompagne d’une progression des performances en termes de qualité de service aux clients : ainsi, sur l’ensemble des activités de transporteur ferroviaire exercées au sein de l’EPIC SNCF, la régularité moyenne des trains a progressé de 1,5 point.
La branche Voyages - France Europe a réalisé au premier semestre 2004 un chiffre d'affaires de 2 683 millions d'euros (+8,1 %). L'E.B.E. atteint 376 millions d'euros, soit une marge d'E.B.E. sur le chiffre d'affaires de 14 % contre 7,8 % au premier semestre 2003.
Le résultat d'exploitation s'élève à 199 millions d'euros (contre 3 millions d’euros), soit une marge de résultat d’exploitation sur le chiffre d’affaires de 7,4 % contre une marge nulle (0,1 %) au premier semestre 2003.
La branche Voyages France Europe confirme son dynamisme commercial en France et en Europe, avec une nette croissance des trafics (+4,3 %) tant sur la grande vitesse (TGV +6,3 % et Eurostar +12 %) que sur les Corail “ Téoz ” (+7,5 %), l’accélération des volumes d’affaires de Voyages-sncf.com (+75 %), et la progression des recettes commerciales hors produits du trafic en gares.
La rentabilité de la branche s’améliore grâce aux programmes de réduction des coûts. L’environnement externe reste toutefois difficile avec la concurrence des compagnies aériennes “ low costs ” et un marché tourisme atone.
Transport Public : +7 % à périmètre comparable
La branche Transport Public a enregistré au premier semestre 2004 un chiffre d'affaires de 3 433 millions d'euros (+7 % à périmètre comparable). L'E.B.E. atteint 425 millions d'euros, soit une marge d'E.B.E. sur le chiffre d'affaires de 12,4 % contre 11,3 % au premier semestre 2003.
Le résultat d'exploitation atteint 190 millions d'euros (en hausse de 38,3 %), soit une marge de résultat d’exploitation sur le chiffre d’affaires de 5,5 % contre 4,5 % au premier semestre 2003.
"A périmètre constant, le second semestre 2004 devrait confirmer la progression des résultats du Groupe. Le groupe SNCF est en avance sur son plan de marche vers un modèle économique bénéficiaire lui permettant de financer de manière saine son développement. "
De son côté le résultat courant atteint 87 millions d’euros contre -242 millions d’euros au premier semestre 2003. La progression des fondamentaux du Groupe est particulièrement nette.
De tout ceci il résulte que le résultat net part du Groupe atteint 51 millions d’euros contre -318 millions d’euros au 1er semestre 2003, et la capacité d’autofinancement s’élève à 692 M€ contre 387 M€ au 1er semestre 2003 (+79 %).
A périmètre constant, toutes les branches contribuent à ces performances, particulièrement la branche Voyages France Europe, qui confirme sa dynamique de croissance rentable. "La situation financière du Groupe continue à être maîtrisée avec un ratio d’endettement net (dette nette/capitaux propres + provisions pour risques et charges) en légère amélioration à 1,45 contre 1,51 à fin décembre 2003."
Branche Voyages : croissance des trafics et des résultats
Cette amélioration des résultats s’accompagne d’une progression des performances en termes de qualité de service aux clients : ainsi, sur l’ensemble des activités de transporteur ferroviaire exercées au sein de l’EPIC SNCF, la régularité moyenne des trains a progressé de 1,5 point.
La branche Voyages - France Europe a réalisé au premier semestre 2004 un chiffre d'affaires de 2 683 millions d'euros (+8,1 %). L'E.B.E. atteint 376 millions d'euros, soit une marge d'E.B.E. sur le chiffre d'affaires de 14 % contre 7,8 % au premier semestre 2003.
Le résultat d'exploitation s'élève à 199 millions d'euros (contre 3 millions d’euros), soit une marge de résultat d’exploitation sur le chiffre d’affaires de 7,4 % contre une marge nulle (0,1 %) au premier semestre 2003.
La branche Voyages France Europe confirme son dynamisme commercial en France et en Europe, avec une nette croissance des trafics (+4,3 %) tant sur la grande vitesse (TGV +6,3 % et Eurostar +12 %) que sur les Corail “ Téoz ” (+7,5 %), l’accélération des volumes d’affaires de Voyages-sncf.com (+75 %), et la progression des recettes commerciales hors produits du trafic en gares.
La rentabilité de la branche s’améliore grâce aux programmes de réduction des coûts. L’environnement externe reste toutefois difficile avec la concurrence des compagnies aériennes “ low costs ” et un marché tourisme atone.
Transport Public : +7 % à périmètre comparable
La branche Transport Public a enregistré au premier semestre 2004 un chiffre d'affaires de 3 433 millions d'euros (+7 % à périmètre comparable). L'E.B.E. atteint 425 millions d'euros, soit une marge d'E.B.E. sur le chiffre d'affaires de 12,4 % contre 11,3 % au premier semestre 2003.
Le résultat d'exploitation atteint 190 millions d'euros (en hausse de 38,3 %), soit une marge de résultat d’exploitation sur le chiffre d’affaires de 5,5 % contre 4,5 % au premier semestre 2003.
"A périmètre constant, le second semestre 2004 devrait confirmer la progression des résultats du Groupe. Le groupe SNCF est en avance sur son plan de marche vers un modèle économique bénéficiaire lui permettant de financer de manière saine son développement. "