La direction de TUI France écarte l'hypothèse d'un nouveau plan de sauvegarde de l'emploi (PSE). Elle diffuse un communiqué pour annoncer qu'à l'issue de la 2e période d'appel aux départs volontaires, terminée le 9 avril 2014, il reste "seulement" 49 postes à supprimer, dont 20 en 2013/2014.
Néanmoins, elle confirme son objectif initial de 306 suppressions d'emplois au sein du groupe, "car il conditionne la réduction de la masse salariale qui est indispensable pour atteindre les objectifs de réduction des coûts", selon le communiqué.
Les représentants du personnel devraient se voir prochainement proposer un projet d'accord. Celui-ci aura pour but de formaliser la prolongation du plan de départs volontaires (PDV) jusqu'en novembre 2014.
Pour cela, les conditions du PDV vont être maintenus pour les employés qui souhaitent partir d'ici fin 2014, les partenariats avec des entreprises qui recrutent vont être développés et étendus et des passerelles métiers vont être mis en place dans le cadre d'une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC), précise la direction.
Néanmoins, elle confirme son objectif initial de 306 suppressions d'emplois au sein du groupe, "car il conditionne la réduction de la masse salariale qui est indispensable pour atteindre les objectifs de réduction des coûts", selon le communiqué.
Les représentants du personnel devraient se voir prochainement proposer un projet d'accord. Celui-ci aura pour but de formaliser la prolongation du plan de départs volontaires (PDV) jusqu'en novembre 2014.
Pour cela, les conditions du PDV vont être maintenus pour les employés qui souhaitent partir d'ici fin 2014, les partenariats avec des entreprises qui recrutent vont être développés et étendus et des passerelles métiers vont être mis en place dans le cadre d'une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC), précise la direction.
Les syndicats demandent "un projet d'entreprise"
Autres articles
-
TUI France : Romain Rortais nommé directeur produits TUI Sélection
-
TUI France : trois nouveaux Clubs Lookea ouvrent cet hiver
-
Odyssée Nouvelles Frontières : "Nous voulions marquer les esprits"
-
TUI : Nouvelles Frontières va refaire ses gammes en 2024
-
Christophe Fuss (TUI France) : "nous allons renforcer nos engagements hôteliers"
Une initiative accueillie avec des sentiments mitigés par le secrétaire général du comité d'entreprise (CE), Lazare Razkallah, également délégué syndical CGT.
"Si cela permet aux salariés de mieux se positionner sur le marché du travail pour se reclasser, c'est une bonne nouvelle, indique-t-il. Mais ce que nous demandons, c'est la mise en place d'un véritable projet d'entreprise.
Nous voulons une vision d'avenir. Ce qui n'est absolument pas le cas actuellement."
Il évoque une "impression de gâchis humain" et estime que "comme Convergences, Perspectives ne fonctionnera pas car il s'agit d'une stratégie de repli".
Par ailleurs, Lazare Razkallah indique des les représentants du personnel ont fait remonter à l'Inspection du Travail des soupçons de cas de "départs pas vraiment volontaires". Mais ils n'ont eu aucun retour à ce sujet jusqu'à présent.
"Si cela permet aux salariés de mieux se positionner sur le marché du travail pour se reclasser, c'est une bonne nouvelle, indique-t-il. Mais ce que nous demandons, c'est la mise en place d'un véritable projet d'entreprise.
Nous voulons une vision d'avenir. Ce qui n'est absolument pas le cas actuellement."
Il évoque une "impression de gâchis humain" et estime que "comme Convergences, Perspectives ne fonctionnera pas car il s'agit d'une stratégie de repli".
Par ailleurs, Lazare Razkallah indique des les représentants du personnel ont fait remonter à l'Inspection du Travail des soupçons de cas de "départs pas vraiment volontaires". Mais ils n'ont eu aucun retour à ce sujet jusqu'à présent.