Pour l'UMIH, la surtaxation des contrats à durée déterminée (CDD) est une mesure contreproductive dans le secteurs cafés, hôtels, restaurants, discothèques.
Selon le syndicat, dans le secteur 80 % des contrats sont à durée indéterminée. "Il serait inacceptable et contreproductif que nos CDD saisonniers et nos contrats d’extras entrent dans le champ de cette surtaxation.
En effet, dans la mesure où notre secteur n’a pas d’autre possibilité que de recourir aux CDD, taxer les contrats courts augmenterait le coût du travail, fragiliserait les entreprises et accélérerait la destruction d’emplois", précise un communiqué.
Pour Roland Héguy : "Ce n’est pas en modifiant ou en taxant les contrats de travail que l’on va créer de l’emploi. Les pouvoirs publics doivent comprendre que dans nos professions, imposer une taxe supplémentaire ne transformera pas un CDD en CDI. Il serait aberrant que notre secteur entre dans ce champ de taxation ! "
Selon le syndicat, dans le secteur 80 % des contrats sont à durée indéterminée. "Il serait inacceptable et contreproductif que nos CDD saisonniers et nos contrats d’extras entrent dans le champ de cette surtaxation.
En effet, dans la mesure où notre secteur n’a pas d’autre possibilité que de recourir aux CDD, taxer les contrats courts augmenterait le coût du travail, fragiliserait les entreprises et accélérerait la destruction d’emplois", précise un communiqué.
Pour Roland Héguy : "Ce n’est pas en modifiant ou en taxant les contrats de travail que l’on va créer de l’emploi. Les pouvoirs publics doivent comprendre que dans nos professions, imposer une taxe supplémentaire ne transformera pas un CDD en CDI. Il serait aberrant que notre secteur entre dans ce champ de taxation ! "