Hovertaxi veut créer le transport urbain du futur avec son hélicoptère électrique - Crédit photo : Hovertaxi
Viva Technology est le royaume des inventions numériques, mais pas seulement.
En effet, après avoir pendant quelques années disrupté le secteur de la distribution avec une orientation principalement BtoC, les start-up s'attaquent non seulement aux services à destination des professionnels, mais aussi à l'industrie.
Il fallait voir sur le salon des nouvelles technologies les exosquelettes pour aider les travailleurs, les nouvelles voitures électriques ou encore les projets hyperloop ou encore les drones.
Si le train conçu par Elon Musk est de plus en plus contesté par les ingénieurs du monde entier pour sa conception et surtout son coût.
"Il faut compter 150 millions d'euros par kilomètre, quand on connaît les difficultés de la SNCF avec le TGV qui a un coût de construction à 25 millions d'euros, j'ai quelques doutes sur la faisabilité de l'Hyperloop" commente Emeuric Gleizes, le PDG de Spacetrain.
Malgré ces limites, le projet continue de fasciner à travers le monde, et lors de Viva Tech une entreprise polonaise était même présente pour présenter sa version de l'Hyperloop.
Hyper Poland a ainsi dévoilé une petite maquette de l'appareil, qui a reçu un dernier financement de 3,83 millions d'euros.
Ce montant devrait permettre de construire un laboratoire à l'horizon 2020, mais aussi "un prototype à grande échelle du véhicule magrail et une piste d’essai de plus de 500 mètres de long, sur laquelle il pourra accélérer jusqu'à 300 km/h."
En effet, après avoir pendant quelques années disrupté le secteur de la distribution avec une orientation principalement BtoC, les start-up s'attaquent non seulement aux services à destination des professionnels, mais aussi à l'industrie.
Il fallait voir sur le salon des nouvelles technologies les exosquelettes pour aider les travailleurs, les nouvelles voitures électriques ou encore les projets hyperloop ou encore les drones.
Si le train conçu par Elon Musk est de plus en plus contesté par les ingénieurs du monde entier pour sa conception et surtout son coût.
"Il faut compter 150 millions d'euros par kilomètre, quand on connaît les difficultés de la SNCF avec le TGV qui a un coût de construction à 25 millions d'euros, j'ai quelques doutes sur la faisabilité de l'Hyperloop" commente Emeuric Gleizes, le PDG de Spacetrain.
Malgré ces limites, le projet continue de fasciner à travers le monde, et lors de Viva Tech une entreprise polonaise était même présente pour présenter sa version de l'Hyperloop.
Hyper Poland a ainsi dévoilé une petite maquette de l'appareil, qui a reçu un dernier financement de 3,83 millions d'euros.
Ce montant devrait permettre de construire un laboratoire à l'horizon 2020, mais aussi "un prototype à grande échelle du véhicule magrail et une piste d’essai de plus de 500 mètres de long, sur laquelle il pourra accélérer jusqu'à 300 km/h."
Spacetrain va lancer une levée de fonds autour de 40 millions d'euros
Si Hyperloop est hypothétique, un projet français prend de la consistance et même de la dimension.
En effet, Spacetrain basé sur les travaux de Jean Bertin, dans les années 60, a présenté sa première maquette de quelques mètres de long de l'appareil.
Lire : Spacetrain, où en est le train qui va relier Paris au Havre en 17 minutes ?
Si la start-up continue ses travaux notamment en laboratoire pour vérifier les hypothèses de l'ingénieur français, qui fut à l'époque en concurrence avec le TGV, la petite équipe planche sur la conception d'un prototype de 15 mètres.
Ce dernier sera présenté au Salon du Bourget et devrait permettre de donner encore plus d'épaisseur au projet.
D'autant plus que l'entreprise est toujours en discussion pour obtenir l'autorisation de mener des tests sur le monorail situé non loin d'Orléans. Face à la lourdeur législative, des démarches ont été entamées pour se prémunir d'un échec et pouvoir disposer d'une ligne d'essai, en France ou au-delà.
Spacetrain est actuellement à la recherche de 40 millions d'euros, pour une levée de fonds qui sera bouclée à la fin de l'année 2019.
En effet, Spacetrain basé sur les travaux de Jean Bertin, dans les années 60, a présenté sa première maquette de quelques mètres de long de l'appareil.
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Ce dernier sera présenté au Salon du Bourget et devrait permettre de donner encore plus d'épaisseur au projet.
D'autant plus que l'entreprise est toujours en discussion pour obtenir l'autorisation de mener des tests sur le monorail situé non loin d'Orléans. Face à la lourdeur législative, des démarches ont été entamées pour se prémunir d'un échec et pouvoir disposer d'une ligne d'essai, en France ou au-delà.
Spacetrain est actuellement à la recherche de 40 millions d'euros, pour une levée de fonds qui sera bouclée à la fin de l'année 2019.
Hovertaxi le transport urbain et aérien électrique de Toulon
Pendant que le transport terrestre se cherche un second souffle plus vert, la mobilité aérienne n'est pas en reste.
Alors que les entreprises comme Uber et Airbus planchent sur des projets de drones, une start-up du sud-est a décidé de se lancer dans le transport de personne urbain mais avec pilote.
Tout simplement "pour faciliter l'acceptation du public" explique Romuald Ferriol, le PDG de Hovertaxi. Cela prend la forme d'un hélicoptère d'une capacité de deux personnes, sans doute plus à l'avenir, équipés de rotor électrique et donc silencieux.
L'appareil est doté d'une capacité de 30 min, avec un rechargement de quelques minutes entre chaque vol. Ce nouveau type d'engin volant pourrait proposer à terme une plus grande autonomie une fois les freins législatifs levés.
Hovertaxi est actuellement à la recherche de financement, à travers une levée de fonds de plusieurs millions d'euros. Contrairement à ses concurrents, la start-up française possède un prototype ayant déjà plusieurs heures de vols.
La bataille pour le transport de demain est lancé, reste à savoir quelle(s) solution(s) franchira la ligne d'arrivée.
Pendant ce temps, AeroMobil présentait un concept entre la voiture et l'avion, c'est aussi ça le concours Lépine 3.0.
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Tout simplement "pour faciliter l'acceptation du public" explique Romuald Ferriol, le PDG de Hovertaxi. Cela prend la forme d'un hélicoptère d'une capacité de deux personnes, sans doute plus à l'avenir, équipés de rotor électrique et donc silencieux.
L'appareil est doté d'une capacité de 30 min, avec un rechargement de quelques minutes entre chaque vol. Ce nouveau type d'engin volant pourrait proposer à terme une plus grande autonomie une fois les freins législatifs levés.
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Publié par Romain Pommier
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